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Blogs voyage

Un toit très particulier

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La forme de ce toit en caissons est très particulière...

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2014 mai Nos filleules dAsie du sud-est / Thaïlande / Pornthip et Janista

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Nos filleules de Thaïlande : que deviennent-elles ? Avec la chaîne de l'Espoir, nous avions parrainé Pornthip (26 ans) pendant 15 ans, entre 8 et 23 ans, jusqu'à la fin de ses études universitaires. Aujourd'hui, elle travaille dans la compagnie électrique PEA et elle est devenue une belle jeune...

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Saveur du printemps

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Hum , les beaux abricots, gorgés de soleil, sucrés... L'arbre ne semble pas avoir souffert du manque de pluie... Il est vrai que le jardinier l'arrose régulièrement. Ainsi, aux "Tourmalines", nous préparons à nouveau des tartes aux abricots pour le plus grand plaisir de nos hôtes ! Et, grâce à ma...

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Marsionness Gordos

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Quand le cœur n'y est pas, les mains ne sont pas habiles .Proverbe Les moules sont des organismes aquatiques très résistants et sont solidement fixés par des faisceaux de filaments appelés scientifiquement « Byssus » servant pour se fixer à un support rochers ou épaves situés sur le...

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MARAIS DE CARENTAN

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Au réveil un coup d'œil dehors montre un temps gris assez menaçant, mais les deux jours précédents nous avions le même spectacle à cette heure là, ce qui n'avait pas empêché le soleil de se montrer généreux dès le milieu de la matinée. Nous nous lançons dans une préparation optimiste pour ce...

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Lac-Mégantic l’avocat du conducteur déplore l’arrestation musclée de son client

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LAC-MÉGANTIC, Qc – L’avocat Thomas Walsh, qui représente Thomas Harding, le conducteur du train de la MMA ayant détruit le centre-ville de Lac-Mégantic en juillet dernier, estime que la Sûreté du Québec a employé des moyens disproportionnés pour arrêter son client, désormais accusé de négligence criminelle ayant causé la mort.

En entrevue à La Presse Canadienne, Me Walsh a souligné que M. Harding a été cueilli à son domicile par l’escouade tactique, alors que ce dernier vivait depuis un an au même endroit, et qu’il avait offert de se rendre volontairement en cour si des accusations étaient portées contre lui. Pour l’avocat, envoyer des policiers lourdement armés serait plus approprié pour mettre la main au collet de bandits, et non pas du conducteur qui «travaillait sur son bateau avec son fils».

Selon Me Walsh, un mandat d’arrêt n’était pas nécessaire, puisqu’un tel mandat n’est requis, selon lui, que lorsque d’autres méthodes — telle une assignation à comparaître — sont impossibles à mettre en pratique.

L’avocat croit qu’une telle façon d’agir reflète une certaine «attitude» que le gouvernement estime ferme, mais que Me Walsh qualifie de «juvénile».

Il était également impossible de savoir si Thomas Harding réclamera un procès séparé, puisque sa connaissance de la langue française est limitée.

Me Walsh croit que la Couronne pourrait ordonner la création d’un jury bilingue.

Outre le conducteur du train, le contrôleur ferroviaire Richard Labrie, le contrôleur de l’exploitation Jean Demaître et la Montréal Maine and Atlantic Railway sont eux aussi accusés du même crime ayant conduit à la mort de 47 personnes.

Les accusés doivent comparaître mardi à 14h au palais de justice de Lac-Mégantic.

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Boko Haram retour sur l’enlèvement des lycéennes au Nigeria

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SPAIN-NIGERIA-UNREST-KIDNAPPING

Photo : AFP/Getty Images

L’enlèvement des 223 lycéennes, le 14 avril dernier, dans la ville de Chibok (dans l’État de Borno, au Nigeria), a propulsé Boko Haram sur le devant de la scène. Un groupe dont plusieurs — à commencer par le gouvernement du Nigeria — semblent avoir sous-estimé la capacité à déstabiliser le pays, mais aussi l’ensemble de la région.
Politique

Le chef du groupe, Abubakar Shekau, est apparu dans une vidéo diffusée le 5 mai où il revendique l’enlèvement des 223 jeunes étudiantes. Selon ses dires, elles seraient appelées à être vendues ou employées comme esclaves.

