Une nouvelle génération de guides de voyage vient de voir le jour, à Montréal. Conçus en collaboration avec la bande de créatifs de Toxa (qui publie notamment le magazine Urbania), les microguides urbains Unique portent bien leur nom: non seulement sont-ils les seuls du genre à être diffusés en français et en anglais, mais encore n’ont-ils pas d’égal en ce qui a trait à la forme et au contenu.

Crédit: www.unique-guides.com

Leur particularité? Proposer de bonnes adresses dans 7 grandes villes du monde (pour le moment), en fournissant à chaque fois une incursion en vidéo, pour entrer de plain-pied dans les restos, cafés, bars, spas, musées et autres installations dignes de mention.

Bruits, humeurs, ambiances, rencontres avec les serveurs et les chefs (dont une brochette d’étoilés Michelin): tout est mis de l’avant pour donner un avant-goût bien senti, dans chaque cas. En tout, pas moins de 300 clips vidéos ont été tournés à Londres, Madrid, Paris (rive droite), Montréal, Toronto, Bruxelles et Rome.

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Dans chaque ville, quatre vidéos interactives présentent d’abord des adresses incontournables classées selon le type d’expérience recherchée, fut-elle éminemment authentique (ADN), épicurienne (LUX), branchée et “pipole” (BUZ) ou encore alternative, actuelle et contemporaine (HIP).

Ensuite, en cours de visionnement, on propose à l’utilisateur des choix, pour qu’il crée sa propre expérience de visite, selon l’humeur du moment. Chacune des catégories comporte aussi des vidéos à la carte, pour plus de détails sur chacune des adresses. Les textes (dans leur version française) sont narrés par Catherine de Léan, dont la voix s’appuie sur la musique originale de Jean-Phi Goncalves.

Mais ne cherchez pas le dernier boui-boui ouïghour de Toronto ou le meilleur bar éthiopien de Rome, dans le contenu éditorial de ces guides: ils sont assez rares. En fait, dès le départ, on a fait le choix de ne pas trop verser dans le volet ethnique des villes pour se limiter aux adresses – autre particularité – qui reflètent leur âme intrinsèque, leur substantifique moëlle, leur ADN profond, et ce à tous les niveaux. Ainsi, à Montréal, on aborde autant le Schwartz’s et la Binerie que le Lawrence, le Toqué! et les 400 Coups.

Du reste, la section “Vos microguides” permet à tout un chacun d’apporter son grain de sel au contenu, en suggérant ses bonnes adresses et en créant ses propres microguides sur une multitude de destinations, partout dans le monde. En outre, quiconque peut bâtir son itinéraire original, tant à partir des adresses fournies par les guides que par celles des utilisateurs, et partager le tout via Facebook, Twitter, et tutti quanti.

Pour l’instant, les guides Unique sont disponibles – gratuitement – uniquement sur le Web, mais une application pour téléphones multifonctions sera lancée en juin.

Ah! Transparence oblige, votre humble blogueur a agi à titre de recherchiste pour ce très chouette projet – ceci étant dit en toute objectivité, il va sans dire…

Si vous avez toujours voulu nager avec des requins (êtes-vous fou ?!), alors vous avez la chance de faire de votre rêve une réalité en effectuant une plongée avec des requins pèlerins dans l’Océan Atlantique. Pas d’inquiétude, ils sont parfaitement inoffensifs !

Si cet été lors d’un bain au large des côtes bretonnes vous tombez nez-à-nez avec un poisson gigantesque de 10 mètres de long et avec une nageoire dorsale pouvant mesurer jusqu’à 1,5 mètre, pas de panique, il s’agit probablement d’un requin pèlerin. La bête est impressionnante mais se nourrit de plancton et en aucun cas d’humains !

Les requins-pèlerins sont protégés par le droit européen et les nageurs doivent prendre garde à ne pas les déranger ou les harceler. En revanche, ils sont encouragés à prendre leurs caméras étanches pour immortaliser cette rencontre du 3ème type.

Il porte très bien son nom anglais de Basking shark, le requin-flâneur. Johan Ernst Gunnerus, l’homme qui en a fait la première description dit de lui :

« Le Pèlerin n’a rien de la férocité des autres grands squales ; c’est un animal qui n’attaque jamais, qui est particulièrement lent et paresseux. Un bateau peut le poursuivre pendant longtemps sans qu’il prenne la fuite. »

Fiche d’identité de ce géant débonnaire

• Nom : requin-pèlerin (Cetorhinus maximus)
• Taille : 10 mètres de longueur en moyenne, 12 mètres maximum
• Poids max : 4 tonnes
• Second poisson par la taille après le requin-baleine
• Alimentation : plancton, sardines, harengs, maquereaux, etc.

