Un peu plus deau dans ton Islande Mardi, 27 Août 2013 10:45 voyage Lire la suite... les raisins 2013 Mardi, 27 Août 2013 10:45 voyage Lire la suite... Blog de daijiro77 - Itinéraire Mardi, 27 Août 2013 10:25 voyage Blog de daijiro77 - Itinéraire Lire la suite... A la découverte des crêpes Mardi, 27 Août 2013 10:06 olivier
Cette semaine, nous partons en Bretagne, à la découverte des crêpes. Cette invention de 7.000 avant J-C est, encore aujourd’hui, l’un des plats préférés des Français. L’histoire des crêpesLa crêpe n’est pas une invention récente. Les historiens ont établi son origine à 7.000 avant J-C. A cette époque, il s’agissait d’une grosse galette épaisse conçue grâce à un écrasement de diverses céréales et de l’eau. Vers le XIIIe siècle, la crêpe apparait en Bretagne suite à des croisades en Asie. Grâce à l’arrivée de la farine blanche de froment, elle se transforme au début du XXe siècle en crêpe que l’on connaît actuellement. Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les crêpes
- « Crêpe » vient du latin crispa, signifiant « bouclé, ondulé ».
- La chandeleur provient d’une coutume consistant à allumer des cierges à minuit en symbole de purification. Elle se fête le 2 février.
- Selon la légende, faire sauter leur première crêpe de la main droite, un Louis d’or dans la main gauche, nous garantirait la prospérité.
- La crêpe la plus grande faisait plus de 9 mètres de diamètre. Ce record a été réalisé en Inde.
- 2007 crêpes en 11h20. C’est le record du plus grand de crêpes, détenu par un Français depuis 2007.
- Le record du monde du lancer en hauteur de crêpe est de 9,60 m. Il est détenu par un Finistérien.
La recette de la crêpeIngrédients (pour 15 crêpes) : - 300 g de farine - 3 œufs entiers - 3 cuillères à soupe de sucre - 2 cuillères à soupe d’huile - 50 g de beurre fondu - lait (environ 30 cl), à doser jusqu’à la ce que le liquide épaississe - un petit verre à liqueur de rhum.
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Première étapeCommencez par mettre la farine dans une terrine et former un puits. Mettez les œufs entiers, le sucre, l’huile et le beurre. Puis, mélangez délicatement avec un fouet en ajoutant au fur et à mesure le lait. La pâte ainsi obtenue doit avoir une consistance d’un liquide légèrement épais. Deuxième étapeFaites chauffer une poêle anti-adhésive et déposez-y quelques gouttes d’huile. Faites ensuite cuire les crêpes à feu doux. Bon appétit. [Photo 1, Photo 2] Hébergements conseillés lors de votre visite0_0_29 Lire la suite... Insolite Fukushima pourrait devenir un site touristique Mardi, 27 Août 2013 09:48 olivier
Selon le site Japan Today, Fukushima pourrait devenir la destination favorite des touristes en visite au Japon. Le Fukushima Gate Village permettrait à la fois de venir se recueillir sur les lieux du drame et d’assister aux opérations de nettoyage du site. D’après les experts, ces travaux pourraient durer encore plus de trente ans. Tout serait déjà prévu : un hôtel conçu pour protéger les clients des niveaux élevés de radiations, les restaurants, le mémorial, le musée dédié à l’impact du désastre sur la population locale … D’après le Telegraph, le concept de « tourisme » dérange les populations locales. Rappelons que la catastrophe de Fukushima s’est déroulée le le 11 mars 2011. [Photo] Lire la suite... Quizz voyage spécial tourisme de luxe Mardi, 27 Août 2013 09:13 olivier
