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Kérak Shobak sur la trace des forteresses croisées de Jordanie

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Imposantes bâtisses dressées sur des pitons rocheux, les forteresse croisés dominent depuis des siècles les vallées de Jordanie. Cet héritage légué par les Croisades fait partie des sites à voir[...]

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«Nous n’avons pas au Québec de problèmes de langue mais un problème de langage

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Photo: Flavio Freitas/Flickr

Photo: Flavio Freitas/Flickr

Mathieu Bock-Côté: Vous avez souvent dit que les Québécois entretenaient un rapport particulier à la langue. Officiellement, nous y tenons. Et je crois qu’effectivement nous y tenons. Mais nous la maîtrisons très imparfaitement. Les mots ne viennent jamais pour nommer les choses. Nous nous réfugions aisément dans quelques mots clés à la mode qui masquent bien mal l’absence de pensée. En quoi l’inculture, ou les limites de notre maîtrise du français, contribuent-elles à une certaine impuissance culturelle québécoise? Et peut-être même à une certaine impuissance politique?

Jacques Godbout: Nous n’avons pas, au Québec, de problèmes de langue, mais un problème de langage. La façon que nous avons d’utiliser la langue révèle notre esprit. Notre langage devrait nous permettre de communiquer avec les francophones du monde, mais nous restons désespérément attachés à notre idiome. René Lévesque s’était convaincu de promulguer la loi 101, outre d’interdire l’école anglaise aux francophones, il espérait éliminer le «joual» et non pas l’anglais! C’était l’époque où René Lecavalier, journaliste du sport, donnait de la noblesse aux soirées du hockey.

Robert Bourassa a par la suite proclamé, faut-il le rappeler, le français langue officielle, était-ce vraiment la peine? Aujourd’hui une langue familière (souvent vulgaire) se retrouve sur toutes les scènes, c’est la langue pratiquée par plusieurs humoristes, des artistes de variétés, des comédiens de feuilletons télévisés, de nombreux enseignants et même parfois c’est aussi celle des échanges entre journalistes et universitaires. À propos de journalistes, prêtez l’oreille à ceux de la radio qui s’amènent souvent au micro avec une coupure de journal, du New York Times ou du Globe & Mail, dont ils veulent nous transmettre la substantifique moelle. Ils parlent alors un étrange charabia qui sent ce que Gaston Miron nommait le «traduidu».

On entend de moins en moins un langage relevé, savant ou tout bonnement respectueux des règles. Desquelles, du, dont, et le reste ont disparu. S’est ajouté le «çala» pour faire court. Qu’un journaliste à la radio répète «il est pas capable» plutôt qu’«il est incapable» me hérisse, il existe des mots et des locutions pour tout dire ! Nous nous privons des nuances que permet une langue qui a accumulé une richesse lexicale depuis mille ans! Montréal est une ville menacée par la pauvreté du français beaucoup plus que par la langue anglaise. Chaque fois que Gaston Miron rentrait d’Europe il se désespérait de notre lexique famélique : «Porte, portière, portillon, portail, huis, disait-il, c’est fou ce qu’on peut ouvrir quand on a les mots pour le dire!»

Les petits enfants à qui les parents lisent des histoires illustrées apprennent un vocabulaire précis, ils parlent à trois ans «comme des livres», mais ils appartiennent à une classe privilégiée. C’est à l’école que cela se gâte, car on tient pour acquis que la majorité des élèves québécois d’origine canadienne-française parlent français. Ce n’est pas tout à fait juste. Certains utilisent en arrivant en classe une langue qui n’est ni grammaticalement ni syntaxiquement française, ils ignorent les accords, disposent d’un vocabulaire simpliste. Les enfants à qui on n’a pas lu de contes dans leur petite enfance auraient besoin d’un cours intensif de français langue seconde. Évidemment personne ne va proposer pareille insulte à la nation, alors les Québécois grandissent et vieillissent avec leurs approximations, bercés par le langage audiovisuel de leurs semblables.