La conduite à tenir

En été, les pèlerins remontent des profondeurs et s’approchent des côtes si bien qu’il est possible d’en observer au large de la Bretagne et du Royaume-Uni par exemple. Quiconque aurait la chance d’en observer un spécimen doit suivre strictement

• Gardez plusieurs mètres de distance
• Si vous êtes plusieurs, groupez-vous
• Si vous êtes en bateau, coupez le moteur pour admirer le spectacle

Si vous avez un appareil photo, prenez des photos en particulier de sa nageoire dorsale et de toutes les caractéristiques distinctives qui pourraient aider les experts maritimes pour identifier l’animal

Toute observation doit être signalée à l’APECS, une association qui étudie les requins, les raies et les cartilagineux. 54 requins-pèlerins ont été signalés sur les côtes françaises en 2011.

Photos : masseea, candiche / Flickr cc.

Comme tous les voyageurs qui ont un jour pris l’avion vous savez que l’on ne peux pas amener tout ce que l’on souhaite en cabine. Les règles de la « Transportation Security Administration’s » sont très strictes : pas de bouteille de plus de 100ml, les emballages sur les cadeaux risquent d’être ouvert…

Plutôt que de détailler la longue liste des objets interdits, nous allons aujourd’hui vous faire découvrir dix objets autorisés que vous n’auriez jamais pensé pouvoir prendre avec vous !

Un réchaud

Et oui, si vous partez camper dans une destination lointaine, sachez que vous avez le droit de voyager avec votre réchaud ! Evidemment, il faudra que l’objet soit propre et stable. Afin de pouvoir vous en servir une fois arrivé, nous vous conseillons d’expédier avant vous les recharges de combustibles dont vous aurez besoin.

Des antiquités et des objets manufacturés

Si vous ramenez en guise de souvenir une statue, des pierres, ou mêmes des tapis persans par exemple, sachez que vous aurez l’autorisation de les garder près de vous en cabine. Personne ne vous posera de problème. Cependant, pensez à avoir sur vous les papiers identifiant l’objet que vous ramenez, et assurez-vous d’avoir l’autorisation de ramener l’antiquité en question. Sans ses papiers, l’objet pourrait vous être retiré.

Une arme à feu et des munitions

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, vous avez le droit de transporter avec vous une arme à feu (non chargée). Il faut simplement bien penser à bien la fixer dans votre bagage à main qui devra être rigide. Ne quitter pas votre bagage, car il est possible qu’on vous demande de l’ouvrir lors des contrôles. Lorsque vous enregistrez vos bagages, mentionnez le fait que vous transporter une arme.

Un équipement de chasse ou de pêche

Si vous partez en voyage dans l’objectif de pêcher, vous avez l’autorisation d’emporter des cannes à pêche, des moulinets ou des mouches. Par contre, si vous partez à la pêche à la baleine et que vous comptez emporter un énorme fusil à harpon, cela ne sera pas possible ! Le matériel de pêche ou de chasse est autorisé à condition qu’il respecte les limites de taille du transporteur.

Des aiguilles à tricoter

Si vous souhaitez emporter vos aiguilles à tricoter afin d’occuper vos soirées, vous pouvez. Par contre, en fonction de l’agent qui contrôlera votre bagage, celui-ci pourra les confisquer s’il les juge dangereuses. Prévoyez donc des aiguilles en bois ou quelque chose pour tenir le tricot que vous aurez déjà commencé.

Un instrument de musique

Les musiciens seront heureux d’apprendre qu’ils peuvent emporter avec eux dans la cabine leur précieux instrument. Cependant, préparez vous à ce qu’il soit scanné et qu’il subisse quelques examens menés par des personnes qui ne sont pas forcément habituées à manipuler ce genre d’objet. Pensez à donner des consignes claires si votre instrument est fragile.

Un parachute

Vous avez peur d’un crash ? Le parachute est votre meilleur ami et ne vous quitte pas dans vos voyages ? Vous serez autorisé à l’emmener avec vous, mais prévoyez de venir au minimum 30 minutes à l’avance, au cas où vous devriez le soumettre à une inspection et l’ouvrir.