Pour ce 43e quizz, nous avons décidé de faire un quizz voyage tourisme de luxe. Interrogé par veille tourisme, selon Olivier Glasberg, directeur de la ligne de produits de luxe Émotions, le luxe, « c’est la privatisation au maximum des services ». Le client doit se sentir comme la personne la plus importante au monde. Bonne chance ! Votre score : Votre classement : Lire la suite... Blog de annie-et-alain - Fin du voyage Mardi, 27 Août 2013 07:31 voyage Blog de annie-et-alain - Fin du voyage Lire la suite... Blog de bebenine - VOYAGE EN ITALIE Mardi, 27 Août 2013 02:16 voyage Blog de bebenine - VOYAGE EN ITALIE !!!!!!!!! Lire la suite... 6 mois déjà on crée la surprise Mardi, 27 Août 2013 00:00 En Escale Bonjour à tous ! Lire la suite... Tout va bien en Iran et chez vous Mardi, 27 Août 2013 00:00 En Escale Salut tout le monde !Nous sommes en Iran et tout va bien !nous avons un peu de mal a avoir internet, et surtout du wifi ! On vous fera un topo complet des que possible !c est un pays magnifique avec des gens super sympa ! En f Lire la suite... Promenons nous dans les bois Mardi, 27 Août 2013 00:00 En Escale Promenons nous dans les bois.... Lire la suite... Peut-on survivre à l’horreur Lundi, 26 Août 2013 23:22 Noémi Mercier Quelques heures après l’accident ferroviaire de Lac-Mégantic, des dizaines de personnes se rassemblaient pour prier dans l’église de Sainte-Cécile-de-Whitton, à quelques kilomètres de là. Photo : François Laplante-Delagrave / AFP/ Getty Images Même dans les cendres d’un village anéanti. Même dans l’abîme creusé par l’absence d’un enfant, d’un mari, d’un parent. Même dans cette fin du monde où rugit encore le souvenir terrifiant des flammes, quelque chose de neuf peut naître. De nouvelles pousses, plus vigoureuses, peuvent croître. Les récits sacrés comme les histoires de super-héros exploitent depuis longtemps l’idée qu’une force insoupçonnée vient à ceux qui surmontent les pires catastrophes. Mais ce n’est que depuis une décennie que les spécialistes de la psychologie de l’adversité osent s’intéresser de près à l’envers des tragédies. Et ils découvrent que le phénomène n’est pas réservé qu’aux êtres de légende. À VOIR AUSSI SUR L’ACTUALITÉ.COM : 7 clés pour comprendre la solidarité après une tragédie >> Stephen Joseph, professeur de psychologie à l’Université de Nottingham, au Royaume-Uni, a été l’un des premiers à poser un regard scientifique sur ce phénomène, qu’on appelle dans le domaine « croissance post-traumatique ». En interrogeant les rescapés d’un naufrage meurtrier survenu dans la Manche en 1987, le psychologue avait été stupéfait de constater que près de la moitié d’entre eux en avaient retiré une vision plus positive de la vie. À la même époque, une équipe canadienne avait interviewé des gens qui, quelques années auparavant, avaient perdu un enfant ou un conjoint dans un accident de voiture : les trois quarts pouvaient citer au moins une amélioration dans leur vie à la suite de ce deuil. « Quand j’ai commencé à parler de mon travail sur les bons côtés du traumatisme, il y a 20 ans, mes collègues me regardaient d’un air dérouté. Mes détracteurs affirmaient qu’il n’y avait rien de positif là-dedans. Pas dans le traumatisme, en effet, devais-je expliquer sans cesse. C’est le fait de se débattre contre le malheur qui peut produire des effets bénéfiques », écrit Stephen Joseph dans son plus récent ouvrage, What Doesn’t Kill Us: The New Psychology of Post-Traumatic Growth (Basic Books). « C’est l’une des avancées les plus enthousiasmantes en psychologie clinique, car elle promet de bousculer l’idée selon laquelle le traumatisme mène inévitablement à une existence abîmée et dysfonctionnelle. » Depuis, des centaines d’études l’ont confirmé pour toutes sortes de calamités : écrasement d’avion, ouragan, séisme, guerre, viol, cancer, mort d’un être cher. L’actualité a joint le chercheur à son bureau de Nottingham. Stephen Joseph est l’un des premiers à avoir étudié de près le phénomène de la croissance post-traumatique. – Photo : Maria Tanner at Lace Market Photography Qu’observez-vous comme croissance