Tous les croisés de la loi 101 devraient d’abord proposer aux Québécois de parler notre langue officielle, mais le sujet est sensible, allez dire à un Québécois de soigner son langage! Il vous répondra que son langage n’est pas malade et se réjouira d’entendre un immigré emprunter son accent, se contentant des cinq cents mots de la langue familière. Au fond, ce rapport folklorique à la langue française de l’Ancien Régime est une autre manifestation d’un repli sur soi qui, paradoxalement, prétend être une affirmation identitaire. S’affirmer, c’est s’imposer au monde et non pas coucouner derrière ses frontières linguistiques.

*****

L97827646229641Le tour du jardin: Entretiens avec Mathieu Bock-Côté sur les livres, la politique, la culture, la religion, le Québec et la saisine, par Jacques Godbout, Éditions du Boréal. En librairie le 11 février 2014.

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Blog de caroetnico - Calangute

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Quel est l’hôtel le plus romantique de France

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amour

Le site de voyages, Tripadvisor, a élu l’hôtel le plus romantique de France. La palme a été attribuée à la Bastide de Boulbon qui se trouve au cœur du village provençal de Boulbon (Bouches-du-Rhône).

Tripadvisor estime que ce choix a été déterminé par « le vote des internautes bien évidemment, mais aussi les avis, appréciations, l’aspect, la propreté ».

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Budget fédéral l’Ontario s’adresse à Flaherty à propos de la péréquation

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TORONTO – À la veille du dépôt du budget fédéral, le ministre des Finances de l’Ontario, Charles Sousa, réclame du gouvernement Harper qu’il assure à sa province un meilleur financement pour ses programmes de santé, d’éducation et de services sociaux.

Dans une lettre adressée à son homologue Jim Flaherty, le ministre Sousa lui signale que pour l’année fiscale en cours, le gouververnement de l’Ontario subit une ponction de 641 millions $ en transferts du Programme de péréquation. Il se plaint que seule l’Ontario doive subir un tel recul.

La première ministre de l’Ontario, Kathleen Wynne, a déjà accusé le gouvernement fédéral de viser son propre équilibre budgétaire sur le dos des contribuables ontariens en réduisant les montants d’argent qui leur sont retournés grâce aux transferts.

Les décideurs fédéraux rappellent pour leur part que les versements du Programme de péréquation sont revus à chaque année. Ils affirment que les versements à l’Ontario ont diminué en raison d’une amélioration de l’économie de la province.

Le ministre Sousa croit que la croissance économique de l’Ontario a besoin de versements fiables et constants du Programme de péréquation.

Jim Flaherty demande au gouvernement de l’Ontario de cesser de blâmer le fédéral pour ses propres ennuis fiscaux et affirme que le Programme de péréquation fonctionne comme il se doit et que la première ministre Wynne le sait.

La péréquation traite des disparités fiscales entre les provinces. Les paiements permettent aux gouvernements provinciaux moins prospères de fournir à leurs résidents des services publics sensiblement comparables à ceux d’autres provinces, à des taux d’imposition sensiblement comparables.

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Top 7 des pays qui ont le plus accueilli les Jeux Olympiques d’hiver

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ski

La 22e édition des Jeux Olympiques d’hiver se déroule à Sotchi, en Russie. En 2018, ce sera Pyeongchang en Corée du Sud qui sera l’hôte des Jeux Olympiques d’hiver. Mais quels sont les pays qui ont le plus accueilli les Jeux Olympiques ? Découvrez notre top 7.

7 – Autriche

autriche

En accueillant les Jeux-Olympiques en 1964 et 1976, l’Autriche est le 7e pays qui a été le plus grand nombre de fois pays hôte des Jeux Olympiques. Les deux fois, ils se sont déroulés à Innsbruck. Cette commune attire toujours de nombreux touristes grâce aux sports d’hiver.

6 – Italie

italie

Cortina d’Ampezzo en 1956 et Turin en 2006 ont été des villes hôtes pour les Jeux Olympiques d’hiver. La première commune est un lieu prisé par une clientèle fortunée. La capitale du Piémont possède, quant à elle, des monuments déclarés patrimoine mondial par l’UNESCO, comme le complexe des Résidences de la Maison royale de Savoie à Turin.

