Le musée Jean Cocteau connaît le succès Vendredi, 23 Août 2013 09:42 olivier
Plus de 100 000 visiteurs ont déjà ont déjà découvert les œuvres de l’artiste français Jean Cocteau (collection Séverin Wunderman), au musée Jean Cocteau à Menton. Plus importante ressource publique mondiale de l’oeuvre du poète, le musée propose aux visiteurs des espaces d’exposition des collections, un atelier pédagogique, un cabinet d’art graphique, un espace de ressources documentaires, un café, une librairie boutique. Jean Cocteau a eu un coup de cœur pour Menton. Cette ville des Alpes-Maritimes lui permettait de s’évader. Deux hôtels représentent le mieux cette idée. Situé à deux pas du centre-ville et face à la mer, l’hôtel Riva est idéalement situé. Tourné vers l’avenir, l’établissement possède un mobilier raffiné et singulier. Un autre hôtel de Menton possède un grand charme. L’hôtel Chambord se trouve à 100 mètres de la mer et du casino, à coté du palais de l’Europe. Le poète français aurait pu avoir le coup de coeur pour ces 2 établissements. Vous, vous l’aurez ! [Photo] Lire la suite... Embed Facebook pour le partage des publications Vendredi, 23 Août 2013 09:42 Blog voyage Cet article Embed Facebook pour le partage des publications est apparu en premier sur Blog voyage Tunisie : Journal et Blog voyage d'un globe trotter Tunisien par Blog voyage Après avoir mis en place les #htags pour les journalistes et les blogueurs Facebook comme toujours, au lieu d’innover, s’inspire d’autres réseaux sociaux, et propose le code « emebd » pour le partage des articles, statuts et autres publications.(...)Read the rest of Embed Facebook pour le partage des publications (129 words) © Blog voyage for Blog voyage Tunisie Cet article Embed Facebook pour le partage des publications est apparu en premier sur Blog voyage Tunisie : Journal et Blog voyage d'un globe trotter Tunisien par Blog voyage Lire la suite... 5 endroits méconnus à voir dans sa vie Vendredi, 23 Août 2013 08:28 vacances Il y a peu de temps nous vous parlions des villages surprenants à voir en Europe, aujourd'hui nous vous proposons de découvrir de nouveaux lieux à voir avant de mourir. Ce qui peut surprendre dans notre sélection c'est que ce sont des lieux peu connus des touristes, alors qu'on s'attend à y voir figurer les plus grandes constructions que l'homme ait pu réaliser comme les pyramides ou la Muraille de Chine, on peut aussi y trouver d'autres lieux tout aussi charmants dont voici 5 lieux atypiques : 1- Les monastères des Météores (Grèce) Photo de Jacek Policinski
La traduction exacte des monastères de Météores serait plutôt "monastères suspendus dans le ciel". Ceci en dit long sur le lieu. Les bâtiments ont été construits sur les falaises qui se sont formées avec l'érosion, certains disent même que c'est Zeus en personne qui a taillé les rochers, quand les premiers moines sont arrivés dans cette région. Aujourd'hui encore quelques moines continuent d'y vivre, à 400 mètres de hauteur, accessibles seulement par des escaliers ou des systèmes de poulies. La première impression étant la plus importante, voici celle d'un de nos voyageurs Dibuty : "Pour moi, l'un des endroits les plus spectaculaires du monde... et des vues exceptionnelles." 2 - Tribu Himba (Namibie) Photo de Alfonso Navarro Táppero
Cette tribu de Namibie est l'une des rares à avoir conserver son style de vie au fil des années. Même si les Himba ne sont pas isolés du tourisme, on peut y aller facilement, ils ont su conserver leurs coutumes : leurs pieds sont rouges car ils mettent une sorte de graisse animal sur le sol; les peintures indiquent le sexe des nouveaux nés et leur niveau social; leur nourriture est à base de lait, viande, et la polygamie y est autorisée. Si quelqu'un a la chance de visiter l'un des petits villages de la tribu, il est important de respecter à 100% les membres de la famille, et ne rien donner à manger aux enfants car cela pourrait leur causer des troubles dentaires si c'est quelque chose qu'ils n'ont jamais mangé. 3 - Parc Naturel de Torres del Paine (Chili) Photo de Roger Uceda