Au cours du dernier mois, la mobilisation de la société civile s’est manifestée par l’entremise des réseaux sociaux avec, notamment, le mot-clic #BringBackOurGirls et des pétitions qui demandent la libération des lycéennes enlevées.

Boko Haram est une secte islamiste qui sévit essentiellement dans l’État de Borno, au nord-est du Nigeria. Le nom du groupe, Boko Haram, veut dire «l’éducation occidentale est un péché», d’où les attaques perpétrées par le groupe contre les établissements scolaires. Depuis 2010, le chef du groupe est Abubakar Shekau.

Depuis novembre 2013, Boko Haram figure dans la liste des organisations considérées comme terroristes par le département d’État américain. Le groupe est toutefois assez difficile à cerner. Bien qu’il privilégie une «ligne d’action» nationale, il semble s’être rapproché, au cours des dernières années, des groupes jihadistes qui sévissent dans l’espace sahélo-saharien (lire à ce sujet Leadership Analysis of Boko Haram and Ansaru in Nigeria, de Jacob Zenn).

Le président nigérian, Goodluck Jonathan, a demandé l’aide des États-Unis pour retrouver les jeunes filles enlevées. Les chefs d’État occidentaux ont été nombreux à promettre leur aide à leur homologue nigérian. Une équipe d’experts américains a d’ailleurs déjà été envoyée pour aider l’armée nigériane dans ses recherches.

Le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird, a quant à lui proposé de fournir des équipements de surveillance aux forces de sécurité nigérianes. Le périmètre de recherche semble s’étendre non seulement au Nigeria, mais aussi aux pays limitrophes, puisque que certaines sources semblent indiquer qu’une partie d’entre elles — environ une cinquantaine — auraient été repérées en République centrafricaine. Pour l’heure, l’attente se poursuit…

Dans une vidéo diffusée le 12 mai, le chef Abubakar Shekau semble être revenu sur sa précédente déclaration et propose d’échanger les lycéennes — du moins, une partie d’entre elles — contre des membres du groupe islamiste détenus par les autorités.

 

Pour de plus amples détails, voyez la note de recherche publiée sur le site de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques de l’UQAM : «Boko Haram : de l’histoire du groupe à l’enlèvement des lycéennes».

Adib Bencherif
Chercheur en résidence, Observatoire sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord
Chaire @RDandurand @UQAM
Suivez-le : @AB_analyst

* * *

À propos de la Chaire Raoul-Dandurand

Créée en 1996 et située à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques compte plus de 30 chercheurs issus de pays et de disciplines divers et comprend quatre observatoires (États-Unis, Géopolitique, Missions de paix et opérations humanitaires et Moyen-Orient et Afrique du Nord). On peut la suivre sur Twitter : @RDandurand.

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Une collision survenue dans le Pontiac fait deux morts et une blessée grave

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PONTIAC, Qc – Un drame routier est survenu en Outaouais.

La collision entre une camionnette et un véhicule utilitaire sport (VUS) a eu lieu sur la route 148 dans le Pontiac mardi matin.

L’impact a été tellement violent qu’il a provoqué deux morts, le conducteur de 49 ans du VUS et sa passagère de 47 ans.

De son côté, une femme de 33 ans qui était au volant de la camionnette s’est retrouvée à l’hôpital et vers 11h les médecins craignaient toujours pour sa vie.

Les policiers ont été mis au courant de l’accident vers 7h40. Ils ont rapidement lancé une enquête pour en déterminer la cause. La route 148 a été fermée à la circulation pour leur permettre de faire leur travail.

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Charte des droits des victimes l’ombudsman lui donne une note de«B

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OTTAWA – L’ombudsman fédérale des victimes d’actes criminels donne une note de «B» au projet de charte des droits des victimes du gouvernement Harper.

Mais Sue O’Sullivan aimerait y voir d’autres changements pour renforcer encore plus la protection des victimes, a-t-elle fait savoir mardi matin, en point de presse.

Elle estime toutefois que la charte marque un profond changement de culture sur le plan législatif au Canada.