psychologique chez les gens qui ont survécu au pire ? Entre 30 % et 70 % des survivants déclarent que le traumatisme a eu sur eux des conséquences favorables. Ceux qui se disent « transformés » racontent que leurs priorités et leur regard sur la vie ont changé, qu’ils ont une nouvelle conception d’eux-mêmes et de ce dont ils sont capables, qu’ils sont devenus plus aimants qu’ils ne l’ont jamais été. Un événement aussi bouleversant agit souvent comme une sonnette d’alarme existentielle. On se rend compte que la vie est courte, qu’elle peut être brutale, et qu’on n’a peut-être pas mis notre énergie au bon endroit. On redéfinit ce qui est réellement important pour nous et on apprécie mieux ce qu’on a. Bien des gens se mettent ainsi à attacher une plus grande valeur à leur famille, à leurs amis, et nouent avec eux des relations plus profondes qu’avant la tragédie. Bon nombre se découvrent aussi de nouvelles forces intérieures, une plus grande compassion pour autrui, une maturité qu’ils ne se connaissaient pas. Beaucoup diront qu’ils abandonneraient tous ces acquis sur-le-champ s’ils pouvaient retourner en arrière. Mais sachant que c’est impossible, ils trouvent le moyen de se bâtir une vie différente de celle qu’ils auraient eue, et ils en viennent à apprécier la valeur de cette autre vie. Être témoin de ça, comme thérapeute, peut être déchirant par moments. Mais voir que, dans les circonstances les plus atroces, les gens parviennent à avancer peut aussi être l’expérience la plus réconfortante et enrichissante qui soit. Les attentats du 11 septembre ou le récent déraillement de Saint-Jacques-de-Compostelle (ci-dessus) sont des tragédies qui auront aussi, avec le temps et à des degrés divers, des conséquences positives. – Photo : Oscar Corral / Reuters Des rescapés pourraient trouver choquante la suggestion selon laquelle ils peuvent tirer des bienfaits d’un cataclysme. Est-il trop tôt pour parler de croissance, quelques semaines après le désastre ferroviaire de Lac-Mégantic ? Il est toujours trop tôt pour en parler de manière prescriptive ou dogmatique. C’est un processus qui se produit naturellement, graduellement, le moment venu, si ce moment doit venir. Mais il ne faut pas faire pression sur les gens. Personne, en pleine crise, ne veut se faire dire de voir le bon côté des choses ou se faire reprocher de ne pas avoir une meilleure attitude. La croissance post-traumatique n’a absolument rien à voir avec la pensée positive ! Reste que certains survivants pourraient remarquer des changements positifs dès les premières semaines suivant l’événement. Des travaux de psychologues américains l’attestent. Deux mois après les attentats du 11 septembre 2001, par exemple, des vertus comme la gratitude, l’espoir, la bonté, le leadership, l’amour et l’esprit d’équipe étaient plus prononcées qu’avant chez un groupe d’Américains. Parmi des étudiants universitaires qui avaient vécu un traumatisme dans les huit semaines précédant les attentats (comme un accident grave, une agression ou une maladie), le quart se disaient déjà plus satisfaits de leur vie qu’auparavant. Certains auront besoin de beaucoup plus de temps pour percevoir des effets positifs, d’autres encore n’y parviendront jamais. Tout dépend de la personne et de ce qu’elle a perdu. Qu’est-ce qui fait que certaines personnes sont plus susceptibles que d’autres de mûrir dans l’adversité ? Ça dépend de la stratégie qu’elles adoptent devant le malheur : l’approche ou l’évitement. L’approche consiste à s’attaquer au problème de front, en s’efforçant de modifier la situation ou de gérer sa détresse. L’évitement consiste à faire comme si le problème n’existait pas, en essayant de se distraire ou de s’engourdir. À petites doses, l’évitement