"J'ai beaucoup voyagé mais j'ai rarement profité autant de la beauté d'un lieu. Ici, en Patagonie chilienne, j'ai trouvé la beauté, la texture, les couleurs et les formes... en définitive de l'art avec un grand A". Si Chris Pomeroy décrit ce parc avec tant d'émotions, c'est parce que c'est un endroit unique au monde. Le parc national Torres del Paine est un des plus grands du Chili, entre les montagnes, lacs, et rivières, avec un bleu intense, des bois et des glaciers. Plus de 240 000 hectares de nature pure à découvrir. 4 - Bet Giyorgis (Ethiopie) Photo de Alfonso Navarro Táppero
Appelée aussi Eglise de Saint Georges, en Ethiopie, qui selon une légende fut construite par un vrai miracle : le roi Gebre Mesqel Lalibela a construit beaucoup d'églises au 13ème siècle, mais n'en avait pas fait une dédiée à Saint Georges. Après une vision divine, le roi a donc promis de lui construire l'église la plus belle du monde et c'est ce qui s'est passé. A 13 mètres en dessous du niveau de la terre on peut entrer dans ces petits passages souterrains. On a souvent dit de cette église qu'elle pourrait être la 8ème merveille du monde. 5- Glacier Athabasca (Canada) Photo de Naxos
Même si le glacier le plus connu du monde est certainement le Perito Moreno, le Athabasca est le plus visité de l'Amérique du Nord, dans le parc national de Jasper au Canada. Ce glacier a subit les changements climatiques de la planète. De ce fait, au cours des 10 dernières années il a perdu la moitié de son volume initial et a rétréci considérablement. Il reste cependant très spectaculaire. On peut y accéder facilement par la route 93, et beaucoup de personnes vont le visiter chaque année. On recommande de ne pas y aller seul, ou avec quelqu'un qui connait bien l'endroit pour ne pas prendre de risque. *** Voici donc 5 lieux un peu moins connus qui font partie de notre liste "les lieux à voir dans sa vie" à laquelle vous pouvez contribuer vous aussi. Et si vous êtes déjà allés dans l'un de ses lieux ajoutez vous aussi votre expérience pour inspirer les autres voyageurs ;) Lire la suite... Chypre nos programmes sur mesure Vendredi, 23 Août 2013 08:00 La Rédaction Bien que Chypre ne soit pas très étendu, pas question de perdre son temps en chemin. Sillonner l'île en 1 semaine, ou en dix jours en famille, voici ce que l'on vous propose, tout en tenant compte du fait que les vols européens arrivent généralement en fin de journée. Si vous avez des envies spécifiques, n’hésitez pas à nous contacter. Lire la suite... Blog de harleymoon - derniers instants sur les routes américaines Vendredi, 23 Août 2013 04:39 voyage Blog de harleymoon - derniers instants sur les routes américaines. .. Lire la suite... Photos de voyage Vendredi, 23 Août 2013 00:00 En Escale Voici quelques photos de notre récent voyage ;aux USA Grand prismatic Lire la suite... Liberté Vendredi, 23 Août 2013 00:00 En Escale Liberté. Lire la suite... The rainforest in Andasibe and the wetland in Torotorofotsy Vendredi, 23 Août 2013 00:00 En Escale On Wednesday, I went for my walk into the rainforest. The rainforest was quite similar to the one in Ranomafana, the big difference between both is that Andasibe is situated a l Lire la suite... Les vins rouges québécois vus par Nadia Fournier Jeudi, 22 Août 2013 23:36 L'actualité Maillon faible de la viticulture québécoise, le vin rouge ? Un nombre grandissant de producteurs élaborent des vins intéressants qui vont de pair avec le climat particulier (… ou frais !) du Québec, explique Nadia Fournier. La chroniqueuse Vins de L’actualité présente ici trois produits surprenants qui valent le détour. Cet article Les vins rouges québécois vus par Nadia Fournier est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Les vins blancs québécois vus par Nadia Fournier Jeudi, 22 Août 2013 23:19 L'actualité Certes, le Québec ne produit pas autant