La charte fédérale met plusieurs choses de l’avant: une protection de l’identité des victimes dans certains cas, le droit de participer au processus du procès criminel et de celui de libération conditionnelle, incluant le droit d’être informées des différentes étapes, de faire valoir leur point de vue et de savoir quand et où les délinquants seront libérés. Le projet de loi oblige aussi les juges à toujours considérer le paiement d’une somme pour compenser les victimes.

Selon Mme O’Sullivan, plusieurs changements sont à considérer.

Elle juge que les victimes ne devraient pas avoir à s’enregistrer pour être tenues au courant du processus: quelqu’un devrait être chargé de les contacter.

Les victimes devraient aussi avoir l’occasion de présenter leur point de vue lorsqu’une négociation de plaidoyer de culpabilité a lieu, et aussi de choisir comment elles assisteront à une audience de libération conditionnelle — vidéoconférence, télévision en circuit fermé, etc.

De plus, les victimes ne devraient pas devoir se présenter devant un tribunal civil afin de recouvrer les sommes compensatoires qui leur sont accordées, a-t-elle indiqué: cette démarche devrait être prise en charge pour elles.

Le ministre de la Justice, Peter MacKay, avait déclaré en déposant le projet de charte en avril qu’il représentait un équilibre entre les droits des victimes et ceux des délinquants à être traités de façon juste et équitable par le système judiciaire.

Le projet avait soulevé de nombreuses interrogations car celui-ci permettait en outre le témoignage contre les conjoints, et même des témoignages anonymes dans certains cas.

Le Bureau de l’ombudsman fédéral des victimes d’actes criminels a été créé en 2007.

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Les «nouveaux maires de Paris et Montréal relancent la coopération

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PARIS – Montréal et Paris veulent relancer leur coopération. Les maires des deux métropoles, Denis Coderre et Anne Hidalgo, l’ont assuré mardi lors d’une rencontre à l’hôtel de ville de Paris.

«Tous les deux, nous entamons un mandat avec une envie de rouvrir et de reconstruire la coopération entre nos deux villes», a expliqué Mme Hidalgo, après avoir signé avec son homologue montréalais une nouvelle entente en matière de coopération numérique.

Première femme élue à ce poste, Anne Hidalgo est officiellement devenue mairesse de Paris il y a un peu plus d’un mois. Denis Coderre était le premier maire étranger à lui rendre visite. Entre «Anne» et «Denis», qui se sont spontanément tutoyés, le courant a apparemment passé.

«Montréal et Paris sont à la croisée des chemins. Il y a beaucoup d’atomes crochus entre nous. Nous allons apprendre à travailler ensemble, avec Anne, qui représente le renouveau», a résumé M. Coderre.

«C’est bien parti», a renchéri Mme Hidalgo, en évoquant «une volonté commune d’avancer».

«Je pense que nous avons beaucoup à apprendre de Montréal. Il y a beaucoup d’échanges possibles», a-t-elle ajouté.

Selon le maire de Montréal, l’avenir des villes, où vivront dans 20 ans 80 pour cent de la population humaine, appelle «une complicité et une complémentarité entre les métropoles».

Ville intelligente, «connectivité», développement durable, transports en commun, «gestion de la densité», développement social: pendant leur entretien, les deux maires ont dressé la liste des «défis communs» qui les attendent.

«Je suis intéressée par le modèle montréalais en matière de traitement de la grande pauvreté dans nos rues», a notamment signalé Anne Hidalgo.

Le développement économie et «le partage de la richesse» ont aussi été abordés, Denis Coderre exprimant son désir de «favoriser la ‘bi-localisation’ des entreprises à Montréal et à Paris».

Paris est la deuxième étape de la tournée européenne de Denis Coderre, arrivé lundi soir de Lyon où il venait de passer quelques jours. Le maire de Montréal se rendra ensuite à Bruxelles.

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Quel ordinateur portable choisir pour voyager Le guide

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Choisir un laptop pour voyager n’est pas une chose aisée tant l’offre est vaste. Il faut s’y retrouver parmi toutes les caractéristiques techniques pour bien choisir votre compagnon de route.[...]

La suite de l'article sur mon blog ! (cliquer sur le titre en bleu )
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Retour vers le futur du secteur manufacturier

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Harry Moser aurait pu couler des jours tranquilles à profiter de sa retraite, après 45 années sur les planchers d’usines. Mais cet homme de 70 ans — qui a vu sa ville natale d’Elizabeth, au New Jersey, décimée par la fermeture de l’usine de machines à coudre Singer, au milieu des années 1970 — a plutôt choisi de se battre pour rapatrier des emplois manufacturiers aux États-Unis.