peut être utile pour se protéger jusqu’à ce qu’on soit prêt mentalement à faire face à l’expérience traumatisante. Mais c’est la stratégie de l’approche qui est la plus propice à la croissance. Les gens qui bénéficient d’un haut degré de soutien social, défini non pas par le nombre de personnes disponibles mais par la qualité de leurs relations, sont également en meilleure posture. Quels que soient les bienfaits qu’on en retire, ils n’effacent pas pour autant le deuil et les profondes souffrances causés par la tragédie… La croissance post-traumatique peut certes engendrer une vie plus épanouie, plus remplie de sens, mais elle n’est pas synonyme d’insouciance et de bien-être. On peut très bien croître psychologiquement et, simultanément, se porter très mal. La croissance n’est pas le contraire du stress post-traumatique, ni de la dépression, de l’anxiété ou de la colère. Elle ne les remplace pas. Ils vont de pair. À plus long terme, ce genre de croissance pourra être associé à une meilleure qualité de vie, à une meilleure santé mentale et même physique. Par exemple, des chercheurs du Centre de santé de l’Université du Connecticut ont interrogé des hommes qui venaient de subir une crise cardiaque : ceux qui voyaient du bon dans leur infortune étaient moins susceptibles, huit ans plus tard, d’avoir subi une deuxième crise ou d’être morts, et ils étaient globalement en meilleure santé que les autres. Mais si la croissance post-traumatique peut, au bout du compte, permettre que les gens se sentent bien, ce n’est certainement pas immédiat, ni le but premier de la chose. Le 13 juillet dernier, à midi, on observait une minute de silence à Lac-Mégantic en mémoire des victimes de la tragédie. – Photo : Jacques Nadeau Iriez-vous jusqu’à dire que les séquelles psychologiques sont nécessaires pour qu’une telle maturation se produise ? Effectivement. Il y a des gens qui semblent se sortir indemnes des épreuves, tels des arbres qui restent droits et inflexibles dans la tempête. D’autres plient sous le poids de l’adversité, sans casser, mais retrouvent rapidement leur état originel une fois le vent tombé. Et il y a ceux qui, altérés par les intempéries, ne reprennent jamais leur forme initiale. Les cicatrices, les nœuds, les branches biscornues font désormais partie de leur caractère ; avec le temps, de nouvelles pousses germent sur leur tronc mutilé. Les gens qui connaissent la plus grande croissance ne sont ni ceux qui résistent ni ceux qui se rétablissent rapidement, mais ceux qui sont profondément ébranlés et qui montrent des signes de stress post-traumatique. Cette découverte, l’une des plus frappantes de ce champ de recherche, nous amène à repenser le stress post-traumatique — à le considérer comme un moteur de croissance plutôt que comme un trouble essentiellement nuisible. On peut le voir comme une quête de sens, un processus naturel où la tendance à revisiter et à se remémorer sans cesse l’événement tient d’un besoin normal d’intégrer une expérience épouvantable. Un désastre de la sorte défie pourtant tout entendement. Il n’y a rien à comprendre dans le fait qu’un train rempli de pétrole ait transformé un village paisible en brasier par une belle nuit d’été. N’est-ce pas paradoxal de vouloir donner un sens à un incident qui, par définition, est insensé ? Ce que vous décrivez est le pro-pre du stress post-traumatique. On entretient tous un système de croyances, une vision du monde, qui donne un sens à nos vies et qui fait qu’on se lève chaque matin pour faire ce qu’on a à faire. On présume que le monde est bienveillant, maîtrisable, prévisible, juste ; que si on travaille fort, on sera récompensé ; que si on est une bonne personne, il ne nous arrivera rien de mal. Quand survient un