5 – Japon

japon

Les Jeux Olympiques d’hiver se sont déroulés deux fois au Japon : Sapporo (1972) et Nagano (1998). A Sapporo, les visiteurs peuvent se promener dans le verdoyant parc Nakajima ou skier sur le Mont Teine et à l’ancien stade olympique de saut à ski d’Okurayama. A Nagano, les touristes peuvent se balader au bord du lac Daizahoshiou ou monter skier sur le mont Iizuna.

4 – Norvège

norvège

Deux villes norvégiens ont accueilli les Jeux Olympiques d’hiver. Si vous découvrez Lillehamer, on vous conseille de monter à bord du Skibladner, le bateau à aubes et à vapeur le plus vieux du monde encore en circulation. Oslo, de son côté, permet, dans une même journée, de visiter des lieux culturels dans le centre-ville et d’aller skier à la montagne.

3 – Suisse

suisse

Saint-Moritz a accueilli deux fois les Jeux-Olympiques d’hiver. Cette célèbre station de sports d’hiver est réputée pour ses 322 jours de soleil par an. Cette commune de Suisse attire essentiellement des personnes fortunées qui se reposent dans un palace, se détendent dans une cure thermale ou encore dépensent leur argent au casino.

2 – France

france

Chamonix (1924) est la première ville à avoir reçu les Jeux Olympiques d’hiver. Très prisée par les amateurs de sports d’hiver, Chamonix héberge le mont Blanc, troisième site naturel le plus visité au monde. La capitale des Alpes, Grenoble (1968) et Albertville (1992) l’ont ensuite rejoint comme ville hôte des Jeux Olympiques d’hiver.

1 – Les Etats-Unis

etats unis

Lake Placid (1932 et 1980), Squaw Valley (1960) deuxième plus grand domaine du Lac Tahoe, et Salt Lake City (2002) ont accueilli les Jeux Olympiques d’hiver. Parmi les sites à découvrir, on vous conseille le Grand Lac Salé, plus grand lac salé de l’hémisphère ouest du globe, ou encore la ville de Park City, pour ses vallées verdoyantes et ses paysages montagneux.

[Photo 1, photo 2, photo 3, photo 4, photo 5, photo 6, photo 7, photo 8]

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Meurtre dimanche à Montréal arrestation en soirée du suspect recherché

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MONTRÉAL – Un homme recherché pour meurtre a été arrêté dans un logement de l’arrondissement Ville-Marie, tard dimanche soir, par des agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

Le suspect âgé de 31 ans, qui n’aurait pas de domicile fixe, n’a pas résisté à son arrestation qui s’est produite dans une résidence de la rue de Buillion, dans le même quartier où le meurtre s’était produit, quelques heures plus tôt.

Il a été interrogé toute la nuit, lundi, par des enquêteurs du SPVM. Il sevrait comparaître au tribunal lundi ou mardi, au Palais de justice de Montréal, pour répondre d’une accusation de meurtre non-prémédité.

La victime de cette histoire est un homme de 48 ans qui a été trouvé ensanglanté, vers 4h30, sur le sol, près de l’intersection du boulevard de Maisonneuve Est et de la rue Saint-Dominique. ll avait été poignardé au haut du corps.<

Une femme se trouvait à proximité de la victime. Elle a été interrogée et selon le SPVM, ses révélations ont permis l’arrestation du suspect.

Depuis le début de l’année, trois meurtres ont été perpétrés sur le territoire desservi par le SPVM.

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Projet de loi 52 sur l’aide à mourir Mgr Lépine en appelle à la conscience

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MONTRÉAL – L’archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine, lance aux députés de l’Assemblée nationale un appel à la conscience au moment où ils s’apprêtent à voter sur le projet de loi 52 sur l’aide médicale à mourir.

Dans une lettre ouverte publiée lundi, veille de la reprise des travaux des parlementaires, l’archevêque de Montréal leur demande de s’abstenir à appuyer le projet de loi.