En 2010, il a fondé la Reshoring Initiative, un organisme sans but lucratif qui vise à « ramener au pays » d’ici 5 à 10 ans un total de trois millions d’emplois, dont un million dans le secteur manufacturier. Aidé par la conjoncture économique, Harry Moser tente de démontrer aux dirigeants d’entreprises que produire en sol américain n’est pas seulement bon pour la patrie, mais aussi pour les profits.

En 2013, selon le Boston Consulting Group, 54 % des patrons de sociétés manufacturières américaines songeaient à rapatrier aux États-Unis la fabrication de leurs produits, contre 37 % en 2012. Apple et GE ont d’ailleurs recommencé à fabriquer certains modèles d’ordinateurs et de réfrigérateurs sur le territoire américain.

Ingénieur diplômé du MIT et ex-président du fabricant suisse d’équipement industriel Charmilles Technologies, cet homme affable, au crâne dégarni et à la carrure imposante, est devenu l’apôtre du made in America. Il était récemment de passage à Montréal et a répondu aux questions de L’actualité.

Que veut dire « reshoring » ? De quoi parle-t-on au juste ?

Beaucoup de termes sont utilisés pour décrire ce concept, comme réindustrialisation, relocalisation, certains parlent même de démondialisation… Mais essentiellement, ce qui se produit est le contraire de l’offshoring [délocalisation]. Depuis 10 ans, les grandes entreprises manufacturières ont fermé des usines aux États-Unis et envoyé des milliers d’emplois en Asie ou au Mexique, parce que les coûts y étaient plus bas. Ces dernières années, elles ont tendance à rapatrier au pays cette production et ces emplois.

S’agit-il d’une réelle tendance ou ces entreprises ne sont-elles encore que des exceptions ?

L’an dernier, environ 21 % des grandes sociétés se sont engagées activement dans un processus de relocalisation, soit deux fois plus qu’en 2012. Nous avons aussi de plus en plus de demandes d’entreprises qui veulent évaluer s’il ne serait pas plus rentable ou pour elles de le faire.

Qu’est-ce qui explique ce phénomène ?

J’aimerais dire que ce sont les efforts que nous faisons pour convaincre les entreprises, mais ce serait très égocentrique ! En fait, il y a deux facteurs principaux : d’abord, les salaires en Chine augmentent de 18 % par an, contre 2 % aux États-Unis. À partir de 2015, si on inclut les frais de transport, le coût net de production en Chine sera plus élevé qu’aux États-Unis. Le deuxième facteur est la découverte du gaz de schiste, qui a fait baisser le coût de l’énergie.

Mais il n’y a pas que la Chine ; d’autres pays où les coûts sont moins chers peuvent devenir intéressants pour les entreprises. Pourquoi reviendraient-elles nécessairement aux États-Unis ?

En fait, 60 % des entreprises sous-estiment les coûts de la délocalisation, que ce soit en Chine ou ailleurs. Elles regardent seulement le prix et oublient de calculer les risques liés à la contrefaçon, à l’approvisionnement et à la qualité, les coûts de déplacement, le cours des devises et les écarts de productivité. Au final, elles omettent de tenir compte de 20 % des coûts totaux de production à l’étranger. Les consommateurs préfèrent aussi de plus en plus les produits made in America, qu’ils associent à une plus grande qualité.

Quelles sont ces entreprises qui reviennent au bercail, et dans quels secteurs ? Avez-vous des exemples ?

Parmi celles qui relocalisent — elles sont plus de 500 —, il y a GE, Apple, Motorola, Ford, Caterpillar, Whirlpool, Scovill, Ace Manufacturing, Intel, GW Plastics et bien d’autres. Cela touche plusieurs secteurs industriels. Apple, par exemple, créera 200 emplois en rapatriant une partie de sa production du MacBook Pro au Texas. Les autres sociétés fabriquent principalement des électroménagers, du matériel de transport, de la machinerie et de l’équipement électronique.

Relocalisent-elles toute leur production ou seulement une partie ?