événement traumatique, c’est tout cet échafaudage qui s’écroule. Imaginez une boule à neige qu’on secoue et tous les flocons qui s’agitent dans le globe de verre : cette agitation, c’est notre système de croyances qui est retourné sens dessus dessous. C’est une expérience pénible, bouleversante. Mais les choses finissent par se redéposer, le sens se replace autrement. Et dans cette nouvelle configuration, il y a souvent la reconnaissance du caractère aléatoire et insensé des événements. Après une telle épreuve, on ne peut faire autrement que de réaliser que la vie est intrinsèquement incertaine, imprévisible, incontrôlable ; que l’être humain est fragile et mortel. Cette prise de conscience est sans doute l’essence de la croissance post-traumatique. C’est lorsqu’on conçoit le monde différemment — sans doute de manière plus réaliste — qu’on peut aller de l’avant et commencer à réorganiser sa vie. Et se dire : maintenant que je vois le monde tel qu’il est, voici comment je veux vivre. Cet article Peut-on survivre à l’horreur ? est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Élections complémentaires les étoiles de Toronto-Centre Lundi, 26 Août 2013 22:50 Manon Cornellier Les partis fédéraux fourbissent leurs armes pour quatre élections complémentaires qui devraient avoir lieu cet automne. Il y a Bourassa, bien sûr, mais ce n’est pas le seul endroit où on se bouscule au portillon. Ça grouille aussi dans le château fort libéral de Toronto-Centre, l’ancien fief de Bob Rae. La joute se joue entre le NPD et les libéraux et laisse présager un vrai choc des idées À cause des aspirants candidats déjà en liste. Dans le coin néo-démocrate, deux personnalités médiatiques torontoises se sont déjà manifestées. Chroniqueure au Toronto Star et auteure de multiples ouvrages, Linda McQuaig est farouchement à gauche et attire davantage l’attention que sa concurrente, l’activiste Jennifer Hollett, une ancienne VJ de MuchMusic et ex-journaliste à la CBC et à CTV. (Cette dernière a toutefois un parcours intéressant, comme le montre ce texte.) Une victoire de Mme Hollett poserait moins de problèmes à Thomas Mulcair car elle est politiquement moins controversée, Mais elle n’a pas le statut de vedette de son adversaire. Linda McQuaig, elle, sait faire des étincelles. Elle n’hésite pas promouvoir une augmentation du fardeau fiscal pour offrir des programmes sociaux plus généreux. Elle va souvent plus loin que ce que le NPD préconise et n’a pas peur de croiser le fer avec la droite. Une victoire de Mme McQuaig ne passerait pas inaperçue. Chez les libéraux, celle qui accapare tous les regards est la journaliste Chrystia Freeland, que présente ici mon collègue Paul Wells, de Macleans. Ancienne du Globe and Mail et du bureau moscovite du Financial Post, elle a démissionné de son poste chez Thomson-Reuters, à New York, pour faire le saut en politique. Elle devra, avant de devenir candidate, défaire les autres aspirants, l’organisateur communautaire Todd Ross et l’ancienne spécialiste en sécurité des technologies de l’information de la Banque Royale, Diana Burke. Une des grosses cartes de visite de Mme Freeland est son intérêt pour le sort de la classe moyenne, un thème sur lequel elle a beaucoup écrit. Son livre Plutocrats: The Rise of the New Global Super-Rich and the Fall of Everyone Else, sur le sort de la classe moyenne, a d’ailleurs retenu l’attention du chef libéral Justin Trudeau. Il a d’ailleurs fait de cet enjeu le cœur de son programme politique. Il aurait d’ailleurs contribué à convaincre Mme Freeland, certains vont jusqu’à dire qu’il l’aurait invitée à le faire. La course pour l’investiture libérale fait cependant grommeler certains militants car M. Trudeau a toujours promis de ne nommer aucun