Celui-ci définit les conditions et les balises qui permettront à un médecin de donner suite à la demande d’un patient à mourir, sans risque de s’exposer à des poursuites. L’automne dernier, une solide majorité des 125 députés de l’Assemblée nationale semblait appuyer la pièce législative.

Mgr Lépine estime que devancer la mort n’est pas une aide à mourir mais un geste pour faire mourir des patients vulnérables.

Il écrit qu’un jour, chaque humain sera vulnérable et que chacun doit savoir que sa famille et la société ne devanceront pas sa mort, mais seront là pour le soutenir jusqu’à la fin.

Mgr Lépine croit qu’il faut respecter la vie jusqu’à la mort naturelle. L’être humain, ajoute-t-il, ne peut causer la mort de personnes innocentes, si encadrée soit la décision, sans blesser en lui-même la conscience de sa propre dignité.

Le projet de loi 52 a franchi l’étape de l’étude détaillée en commission parlementaire. En tout, 57 amendements ont été apportés sur 70 articles mais le coeur du projet de loi est demeuré intact.

S’il est adopté, les Québécois gravement malades pourront, sous de strictes conditions, demander et obtenir une aide médicale pour mettre fin à leurs jours. L’accès à la sédation palliative continue sera encadré et limité. Pour être admissible, un candidat adulte devra souffrir d’une maladie incurable, être à l’agonie, et affirmer ne plus pouvoir supporter ses souffrances. Il devra consentir par écrit au traitement.

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Blog de voyageaveccyril - 10 millions more than us And me English

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Bombardier annonce de nouvelles commandes en marge du Salon de Singapour

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MONTRÉAL – Alors que s’ouvre le Salon aéronautique de Singapour, Bombardier a annoncé, dimanche, que trois avions supplémentaires de sa CSeries viennent de trouver preneur, lui permettant de se rapprocher lentement, mais sûrement, de son objectif de 300 commandes fermes des nouveaux appareils d’ici leur entrée en service.

Le client, dont l’identité est gardée secrète, est déjà propriétaire d’appareils de Bombardier. Cette entente porte à un peu plus de 200 le nombre de commandes fermes des appareils de la CSeries, a fait savoir Marc Duchesne, directeur des communications de Bombardier avions commerciaux, joint par La Presse Canadienne à Singapour.

L’avionneur québécois affirme que ces bonnes nouvelles prouvent que le report de la date de livraison des avions de la CSeries ne vient aucunement influencer l’attrait des transporteurs aériens pour les nouveaux modèles.

En janvier, Bombardier a annoncé que le modèle CS100 serait livré au cours de la deuxième moitié de l’année 2015, plutôt que dès l’automne 2014, et que le CS300 suivrait six mois plus tard.

L’avionneur québécois a du même coup repoussé à 2015 son objectif d’atteindre 300 commandes fermes, d’ici la mise en service des appareils.

En tenant compte des annonces faites à Singapour, Bombardier cumule maintenant 201 commandes fermes d’appareils de la CSeries, soit 24 de plus que lors du vol inaugural de l’appareil, qui s’est déroulé septembre. Le nombre de ventes est-il à la hauteur des attentes de Bombardier?

«On est enligné sur notre objectif et on va l’atteindre. Si l’on se compare à l’industrie, ça va très bien. Lorsqu’un avion est annoncé, il y a un rythme de prise de commande et on est très content du rythme actuel», a soutenu M. Duchesne.

Bombardier fait cependant savoir qu’elle a enregistré des commandes et engagements touchant 445 avions CSeries. Mais à la différence des contrats fermes, ils ne sont «pas encore à 100 pour cent solides», précise le porte-parole de Bombardier.

Le marché Asie-Pacifique: des occasions pour Bombardier

Le marché Asie-Pacifique est dans la mire de Bombardier depuis plusieurs années. L’entreprise a ouvert plusieurs bureaux dans cette région et elle déploie bon nombre d’efforts pour en mettre plein la vue à l’occasion du Salon aéronautique de Singapour.