Ce n’est jamais tout ou rien. Les entreprises ont tendance à rapatrier seulement la fabrication des produits à plus grande valeur ajoutée ou qui sont destinés au marché américain. Quant aux produits de masse ou dont la fabrication exige beaucoup de main-d’œuvre, comme les vêtements, elles continuent de les fabriquer dans les pays émergents.

Pourquoi avez-vous fondé la Reshoring Initiative ?

D’abord, pour des raisons personnelles. Mon grand-père et mon père travaillaient à l’usine de machines à coudre Singer d’Elizabeth, dans le New Jersey. Moi-même, j’y ai travaillé tous les étés pendant mes études. C’était la plus importante usine de Singer au monde et elle a fermé ses portes après 100 ans d’existence ! Voir l’usine ainsi abandonnée m’a donné un choc, et je me suis juré que j’allais faire quelque chose pour rapatrier ces milliers d’emplois perdus.

Combien d’emplois croyez-vous que cela pourrait créer ?

Il y a trois millions d’emplois délocalisés et, à terme, nous souhaitons tous les rapatrier d’ici 5 à 10 ans. Nous estimons que, depuis 2010, environ 100 000 emplois directs ont été créés par le retour de la production aux États-Unis. Pour l’instant, l’effet est nul, car il y a encore autant d’emplois qui partent que d’emplois qui reviennent, mais si la tendance se maintient, on prévoit la création nette de 50 000 emplois par an à partir de 2016 grâce au retour de la production en sol américain.

Comment les entreprises qui reviennent peuvent-elles rester compétitives par rapport à celles qui continuent de délocaliser ?

Bien des usines automatisent leur production. Elles deviendront plus productives en ayant recours à une main-d’œuvre plus spécialisée. Et puis, nous ne disons pas qu’il faut rapatrier toute la production aux États-Unis. Nous disons aux entreprises que si leur but est de vendre aux États-Unis, elles devraient produire ici. Mais si elles souhaitent vendre davantage de produits en Chine, elles devraient augmenter leur capacité de production dans ce pays. L’idée est de produire localement.

Comment le Canada et le Québec peuvent-ils profiter de cette tendance ?

D’abord, les entreprises canadiennes doivent elles-mêmes évaluer la rentabilité de rapatrier leur production au Canada. Ensuite, les entreprises québécoises et canadiennes peuvent profiter de la relocalisation des grandes sociétés aux États-Unis en devenant leurs fournisseurs. Toutefois, elles seront en concurrence avec le Mexique, où les coûts sont plus bas. Leur avantage réside dans la qualité de la main-d’œuvre, mais pour le maintenir, elles devront investir constamment dans la formation.

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AUDIO] Le nouvel âge d’or des usines d’Amérique du Nord

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Airbus, Apple, Lenovo : de plus en plus d’entreprises rapatrient une partie de leur production en sol américain, bouleversant les grands flux industriels mondiaux. Pierre Duhamel, chroniqueur affaires à L’actualité, et Louis Duhamel, conseiller stratégique chez Deloitte, expliquent comment les entreprises québécoises peuvent en profiter.

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Agressions dans un hôtel de Montréal lundi trois accusés comparaîtront en cour

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MONTRÉAL – Trois personnes arrêtées lors d’une tentative de meurtre survenue dans une chambre d’un hôtel de Montréal, tôt lundi matin, sont sur le point d’affronter la justice.

Il s’agit d’une femme de 27 ans et de deux hommes originaires de l’Ontario, l’un ayant 18 ans et l’autre étant d’âge mineur.

Selon une mise à jour dressée mardi par l’agent Simon Delorme du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), un groupe d’Ontariens ont attiré la jeune femme dans une chambre de l’hôtel situé sur la rue Saint-Hubert, au centre-ville.

Au cours d’une dispute, la femme aurait tiré un coup de feu vers un jeune homme, l’atteignant au bassin. Il aura la vie sauve.

Les autres hommes auraient ensuite violemment répliqué, infligeant à la dame des blessures au visage et à des membres.

La femme, bien connue des policiers, repose à l’hôpital avant de devoir comparaître au tribunal. Elle fera face à une multitude d’accusations, dont celles de tentative de meurtre, de bris de conditions et de possession de stupéfiants.