de vins blancs que la Californie et l’Ontario, par exemple. Mais l’acquisition de certains domaines viticoles québécois par de riches hommes d’affaires — qui font de la production de vins leur seconde carrière — donne un nouveau souffle à l’industrie depuis peu. Explications et suggestions (dont… un Gewürztraminer !) de Nadia Fournier, chroniqueuse Vins à L’actualité. Cet article Les vins blancs québécois vus par Nadia Fournier est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Vidéo] Quelle rentrée pour nos politiciens Jeudi, 22 Août 2013 22:12 L'actualité L’automne s’annonce politiquement chargé à Québec, avec des sujets costauds et parfois émotifs, sur fond d’économie chancelante, de commission Charbonneau et de réchauffement électoral. Pour faire le point sur la rentrée des politiciens et analyser les débats à venir, le rédacteur en chef adjoint de L’actualité, Charles Grandmont, s’entretient avec Alec Castonguay, chef du bureau politique au magazine. Cet article [Vidéo] Quelle rentrée pour nos politiciens ? est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Vivre à Montréal-Nord Jeudi, 22 Août 2013 21:45 Pierre Duchesneau Cet article Vivre à Montréal-Nord est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Reality les dessous pas toujours roses de la télé-réalité Jeudi, 22 Août 2013 20:30 Daniel Chrétien Les dérives de la télé-réalité et de la célébrité instantanée ont déjà inspiré plusieurs scénaristes du Québec et d’ailleurs, ce qui a donné des films comme Truman Show, Idole instantanée et Louis 19, pour ne nommer que ceux-là. À cette liste, il faut désormais ajouter un nouveau titre, et non le moindre : Reality, du réalisateur italien Matteo Garrone. Lorsque les producteurs de la célébre émission italienne de télé-réalité Grande Fratello débarquent à Naples, à la recherche des concurrents de la prochaine saison, toute la famille de Luciano l’implore d’aller passer l’audition. Après tout, Luciano est le fanfaron de son quartier et est aimé de tout le monde. D’abord réticent, il finit par se laisser convaincre, voyant dans ce genre de Loft Story italien — où les concurrents vivent 24 heures sur 24 devant les caméras — une façon facile de gagner argent et notoriété, et de quitter son emploi de poissonnier. Luciano, superbement interprété par Aniello Arena (dont c’est le premier film) franchira une à une les étapes menant vers cette gloire instantanée. Sauf qu’en cours de route, convaincu que les producteurs l’épient, il sombre dans paranoïa, la dépression et finit presque par perdre contact avec la réalité. Ce film, bien qu’il traite d’un sujet maintes fois exploité depuis le milieu des années 1990, a le mérite de l’aborder sous un angle novateur. Cette fois, on ne s’attarde pas aux concurrents sélectionnés, mais bien à un individu anonyme et à son désir démesuré d’entrer dans la fameuse maison. Malgré une première demi-heure confuse où l’action aurait pu être resserrée, Reality demeure une satire sociale réussie. Matteo Garrone est parvenu, à l’aide des personnages secondaires qui semblent parfois sorties tout droit des Belles-Sœurs de Michel Tremblay, à susciter une réelle sympathie pour le pauvre poissonnier. Ces femmes croient tellement en ses chances qu’on finit par y croire dur comme fer nous aussi. Bien sûr, tout le monde s’embrasse, tout le monde s’engueule, ça gesticule et ça hurle, bref c’est la version caricaturale de l’Italie qu’on nous offre ici. Mais cela n’enlève rien au propos plus sérieux qu’il n’y paraît à prime abord : la télé-réalité fait beaucoup plus de victimes que de gagnants. Reality a d’ailleurs remporté le Grand prix du jury, à Cannes, l’an dernier. À voir. Cet article Reality : les dessous pas toujours roses de la télé-réalité est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Blog de Portauloin - Radio Canada 2 ème partie Jeudi, 22 Août 2013 19:48 voyage Blog de Portauloin - Radio Canada : 2 ème partie Lire la suite... Prédicateurs quelles sciences