Ce rendez-vous du monde de l’aviation, qui en est à sa quatrième année, est le plus important du genre en Asie. Bombardier estime qu’il s’agit d’une vitrine exceptionnelle pour poursuivre sa croissance dans ce marché au fort potentiel.

«C’est un avion déjà populaire dans cette région. Korean Air et la banque chinoise CDB en ont commandé. On est très confiant et d’autres annonces pourraient être faites au cours des prochains jours», a indiqué M. Duchesne.

Cette région du monde connaît un boom touristique, dont profitent les transporteurs aériens, en raison de l’émergence d’une classe moyenne aisée. Plusieurs pays émergents de la région Asie-Pacifique sont cependant frappés de plein fouet par la dégringolade de leur devise depuis le début de l’année. Bombardier croit qu’il ne subira pas les contrecoups de cette instabilité.

«Les avions trop énergivores coûtent trop cher à opérer. Les compagnies aériennes ont besoin d’appareils qui leur permettent de faire des profits et d’être profitables. Nos nouveaux avions sont modernes et consomment moins de carburant. Les coûts d’opération sont donc moindres que les avions des anciennes générations», répond le porte-parole de l’avionneur, tout en assurant que les clients asiatiques sont toujours au rendez-vous.

Emplois: pas de rappels

À la fin du mois de janvier, Bombardier a annoncé qu’il supprimait 1700 emplois, dont la grande majorité à Montréal et Mirabel. L’entreprise justifiait sa décision en évoquant l’importance de réduire ses dépenses, notamment dans la foulée des récents retards dans ses programmes de la CSeries ainsi que du Learjet 85.

Les nouvelles commandes annoncées lors du Salon de Singapour n’auront aucun impact sur cette décision, précise le porte-parole.

«Les mises à pied, quand elles sont décidées, toute l’analyse et les données sont prises en considération. Donc, on n’est pas prêt à rappeler ces gens-là immédiatement. Peut-être dans le futur, il y aura peut-être des rappels, mais pas pour l’instant. Les mises à pied demeurent en vigueur et on continue», a indiqué Marc Duchesne.

Le marché du Moyen-Orient n’est pas en reste, puisque Bombardier a aussi révélé dimanche que Falcon Aviation Services, d’Abou Dhabi, a signé une entente d’achat de deux biturbopropulseurs Q400 NextGen, en configuration de 78 places. La commande ferme est estimée à 61 millions $ US.

Le petit transporteur exploite une flotte d’avions d’affaires de luxe, ainsi qu’une flotte d’hélicoptère qui dessert l’industrie pétrolière et gazière de cette région.

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Immobilier en Floride le marché devient un peu moins favorable aux Canadiens

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BOCA RATON, États-Unis – La fête n’est peut-être pas encore terminée, mais les Canadiens qui souhaitent acheter une propriété en Floride pour s’y réfugier l’hiver devraient commencer à en surveiller les signes précurseurs.

Deux tendances distinctes observées au cours de la dernière année ont eu pour effet d’amoindrir le pouvoir d’achat des Canadiens dans cet État américain pour la première fois depuis la récession: le recul, d’une part, de dix cent du huard sur le dollar américain et la hausse, d’autre part, d’environ dix pour cent sur le prix des maisons aux États-Unis.

Les bonnes affaires sont toujours possibles en Floride, puisque le marché immobilier ne s’est pas encore entièrement remis de l’effondrement boursier de 2008. Il n’en reste pas moins que les potentiels acheteurs devraient s’attendre à un marché nettement plus compétitif que celui des dernières années.

Et les données de 2013 de l’Association nationale des courtiers immobiliers des États-Unis en témoignent. Les ventes de maisons ont augmenté de 9,1 pour cent, soit la meilleure performance depuis 2006, tandis que le prix médian des propriétés a augmenté de 11,5 pour cent, la plus importante augmentation depuis 2005.