Quant à l’homme et 18 ans et à l’adolescent, ils seront accusés de voies de fait graves.

Les moments des comparutions des trois suspects ne sont pas encore connus.

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Terre-Neuve un musée a besoin d’aide pour s’occuper d’une baleine morte

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WOODY POINT, T.-N.-L. – Avant de décider s’il s’occupera de la carcasse d’une deuxième baleine bleue découverte dans l’ouest de Terre-Neuve, le Musée royal de l’Ontario veut savoir s’il pourra obtenir de l’aide sur place.

Mark Engstrom, directeur adjoint des collections et de la recherche pour le musée, affirme qu’il décidera, d’ici un jour ou deux, si le déplacement de la deuxième baleine à Rocky Harbour ira de l’avant.

Son équipe emballe mardi les derniers os d’une baleine femelle de 23 mètres trouvée près de Woody Point, qui seront transportés par camion jusqu’à Trenton, en Ontario.

Les chercheurs pourront ensuite avoir accès à ces spécimens, qui feront partie de la collection du musée.

Le squelette pourrait également être assemblé pour être exposé, si les fonds sont suffisants.

M. Engstrom espérait s’occuper des deux baleines après que des responsables locaux eurent réclamé de l’aide pour déplacer les deux carcasses pourrissantes avant qu’elles n’aient un impact négatif dans une zone à vocation majoritairement touristique. Il précise toutefois que des coûts inattendus, comme le remorquage de la première baleine de Trout River à Woody Point, se sont ajoutés.

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Un entrepreneur candide au pays de l’argent sale

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PolitiqueUn entrepreneur candide, Louis Marchand, a mis les péquistes, les libéraux et les ex-adéquistes dans le même bain sale du financement illégal à la commission Charbonneau. Il était à peu près temps.

Le patron de l’entreprise de construction et de réhabilitation routière Maskimo, bien implantée en Mauricie, a qualifié de «mythe» la loi sur le financement populaire.

Adoptée en 1977, cette loi interdisant le financement par les entreprises a fait la fierté des démocrates québécois pendant près de 40 ans. «C’est le plus grand drame d’hypocrisie collective au Québec», a lancé M. Marchand.

Soumis à une intense pression pour atteindre des objectifs de financement élevés — jusqu’à 100 000 dollars pour un ministre dans le gouvernement de Jean Charest —, les députés se tournaient, en désespoir de cause, vers les grands cabinets de génie-conseil, d’avocats et de comptables, de même que vers les entrepreneurs en construction, pour faire le plein de contributions illégales.

Le voleur d’élections Gilles Cloutier en a dit autant, en mai 2013, lors de son témoignage. Selon l’homme de main de Roche, les grandes entreprises ont mis deux ou trois ans à contourner la loi de René Lévesque, en recourant à des prête-noms.

En 2013, la commission Charbonneau explorait les égouts de la politique municipale. Elle ne voulait surtout pas entendre parler des stratagèmes à l’œuvre en politique provinciale, même si les mêmes firmes — les Génius, Roche, BPR, Genivar, Dessau, Tecsult, SNC-Lavalin et consorts — adoptaient les mêmes pratiques avec les maires ou les ministres.

Michel Lalonde, le P.-D.G. de Génius, en savait un bout sur le financement provincial, mais il n’a guère été interrogé à ce sujet.

La commission a gardé pour la fin la partie la plus importante et la plus délicate de son mandat. Si elle ne parvient pas à percer les secrets du financement illicite au provincial, elle ne pourra pas prétendre sérieusement qu’elle a livré la marchandise.

Selon le scénario le plus optimiste, il reste 27 journées d’audiences si la commission siège jusqu’au 4 juillet (21 si les audiences arrêtent le 20 juin). En principe, la session d’automne sera consacrée à l’étude des mémoires les plus intéressants soumis par les citoyens, dernière étape publique des travaux avant la remise du rapport final, en avril 2015.

Depuis la reprise des travaux, le 8 avril, la commission n’a guère entendu de témoins aussi utiles et pertinents que Louis Marchand. La trêve électorale, observée pour éviter que les travaux de la commission soient instrumentalisés par les partis en campagne, apparaît aujourd’hui comme une décision d’une excessive prudence.

Il en faudra d’autres comme Louis Marchand, et vite, car le temps file.