candidat. Tous, y compris les députés sortants, allaient devoir se présenter à une assemblée de mise en nomination. Il y en aura une dans Toronto-Centre, mais certains se demandent si les dés ne sont pas pipés d’avance. Après tout, tout le monde sait que Mme Freeland est la favorite du chef, comme le note l’ancien conseiller libéral et chroniqueur de QMI, Warren Kinsella. (Pour en savoir plus, voici un lien vers un texte de Postmedia News donnant des détails sur cette controverse.) Se porter candidat dans Toronto-Centre est quand même un pari risqué. Les prochaines élections auront lieu en 2015. D’ici là, la carte électorale ontarienne sera chamboulée et les frontières de Toronto-Centre aussi. Le prochain député devra donc refaire une grosse partie de son travail de terrain pour apprivoiser de nouveaux électeurs. On peut aussi être étonné, après avoir vu le sort réservé à l’ancien chef libéral Michael Ignatieff, de voir des personnes à la carrière prometteuse et qui sont à divers degrés des intellectuelles se lancer ainsi dans la mêlée. Les deux autres circonscriptions en jeu, Provencher et Brandon-Souris, sont des châteaux forts manitobains des conservateurs. On en entend peu parler et il y a de quoi. Dans le premier cas, le député et ministre démissionnaire Vic Toews l’a emporté avec plus de 20 000 voix d’avance en 2011. Dans le second cas, le député Merv Tweed a obtenu une avance de plus de 13 000 voix. Les défis pour les différents partis sont différents. Même s’il n’a aucun siège à protéger, le NPD doit tout donner pour démontrer qu’il peut faire encore mieux qu’en 2011. Et pour y arriver, il doit ravir des appuis aux libéraux avant tout et donc accroître ses appuis ou même arracher des sièges comme ceux de Toronto-Centre et Bourassa. Les libéraux ont remporté ces circonscriptions avec des avances modestes en 2011, soit plus de 6000 et de 3000 voix respectivement. Le PC risque peu alors que les libéraux jouent gros. S’ils devaient reculer ou échapper dans Bourassa ou Toronto-Centre, l’étoile de Justin Trudeau pâlirait sérieusement. Et même au Manitoba où il n’a pas de chances de l’emporter, le PLC doit faire mieux qu’en 2011, ne serait-ce que pour démontrer qu’une remontée est possible dans l’Ouest et non seulement en terrain conquis. Cet article Élections complémentaires: les étoiles de Toronto-Centre est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Projet Bocal du théâtre Plus encore Lundi, 26 Août 2013 21:38 André Ducharme Parfois on tombe sur une accroche promotionnelle de spectacle qui nous titille le cortex (ou une autre partie du corps) et nous incite, toutes affaires cessantes, à se procurer des billets. Raphaëlle Lalande, Sonia Cordeau et Simon Lacroix, cofondateurs de la compagnie Projet Bocal, présentent un spectacle intitulé, tiens donc, Projet Bocal, difficile à caser sous une étiquette sans avoir envie de la décoller sitôt posée. Risquons tout de même : Décalé. Deux courtes vidéos scénarisées par Lacroix en témoignent. Si vous gardez le doigt sur le pli de votre pantalon en regardant les clips, je crois que le spectacle, composé de saynètes et de chansons, ne s’adresse pas à vous. Au Petit Outremont (foyer du Théâtre Outremont transformé en cabaret-studio pouvant accueillir 115 personnes), du 29 août au 13 septembre. 