Dans le même temps, les acquisitions de maisons par des étrangers ont reculé, l’an dernier. Les chiffres concernant les transactions internationales ne sont pas encore disponibles mais déjà, au mois de mars 2013, le total des ventes s’établissait à 68,2 milliards $ US, en baisse par rapport aux 82,5 milliards $ US enregistrés en 2012.

Les Canadiens représentent le quart des étrangers qui achètent des propriétés aux États-Unis. Et la Floride y est une destination de choix, avec 39 pour cent des transactions qui s’y effectuent. L’Arizona arrive en seconde place avec 24 pour cent, suivi de la Californie, d’Hawaï et du Texas.

Un économiste a par ailleurs indiqué que les tendances observées cette année auraient des conséquences, quoique limitées.

Des statistiques analysées par la Banque TD pour La Presse Canadienne suggèrent que le recul de dix cents du dollar canadien se traduira pas une baisse annuelle de 250 000 touristes canadiens en Floride. Mais la croissance rapide du tourisme canadien dans cet État a été à ce point élevée que même une diminution se traduira par une croissance, qui sera toutefois un peu plus modeste que les années précédentes.

En 2010, le nombre de Canadiens en Floride a augmenté de 12 pour cent, suivi de six pour cent (2011), six pour cent (2012) puis trois pour cent en 2013. La Banque TD prévoit cette année une hausse de l’ordre de deux pour cent.

«Je pense que la croissance ralentit, mais je ne crois pas que les dépenses et la présence des Canadiens sur le marché de l’immobilier reculeront aux niveaux observés il y a cinq ou dix ans, avant la récession», a indiqué le vice-président et économiste en chef adjoint de la Banque TD, Derek Burleton.

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Eau d’érable sur les tablettes encore du travail à faire

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MONTRÉAL – Lancée en grande pompe il y a un an, l’eau d’érable embouteillée n’a pas encore réussi à trouver sa place dans le panier d’épicerie de la majorité des Québécois, mais les acteurs de l’industrie ne désespèrent pas et augmentent la cadence de production.

Depuis dix ans, plusieurs millions de dollars ont été investis dans le développement de ce produit, afin de trouver les meilleures méthodes permettant de récupérer, de traiter et de distribuer à grande échelle l’eau sucrée qui s’écoule lentement des érables de nos forêts.

«Même si c’est de l’eau d’érable, c’est un produit très complexe à développer. Entre 2 et 3 millions $ ont été investis par notre organisation et par le gouvernement dans la recherche et le développement. Nous croyons énormément en ce produit», soutient Paul Rouillard, directeur adjoint de la Fédération des producteurs acéricoles du Québec.

En entrevue à La Presse Canadienne, il révèle qu’environ un million de litres d’eau d’érable seront distribués sur le marché cette année. C’est trois fois plus qu’en 2013.

Trois entreprises, Maple3, Oviva et Seva, ont obtenu le mandat de commercialiser et faire connaître l’eau d’érable aux consommateurs d’ici et de par le monde.

«Nous avons de l’eau d’érable depuis toujours dans nos forêts, mais bien des gens n’ont jamais goûté à ça! Il fallait juste penser à la rendre accessible et à l’offrir en épicerie», explique Stéphane Nolet, de l’entreprise Maple3, dont la famille pratique l’acériculture depuis quatre générations.

Les trois entreprises qui distribuent l’eau d’érable se font discrètes sur les ventes effectuées depuis le lancement du produit, mais admettent qu’un énorme travail reste à faire pour le faire connaître de la population.

«Nous partons de zéro. Il faut faire découvrir l’eau d’érable et donner des raisons aux consommateurs de choisir notre produit plutôt qu’un jus ou un autre breuvage», soutient Denis Normandin, président de Seva.

Faire connaître l’eau d’érable

Le propriétaire d’Oviva, François St-Amour, tient à être présent en épicerie pour la faire goûter aux consommateurs québécois. Il tire plusieurs enseignements des rencontres qu’il a eues avec la clientèle au cours des derniers mois.