* * *

À propos de Brian Myles

Brian Myles est journaliste au quotidien Le Devoir, où il traite des affaires policières, municipales et judiciaires. Il est présentement affecté à la couverture de la commission Charbonneau. Blogueur à L’actualité depuis 2012, il est également chargé de cours à l’École des médias de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). On peut le suivre sur Twitter : @brianmyles.

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Ontario un homme saoul entre par mégarde dans la chambre d’un jeune enfant

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HAWKESBURY, Ont. – La Police provinciale de l’Ontario (OPP) enquête sur un incident survenu dans l’est de la province, lors duquel un homme en état d’ébriété a été retrouvé dans la chambre d’une fillette de deux ans.

Selon les autorités, les parents de l’enfant ont entendu des bruits en provenance de la chambre à coucher peu de temps après 5h, dimanche, dans le canton de Champlain, au sud de Hawkesbury.

La police avance que lorsque le père de l’enfant est sorti du lit pour vérifier la provenance des bruits, il a découvert un inconnu assis sur le lit de l’enfant.

Toujours aux dires de la police, l’homme en question, qui était dans un état d’ébriété très avancé, est sorti à l’extérieur lorsque le père lui a demandé de quitter le domicile, et des agents l’ont trouvé assis sur la terrasse.

Il a été arrêté et détenu jusqu’à ce qu’il dégrise.

George Telfer, âgé de 64 ans et originaire de Dalkeith, à une dizaine de kilomètres au sud de Hawkesbury, est accusé d’ivresse sur la voie publique et de s’être illégalement trouvé dans une résidence.

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Les incroyables motos du Viêt Nam et tout ce qu’elles transportent

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Art_de_vivreQuand on débarque dans une grande ville du Viêt Nam, on est tout de suite frappé par le nombre impressionnant de scooters et de motocyclettes présents dans les rues : rien qu’à Hô Chi Minh-Ville, il y en aurait 6 millions pour 10 millions d’âmes…

 

Crédit: Hans Kemp/Slate

Crédit : Hans Kemp/Slate

Ce qui est encore plus impressionnant, c’est de passer du temps à observer tout ce que les Vietnamiens peuvent transporter sur ces petits véhicules à moteur, moyen de transport économique et efficace pour se faufiler dans des rues densément fréquentées, dans un pays où les transports en commun sont déficients.

Crédit: Hans Kemp/Slate

Crédit : Hans Kemp/Slate

C’est ce foisonnement de motos surchargées qui a interpellé le photographe Hans Kemp dès qu’il a mis les pieds dans ce pays, en 1991, avant de s’y établir, en 1995.

Il y a une quinzaine d’années, un de ses clients l’a mandaté pour immortaliser tous ces motocyclistes-équilibristes, et il a rassemblé ses trouvailles dans un ouvrage, Bikes of Burden, rapporte Slate.

Tout récemment, Hans Kemp — qui vit maintenant à Hongkong — est retourné au Viêt Nam pour croquer de nouvelles scènes de rue, histoire de mettre son livre à jour. Et voici un aperçu de ce qu’il a saisi au vol.

Crédit: Hans Kemp/Slate

Crédit : Hans Kemp/Slate

Trouvé sur Twitter via Jodi Ettenberg.

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À propos de Gary Lawrence

Journaliste indépendant, Gary Lawrence a foulé le sol des sept continents de la planète et de plus de 90 pays. Ex-rédacteur en chef d’un magazine spécialisé en tourisme, il a aussi été rédacteur en chef francophone d’un service de presse touristique et a signé à ce jour des centaines d’articles portant sur les voyages, dont plusieurs dans L’actualité. On peut le suivre sur Facebook et sur Twitter : @LawrenceGary.

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Commission Charbonneau le proprio de Maskimo contre-interrogé

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MONTRÉAL – Devant la Commission Charbonneau, mardi, l’avocat du Parti libéral a tenté de démontrer que si l’entreprise de construction Maskimo avait obtenu moins de contrats à tarif prédéterminé du ministère des Transports, c’est parce que celui-ci en distribuait moins à compter de 2009, et non parce que Maskimo a cessé de faire des dons au PLQ.