514 495-9944. Cet article Projet Bocal : du théâtre ? Plus encore ! est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Des emplois à 40 ou à 18 l’heure Lundi, 26 Août 2013 21:24 Carole Beaulieu L’aluminerie Rio Tinto Alcan, à Shawinigan. Sa fermeture entraîne la perte de 450 emplois parmi les mieux rémunérés de la région. – Photo : Claude Boucher / Wikimedia Commons Des emplois qualifiés à 40 dollars l’heure — comme ceux qu’offrait Rio Tinto Alcan —, ça change le monde. Ça permet d’acheter plus de billets de spectacle ou d’épargner plus pour sa retraite qu’un emploi à 15 ou 18 dollars… Et ça fait mal quand ça disparaît. Même si le gouvernement Marois ne peut contrôler le prix des métaux sur les marchés mondiaux, ses adversaires politiques lui reprocheront de laisser l’économie partir à vau-l’eau. En politique, tout est affaire de « perception » (voir p. 16). À sembler vouloir trop se préoccuper d’identité et de « valeurs », il risque de perdre beaucoup, alors que les partis fourbissent leurs armes pour des élections au printemps 2014. Les fils et filles de Louis Cyr ne sont pas les cigales dont Lucien Bouchard a un jour déploré la présumée paresse. Ils tiennent au filet de sécurité sociale que leurs pères ont bâti, mais ils savent qu’on ne peut partager une richesse qu’on ne crée pas. De janvier à juillet, le taux de chômage au Québec a crû de 7,1 % à 8,2 %, alors qu’il reculait en Ontario (de 7,7 % à 7,6 %) et que dans l’ensemble du pays il passait de 7 % à 7,2 %. Des villes comme Shawinigan espèrent de Québec une politique industrielle plus forte. Les autorités municipales et les gens d’affaires ont un plan pour rebondir. Ils croient que le centre de coulée d’Alcan pourra tout de même servir à diversifier l’économie de la ville. Ils veulent continuer à transformer des métaux, mais ont aussi dans leur mire de développement trois autres secteurs d’activité, notamment les composants électroniques, les jeux numériques et les technologies vertes. Un Centre d’entrepreneuriat a été établi dans l’ancienne usine de la Wabasso. Une Station du numérique — version mauricienne de la Cité Multimédia de Montréal — devrait y voir le jour au printemps 2014. Une entreprise de la région, Alchemic Dream, qui a des clients dans plusieurs parties du monde, appuie le projet. Reste à faire naître des entreprises dans ce coin de pays qui, il y a un siècle, faisait l’envie de tout un continent ! Papier, textile, aluminium… On fabriquait de tout à Shawinigan. Les photos qui tapissent un mur de la Cité de l’énergie témoignent d’une véritable Silicon Valley de l’époque, où les innovations industrielles se succédaient. L’air empestait, la rivière était pleine de billots, les cheminées d’usines crachaient on ne savait trop quels polluants, et bien des enfants d’ouvriers rêvaient de s’instruire pour fuir la région… Aujourd’hui, motomarines et voiliers taquinent le puissant courant du Saint-Maurice. Le long de la route des Rivières, la forêt toute proche embaume l’air. Les Européens découvrent les pistes de motoneige et de VTT. Mais le tourisme ne suffira pas. * * *
En Mauricie, comme à Gaspé, Sherbrooke ou Montréal, ceux qui travaillent à construire le nouveau Québec industriel ont besoin de tout notre soutien. Le monde change à une vitesse folle. Pour mieux comprendre cette évolution, faire connaître ses artisans, ses pionniers et ses héros, L’actualité augmente cet automne les ressources qu’il consacre à ces domaines. Des sections de son site Web — L’actualité Affaires et Les Leaders de la croissance — traiteront en priorité du monde des affaires, des défis de l’exportation et de l’emploi. L’actualité lance aussi le premier ouvrage de sa collection « Guides pour tous », Le Petit Fortin : L’économie du Québec racontée à mon voisin, signé par Pierre Fortin, qui veut mettre les défis d’aujourd’hui à la portée de tous. Bonne rentrée ! Cet article Des emplois à 40 $ ou à 18 $ l’heure ? est apparu en premier sur L'actualité. Lire la suite... Blog de danielgrun - retour a Braga Lundi, 26 Août 2013 18:22 voyage Blog de danielgrun - retour a Braga Lire la suite... Les nuits de mon grand-père Lundi, 26 Août 2013 17:29 editeurvoyage Les nuits de