islamiques Jeudi, 22 Août 2013 17:46 Valérie Borde Les radicaux musulmans que Québec voudrait empêcher de venir prêcher à Montréal en septembre prônent les sciences islamiques «qui libèrent des ténèbres de l’ignorance». Mais selon l’astrophysicien algérien Nidhal Guessoum, auteur du livre «Réconcilier l’islam et la science moderne, l’esprit d’Averroès», ces radicaux font un usage trompeur du mot «science». Dans une entrevue accordée au site oumma.com en 2010, il explique très bien que dans la culture islamique, le terme par lequel on désigne la science est ’ilm, «mais ce terme est très englobant, vaste et vague, qui signifie tout autant connaissance sur un plan plus général que science.» L’Islam, rappelle-t-il, a toujours encouragé la quête de la connaissance. «Mais bien que l’Islam encourage la recherche et ne pose, a priori, aucune limite au champ d’investigation, les oulémas (religieux) ont souvent posé la condition suivante : le savoir profane ne doit jamais contredire ou même remettre en question les «constantes» islamiques», explique-t-il. Ce qui, de fait, représente tout une distinction par rapport à la méthode scientifique, peanfinée depuis Aristote, y compris par des savants arabes, et qui consiste à tirer des connaissances de l’observation de faits le plus indépendamment possible des croyances de l’observateur! La «science» que prônent les prédicateurs désigne plutôt leur interprétation pour le moins particulière du Coran, selon laquelle, entre autres, serrer la main d’une femme s’apparente à la fornication. Ouch! Dans la série «confondons science et religion», Nidhal Guessoum critique aussi vertement la théorie de l’«ijaz», selon laquelle les versets du Coran contiendraient des vérités scientifiques démontrées bien après son écriture. «Ce «miracle scientifique» attesterait de son origine divine. Selon l’astrophysicien, professeur à l’American University of Sharjah, aux Émirats Arabes Unis, il s’agirait plutôt d’un bricolage éhonté, et néanmoins fort à la mode, qui consiste à faire dire au Coran ce qu’il ne dit pas et à «faire un amalgame grave entre deux visions du monde dans ses dimensions physiques et métaphysiques». Les vrais érudits, explique-t-il, savent que les versets sont le plus souvent équivoques. Selon le chercheur, toutes ces théories farfelues empêchent le monde musulman d’avancer réellement dans le sens du progrès des sciences. Ce dont il aurait pourtant bien besoin. Cet article Prédicateurs : quelles sciences islamiques? est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Blog de Béalenzoni - Bangkokle retour Jeudi, 22 Août 2013 17:42 voyage Blog de Béalenzoni - Bangkok...le retour!!! Lire la suite... Blog de mathilde-t - Bientôt le départ Jeudi, 22 Août 2013 16:50 voyage Blog de mathilde-t - Bientôt le départ ... Lire la suite... Les huit éditeurs de La Tournure mettent de la poésie dans nos vies Jeudi, 22 Août 2013 16:15 André Ducharme Photo : Jocelyn Michel Le fracas, l’élasticité de la jeunesse. Mûris par la grève des étudiants qui les a soudés au printemps 2012, Daria Mailfait-Bernier, Julien Fontaine-Binette, Stéphanie Séguin, Xavier Vadboncœur, Geneviève Gosselin-G., Olyvier Leroux-Picard, Zéa Beaulieu-April et Jules Gagnon-Hamelin, d’horizons universitaires divers (philosophie, cinéma, sémiologie, littérature…), ont fondé — avec le soutien d’un aîné, Jacques Binette — les Éditions de la Tournure, coopérative de solidarité. Dessein de l’entreprise, exprimé succinctement : « Vouloir dire tout en ne censurant aucune malice / pour marcher sur Dieu. » Ambitieux programme. Daria Mailfait-Bernier (bras levé) et Julien Fontaine-Binette (en haut) parlent au nom du groupe. La Tournure est donc née du printemps érable ? Daria : Avant la grève, on vivait tous dans des espèces de cercueils. On s’est rendu compte qu’on était capables de réaliser des choses, d’ouvrir des brèches dans le réel. En ce moment, on apprend tous et toutes à devenir éditeurs, comme on apprend à se révolter. À