Mais le propriétaire de Maskimo, Louis Marchand, a tenu bon et n’a pas même été ébranlé par le contre-interrogatoire de l’avocat du PLQ, Me Félix Rhéaume.

La veille, M. Marchand avait soutenu qu’à compter de 2009, après qu’il eut cessé de contribuer au Parti libéral du Québec, les relations s’étaient envenimées avec le cabinet de la ministre déléguée aux Transports Julie Boulet. Il n’arrivait plus à parler à quelqu’un au cabinet lorsqu’il avait des problèmes, alors qu’il y parvenait lorsqu’il contribuait au PLQ, avait-il témoigné.

L’avocate du Parti québécois, Me Estelle Tremblay, a commencé à contre-interroger le témoin à son tour.

Julie Boulet, actuelle députée libérale de Laviolette qui a été ministre déléguée aux Transports dans le gouvernement Charest, doit ensuite témoigner.

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Les demandes insolites des clients des hôtels

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chambre hôtel

Le site internet Skyscanner a révélé son étude portant sur les demandes et les plaintes insolites des clients des hôtels. Parmi les plus loufoques, « Les draps sont trop blancs » arrive en tête devant « la mer est trop bleue ». Celle qui nous a fait rire provient d’un touriste qui s’est plaint des ronflements de sa copine qui l’ont empêché de dormir. Il demandait une réduction sur le prix de la chambre.

Dans les plus farfelues, on retrouve « l’hôtel n’avait pas de vue sur la mer » pour des établissements situés dans le cœur de Londres. Certains touristes sont trop déconnectés de la réalité. D’ailleurs, ils oublient aussi des choses insolites lors de leur voyage.

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Zoom sur le label « Musée de France 

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musée de france

Devant la plupart des musées, on peut voir l’inscription « Musée de France ». Ils font tous partie du top 10 des musées français les plus visités. Alors on va se poser 4 questions : qui sont les musées de France, combien y en a-t-il, comment devient-on un « Musée de France » et combien ont-ils de visiteurs ?

C’est quoi ?

Ce label regroupe la grande majorité des musées français. L’article L. 441-1 du code du patrimoine définit l’appellation « musée de France ». Le musée doit « conserver, restaurer, étudier et enrichir ses collections, rendre ses collections accessibles au public le plus large, concevoir et mettre en œuvre des actions d’éducation et de diffusion visant à assurer l’égal accès de tous à la culture et contribuer aux progrès de la connaissance et de la recherche ainsi qu’à leur diffusion ».

Combien y a-t-il de « Musées de France » ?

Instaurée par la loi du 4 janvier 2002, cette appellation est accordée aux « sites appartenant à l’Etat, à une autre personne morale de droit public ou à une personne de droit privé à but non lucratif ». Aujourd’hui, on compte 1.218 musées de France. Dans les détails : « 82 % relèvent des collectivités territoriales ou de leur groupement, 13 % de « personnes morales de droit privé (associations ou fondations) » et 5 % de l’État ».

Comment devenir un « Musée de France » ?

Pour qu’un musée appartenant à une personne morale puisse obtenir l’appellation « Musée de France », ce dernier doit faire « une demande adressée au ministre chargé de la culture et, le cas échéant, au ministre dont relève le musée ou qui en assure la tutelle ». Si elle obtient cette appellation, le musée pourra utiliser le logo « musée de France » sur tous les documents de communication. Il peut aussi recevoir des subventions de l’Etat. Mais l’appellation peut être retirée « lorsque la conservation et la présentation au public des collections cessent de revêtir un intérêt public ». La décision est prise par décision de l’autorité administrative, après avis conforme du Haut Conseil des musées de France.

Combien ont-ils de visiteurs ?

Les derniers chiffres officiels datent de 2011. Cette année-là, les 1.213 établissements étudiés par le ministère de la Culture avaient accueilli 56,20 millions de visiteurs. La grande majorité des musées les plus visités sont parisiens, comme le Louvre ou le Musée d’Orsay.

Les Musées de France en photos

Le Louvre Crédit Photo Le Musée d'Orsay Crédit Photo Le Mémorial de Caen Crédit Photo Musée des Beaux-Arts (Tours) Crédit photo Le Musée Rodin Crédit Photo Versailles  Crédit Photo MUCEM Crédit photo Grand Palais  Crédit photo

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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