«On réalise que lancer de l’eau d’érable n’est pas comme lancer une nouvelle sorte de beurre d’arachide. Plusieurs personnes ne savent même pas que l’eau d’érable vient des arbres, donc on part de très loin!», observe-t-il. Pour convaincre les clients de se procurer le nouveau produit, il dit miser sur ses propriétés toutes naturelles.

Les recherches effectuées par la Fédération des producteurs acéricoles concluent, en effet, que l’eau d’érable contient plus de 46 composés nutritifs, dont un vaste éventail de vitamines et minéraux, d’acides aminés et de polyphénols. Cette eau végétale ne renferme que 25 calories par 250 ml, ajoute-t-on.

Selon Stéphane Nolet, il faut cependant poursuivre les recherches pour encore davantage connaître le pedigree de ce nouveau produit.

«L’eau d’érable a plusieurs propriétés, mais on ne peut pas aller compétitionner Gaterode ou Redbull avec une eau qui vient de l’érable. Elle est désaltérante et peut être utilisée dans les cocktails ou dans des recettes, mais il faut continuer à l’étudier pour connaître ses autres qualités», insiste-t-il.

L’eau d’érable a-t-elle le potentiel de devenir aussi populaire que l’eau de coco, dont les ventes ont explosé au cours de la dernière décennie?

«L’eau de coco, ça a pris 15 ans avant de devenir une mode et, aujourd’hui, les produits offerts sont surtout faits de concentré. De notre côté, nous voulons conserver un produit entièrement naturel, qui n’est pas fait de concentré. Avec une telle stratégie, on croit que nous avons le potentiel de devenir ‘trendy’», insiste M. Normandin.

Nouvelle avenue

Si le produit réussit à prendre sa place dans le marché fort compétitif des breuvages, la production de l’eau d’érable pourrait constituer une nouvelle avenue pour l’industrie acéricole.

Selon les acteurs de cette industrie naissante, les acériculteurs pourraient diversifier leur offre et rentabiliser encore davantage la production toute naturelle des érables.

«Actuellement, quelqu’un qui veut lancer une érablière ne peut pas avoir de quotas de vente de sirop d’érable. Il va donc avoir de la difficulté à rentabiliser son projet, car il ne pourra que vendre son sirop au coin de la rue, soit directement aux particuliers. Dans les prochaines années, on pourrait imaginer des érablières qui produisent seulement pour le marché de l’eau d’érable», confie François St-Amour.

L’eau d’érable est vendue au Québec en contenant d’un litre pour environ 6 $, mais le produit fait aussi tranquillement son chemin ailleurs dans le monde.

«Nous la commercialisons déjà à travers le Canada et depuis peu aux États-Unis et dans certains pays européens. Mais avant de conquérir un marché à très grand volume, il va falloir du temps. Il faut être réaliste, c’est un méga-travail», fait savoir M. Normandin.

Les trois producteurs de l’eau d’érable soutiennent que le prix du breuvage restera stable au cours des prochains mois, même si la production doit augmenter. Il s’agit d’un produit «de luxe», explique M. Normadin, alors que l’eau d’érable ne coule que quelques semaines par année et que cet effet de rareté influence les prix à la hausse.

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Une émission du maire Ford de Toronto débute ce lundi sur YouTube

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TORONTO – Le maire de Toronto, Rob Ford, entreprend ce lundi la diffusion d’une nouvelle émission, cette fois en utilisant le site Web YouTube.

Il coanimera l’émission intitulée «Ford Nation» avec son frère, Doug Ford, conseiller municipal à la Ville de Toronto.

Cette nouvelle initiative survient quelques mois après la fin de la diffusion de l’émission radiophonique hebdomadaire qu’animaient les frères Ford et après qu’une seule émission de télévision ait été mise en ondes par la chaîne Sun TV.

«Ford Nation» vise à faire le point sur les dossiers municipaux de Toronto. Elle devrait aussi servir à mousser la candidature de Rob Ford qui a déjà annoncé qu’il briguera un autre mandat à la mairie l’automne prochain, malgré les nombreuses controverses qui ont jusqu’ici ponctué ses années de pouvoir.