coups de discussions, de frictions, de réflexions. Julien : On est huit petits individus, lecteurs passionnés, qui veulent publier des livres. Pourquoi ? Pour rendre la poésie plus présente dans nos vies. La Tournure ne publiera que de la poésie ? Vous ne deviendrez pas riches ! Daria : Par poésie, on entend plus une posture et une sensibilité qu’une forme littéraire. Rien ne nous empêchera de publier des essais. D’ailleurs, le prochain titre tiendra plus du récit. Julien : Et puis, notre but n’est pas de nous enrichir, mais de vendre assez de livres pour pouvoir en faire d’autres. Quand tu vends 200 recueils au Québec, c’est un succès. On a imprimé 350 exemplaires de notre premier livre et, franchement, ça va bien. À l’ère du numérique, pourquoi avoir choisi le support papier ? Julien : Peut-être par réaction à l’égard d’une époque où les blogues sont rois, mais surtout par amour du papier, de son odeur. On voit le livre comme un objet affectif : la possibilité de le passer à quelqu’un, le raturer, l’annoter, y laisser des traces de ce que sa lecture nous a procuré. Une caractéristique de votre coopérative d’édition ? Julien : Contrairement à la norme de 10 % qui a cours dans le monde de l’édition, nous remettons à l’auteur 22 % du prix de son livre. Daria : Et on assure, à vélo, la distribution de nos livres ! Sur votre site Web, vos mandat et objectifs ne sont pas très clairs. Pouvez-vous décrypter vos intentions ? Daria : On assume avec humilité que La Tournure construira son identité au fur et à mesure de ses publications, du cercle de ses auteurs, de la communauté de ses lecteurs. Mais nous nous définissons déjà par nos actions. Comme les « prescriptions poétiques ». De quoi s’agit-il ? Julien : Il s’agit d’envahir le tissu urbain pour amener la poésie là où on ne la trouve pas nécessairement. Par exemple, on installe une table avec des livres au square Victoria, à Montréal, ou lors d’une fête de quartier : on aborde les gens, on leur demande ce qui les absorbe et on leur recommande des auteurs pouvant éclairer leurs interrogations. Et on leur parle de La Tournure, bien entendu. Daria : On se heurte aussi à l’adversité, à ceux qui disent : « Moi, je ne lis pas. » Ou bien : « Je suis ingénieur, la poésie ne me dit rien. » Mais si on arrive à poétiser le quotidien d’une seule personne… La Tournure a-t-elle une politique éditoriale ? Daria : Je dirais une contrainte : à chaque auteur est demandé d’utiliser dans son texte le mot « étreinte ». André Breton a écrit que « l’étreinte poétique, comme l’étreinte de chair, tant qu’elle dure, défend toute échappée sur la misère du monde ». Cela nous rejoint. • Premier ouvrage paru : D’espoir de mourir maigre, recueil de Charles Dionne, cofondateur du blogue Poème sale. Pour adhérer à la coop de solidarité des Éditions de La Tournure : part sociale de 10 dollars. Cet article Les huit éditeurs de La Tournure mettent de la poésie dans nos vies est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Blog de dreamtrip - En routes vers la Gaspésie Jeudi, 22 Août 2013 15:57 voyage Blog de dreamtrip - En routes vers la Gaspésie Lire la suite... L’Albuquerque de la série « Breaking Bad Jeudi, 22 Août 2013 14:52 Corentin
Vous êtes fan de la série Breaking Bad ? Alors vous ne pouvez qu’être enthousiasmé par ceci : plonger dans l’atmosphère pesante de la série et dans la peau de Walt, le héros, à Albuquerque au Nouveau-Mexique. Petit rappel élémentaire pour ceux qui n’auraient pas encore succombé : Breaking Bad, c’est l’histoire de Walter White – dit « Walt » – un prof de chimie condamné par un cancer et qui, pour assurer l’avenir de sa famille, se lance dans la fabrication de drogue, avec l’aide de l’un de ses élèves. Tout cela se passe donc au Nouveau-Mexique, à Albuquerque plus précisément. La série qui compte 5 saisons est un succès mondial et on ne compte plus les récompenses qu’elle a reçu, ainsi que les deux acteurs principaux, Bryan Cranston et Aaron Paul.