mon grand-père lui parlent en sept langues. Les nuits de mon grand-père parlent le russe de sa grand-mère, le yiddish des secrets, le polonais de sa ville, l’allemand des camps, l’anglais des soldats américains, le français de sa femme, l’hébreu de ses petits-enfants. Lire la suite... Billets davion Bangkok en baisse et Mexico en hausse Lundi, 26 Août 2013 16:32 editeurvoyage Pour un départ fin septembre, les tarifs d'un certain nombre de destinations long-courrier sont moins élevés que l'an dernier. Lire la suite... Insolite les questions étranges des vacanciers aux offices de tourisme Lundi, 26 Août 2013 11:20 olivier
Le quotidien La Montagne raconte les questions insolites que certains touristes ont posées cet été aux agents des offices du tourisme d’Auvergne. Un touriste a par exemple demandé « si le Gour de Tazenat (un lac cratère) n’est pas trop chaud pour s’y baigner, sachant qu’il doit être en ébullition ? ». Un autre ne veut pas sortir pour le soir du 14 juillet. « Pour le feu d’artifice, si il pleut, ils ont prévu de le faire en intérieur ? » Dans un cas similaire, un touriste souhaite savoir si « le festival Pyrotechnique c’est en plein air ? Et est-ce qu’il y aura un feu d’artifice, après ? ». Les offices de tourisme doivent en voir des vertes et des pas mûres ! [Photo] Lire la suite... Top 10 des plus belles plages de France Lundi, 26 Août 2013 10:53 olivier
Vous cherchez une eau turquoise et du sable blanc ? Vous pouvez aussi trouver ce paradis sur Terre en France. Le site de voyages TripAdvisor a dressé son top 10 des plus belles plages de France. La Côte des Basques, Biarritz
Symbole du surf, la Côte des Basques de Biarritz offre un cadre exceptionnel avec sa plage encadrée de falaises et de rochers. La vue sur la large promenade est magnifique. Palombaggia Beach, Porto-Vecchio
A Porto-Vecchio, la plage de Palombaggia Beach est l’une des plus belles plages de Corse. Sable blanc et eau turquoise, la plage se trouve dans un décor paradisiaque. La plage de Pampelonne, Saint-Tropez
Faisant partie du « mythe tropézien », la plage de Pampelonne est un haut-lieu touristique fréquemment peuplée par les célébrités. Cette immense baie change de couleur. Paloma Beach, Saint-Jean-Cap-Ferrat
Nichée dans une petite crique, la plage Paloma Beach est un lieu d’exception. Vous pourrez nager dans une eau cristalline. La plage de Calais, Calais
Cette plage de sable fin et de chalets blancs a l’avantage de vous laisser respirer une fois la serviette posée. La plage de Saleccia, Corse
Située en Corse, la plage de Saleccia est un lieu magique pour ceux qui souhaitent profiter d’un bain de soleil au milieu des dunes. Espiguette Beach, Montpellier
Plage immense avec des dunes magnifiques, l’Espiguette Beach se trouve à Montpellier. Le sable est fin et s’étend sur des kilomètres. La plage de Châtelaillon, La Rochelle
Cette plage de 3 km de sable fin sur la côte Atlantique est un endroit idéal pour des vacances familiales. C’est un lieu à recommander pour la promenade en bordure de mer. Blue Beach, Nice
Sur la célèbre promenade des Anglais, vous pourrez profiter du soleil dans une ambiance conviviale. Si vous avez faim, vous pourrez aussi déguster les spécialités méditerranéennes et les poissons grillés du jour. Le parc balnéaire du Prado, Marseille
En plein coeur de Marseille, le parc balnéaire du Prado réunit de superbes plages, 26 hectares d’espaces verts, une large palette d’activités sportives et moins sportives ainsi que 3 espaces de jeux dédiés aux enfants. [Photo 1, Photo 2, Photo 3, Photo 4, Photo 5, Photo 6, Photo 7, Photo 8, Photo 9, Photo 10, Photo 11] Dernières recherches des voyageurs pour cet article : Lire la suite... |
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