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Koh Tao - Krabi - Koh Lanta

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Salut a tous, D'abord un grand merci pour vos messages qui nous ont bien fait plaisir. Effectivement la Tha:ilande est un pays tres contraste, super a visiter, avec un excellent rapport qualite/prix  et un super m
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Cénoté de Cuzama

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On devait partir aux grottes de Loltun et puis une petite flegme s'est emparée de nous quand on a vu qu'il fallait au moins 3h aller retour. On ira faire un tour dans le centre et puis suivant l'heure on ira au c
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Toujours dans loasis

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Quelques jours sans donner de nouvelles à cause des connexions internet qui étaient pour le moins capricieuses, voir inexistantes la plupart du temps.Il faut dire que, depuis 4 ou5 jours nous étions dans des zones un peu &agra
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up in the air sans George Clooney mais avec le Capitaine Stubing

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Chiapas Tabasco et Veracruz

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Nous voilà arrivés à Villahermosa. Comme nous voulions suivre notre timing à la lettre il a fallu faire un choix. Nous avions 6 jours à placer avant de
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Terrorisme le procès d’un ex-participant de Canadian Idol débutera lundi

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OTTAWA – Le procès d’un ancien participant à l’émission «Canadian Idol» s’ouvrira lundi en lien avec des accusations de terrorisme, plus de trois ans après son arrestation.

Khurram Syed Sher, un pathologiste de London, en Ontario, comparaîtra devant un juge dans une salle d’audience à Ottawa.

Sher, 31 ans, est accusé de complot en vue de faciliter des activités terroristes. Les noms de deux autres hommes, eux aussi accusés dans cette affaire et dont le procès doit avoir lieu en avril, ne peuvent être mentionnés en raison d’une récente ordonnance de non-publication.

La police avait saisi, à la suite de leurs arrestations hautement médiatisées, des livres, des vidéos et des manuels sur le terrorisme de même que des circuits électroniques qui auraient été fabriqués pour faire exploser des bombes artisanales à distance.

Trois autres hommes, qui vivraient quant à eux à l’étranger, sont aussi cités dans le procès en tant que comploteurs non accusés.

Selon la police, le complot aurait impliqué la participation d’individus à Ottawa, en Afghanistan, à Dubaï, en Iran et au Pakistan. Un haut représentant de la Gendarmerie royale du Canada avait déclaré à l’époque que l’attentat n’aurait pas eu lieu avant des mois mais que les comploteurs avaient amorcé la phase préparatoire.

Le procès de Sher, un diplômé de l’université McGill, devrait s’échelonner sur quatre semaines. L’homme qui a été libéré sous caution travaillait comme pathologiste dans un hôpital de St. Thomas, au sud de London.

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Blog de Madigara - J-17

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Blog de Madigara - J-17
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La CAQ lance une campagne publicitaire pour réorienter le débat public

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MONTRÉAL – Alors que les rumeurs entourant la possible tenue d’un scrutin printanier se multiplient, les électeurs doivent s’attendre à être exposés à bien des publicités à caractère politique.

Après le Parti Québécois, c’est désormais au tour de la Coalition Avenir Québec d’y aller de son offensive promotionnelle.

Dès lundi, la campagne de la CAQ va être déployée dans certains journaux, sur Internet ainsi que sur des panneaux installés dans les régions de Montréal, Québec et Trois-Rivières.

Le chef de la formation, François Legault, espère parvenir à rediriger le débat public vers une autre thématique que le projet de charte des valeurs qui, à son avis, «monopolise l’attention du gouvernement Marois».

Il souhaite que la question de la protection des contribuables se retrouve davantage à l’avant-scène.

M. Legault revient régulièrement à la charge avec cet enjeu pour écorcher ses adversaires libéral et péquiste, Philippe Couillard et Pauline Marois.

Il fait alors valoir que leur équipe respective n’ont pas su gouverner adéquatement la province.

Selon François Legault, les taxes et les hausses de tarifs imposées par les derniers gouvernements tant libéral que péquiste, «étouffent» les contribuables. Il juge que les citoyens sont en droit de s’attendre à un peu de répit.

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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