La ville d’Albuquerque surfe sur le succès de la série et propose aux touristes des tours où ils pourront marcher dans les traces de ses personnages et découvrir les lieux de tournage. Il faut préciser pour les non-initiés à Breaking Bad que l’atmosphère si particulière de la ville et les paysages de sa région impriment leurs marques sur la série. Nous vous proposons ici 3 tours différents. Visite librePour faire ses premiers pas à Albuquerque, rien de mieux que de visiter par vous-même les sites les plus célèbres de la série, à votre rythme et en fonction de ce que vous aimez le plus dans Breaking Bad. L’office du tourisme d’Albuquerque a d’ailleurs concocté cette carte très pratique (ci-dessous) qui recense les points d’intérêts. Breaking Bad Albuquerque Locations nagyobb térképen való megjelenítése The BaD TourSi vous craignez les fortes chaleurs du Nouveau-Mexique, sachez que The BaD Tour propose de vous emmener en petit train sur les 13 sites les plus importants de la série. Oui oui, le restaurant Twisters Grill / Los Pollos Hermanos est compris dans la visite ! Vous pourrez y déguster un délicieux burrito. La visite dure environ trois heures. Si vous voulez quelque chose de plus, il y a la possibilité de faire un “BaDer Tour” et même un “BaDest Tour”. Ils incluent, en plus des visites touristiques normales, une fête privée dans la Back Alley Draft House ! - Endroits visités : la maison de Walter White, la maison de Jessie Pinkman, la maison de Gus, la boutique de lavage de voiture, la blanchisserie, bureau de l’avocat Saul Goodman, la voie ferrée, le Motel Crossroads , Los Pollos Hermanos,…
- Prix : 65 $ pour The BaD Tour ; 80 $ pour le BaDer Tour le BaDest Tour
- Prochaines dates programmées : le 25 août et le 1er, 8, 15, 22 et 29 septembre
- Note : moins de 17 ans ? Vous devez être accompagné par une personne majeure.
Biking Bad TourAvec le “Biking Bad Tour“, on découvre Albuquerque et la série à vélo avec cette particularité : à chaque personnage correspond un itinéraire précis. Vous entrez donc dans la peau de votre personnage préféré. Selon la société qui l’organise, ce tour est complémentaire de ceux que nous avons précédemment présentés. - Lieux visités : les principaux sites + ceux en relation avec votre personnage
- Prix : 50 $ (45 $ si vous apportez votre propre vélo)
- Prochaines dates : le 24 août, le 7 et le 21 septembre
Le liligo tourVoici notre proposition : saviez-vous que la légendaire Route 66 passe par Albuquerque ? Nous vous suggérons donc de louer une voiture à Albuquerque pour fuir votre policier de beau-frère, vers Chicago ou Los Angeles. Attention ! Pas n’importe quelle voiture : une Pontiac Aztek ou un camping-car Bounder 1986 Fleetwood. Tout cela peut paraître un peu obscur pour ceux qui n’ont pas suivi la série, mais c’est tant pis pour eux !
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