Les porcs, singes et autres nouveaux animaux de compagnie

Si vous avez des animaux de compagnie un peu insolites, ceux-ci pourront venir avec vous en cabine. Cependant, pensez tout de même à vous assurez que votre animal sera bien accepté par la compagnie que vous emprunterez. Pour plus d’information sur les précautions à prendre avec les animaux de compagnie en avion, rendez-vous sur notre article 5 conseils pour prendre l’avion avec votre animal.

De l’équipement sportif

Certains équipements sportifs et de loisirs sont autorisés en cabine. Vous pourrez par exemple, si vous partez pour un voyage où vous comptez faire de la plongée, emmener votre masque et vos palmes ! Si elles sont protégées, vous pouvez même apporter votre planche de surf ! Par contre, certains objets n’auront pas forcément le droit d’aller avec vous, comme les boules de bowling, car elles risquent de dépasser le poids autorisé.

Des sex toys

Certaines personnes voyagent avec leurs sex toys ! Cela peut paraître insolite, mais c’est autorisé. Si c’est votre cas, pensez cependant à enlever les piles des objets vibrants afin d’éviter que ceux-ci se mettent en marche contre votre volonté ! Si vous avez des menottes ou des fouets, emballez les. Mais si vous voulez vraiment éviter que l’on vous fasse sortir vos accessoires devant tout le monde, nous vous conseillons tout de même de les mettre dans les bagages en soute.

Nous voici arrivé à la fin de ce top 10 des objets improbables autorisés en cabine dans les avions. Bien que ceux-ci soient généralement autorisés, nous vous conseillons de toujours vous renseignez si vous avez le moindre doute. Pour tout objet fragile ou qui pourrait poser problème, pensez à bien l’empaqueter et bien le fixer dans votre bagage à main.

[Source] [Photo 1, Photo 2, Photo 3, Photo 4, Photo 5]

Vous le savez, c’est une de mes activités favorites ! Depuis trois ans, j’essaie de plonger autant que je peux lors de mes voyages. C’est une activité qui peut être additive franchement. Pourquoi ? En voici les raisons !

1. Plongez et découvrez un autre monde…

Vous aimez le voyage pas vrai ? Vous aimez découvrir d’autres mondes ? Et bien, forcément, c’est un côté dans la plongée que vous aimerez !

Les océans, c’est 70% de la planète et c’est la dernière frontière inconnue sur Terre. Les fonds on été très peu explorés. L’homme a mis les pieds sur la Lune et veut explorer l’Univers. Pourtant, nous ne connaissons quasiment rien des grands fonds.

Peu de monde sur Terre a la chance de pouvoir plonger et découvrir cet autre univers, un élément différent peuplé d’une vie différente.

2. Des sensations uniques sous l’eau!

Après une dizaine de plongées, vous allez ressentir de plus en plus des sensations uniques. Celle de voler !

Oui, vous avez bien lu ! Le contrôle de votre respiration va vous permettre de monter ou descendre sous l’eau tout en palmant. En survolant les fonds et les récifs, vous allez avoir vraiment l’impression de voler.

3. Le monde du silence

Sous l’eau, pas de bruit, hormis celle de votre respiration. Perso, c’est une des rares activités où je ne pense à rien d’autre.

Une prof de méditation m’avait dit qu’il y a avait des points communs entre les deux activités. Ne serais-je que pour le contrôle de sa respiration !

4. La plongée: une foule d’activités différentes !

Vous êtes plutôt naturaliste ? Vous allez adorer découvrir une multitude d’espèces plus étonnantes les unes que les autres ! C’est passionnant ! Il existe des espèces incroyables, une fois à la surface, il s’agit ensuite de leur donner un nom grâce aux encyclopédies sur la vie sous-marine. Il s’ensuit alors des échanges sympas entre plongeurs sur l’identification de telle ou telle espèce.

Vous êtes fan de photo ? Vous allez aimer la photo sous-marine, un autre challenge ! C’est je trouve une des pratiques de la photo les plus difficiles : gérer sa respiration, ne pas bouger, faire une photo bien nette en cadrant et en tenant compte de la faible lumière, chapeau !

Il existe même des compétitions de photos sous-marines ! Je comprends pourquoi !

Vous aimez l’histoire et l’archéologie ? Vous pouvez participer à des fouilles archéologiques ! Imaginez comme cela doit être passionnant !

Vous adorez les épaves ? Voici mon activité préférée en plongée ! Mélangeant exploration et histoire, plonger sur une épave, c’est de l’intensité pure ! De l’adrénaline parfois et des images inoubliables !

Et encore, je n’ai pas parlé de la plongée technique, de la spéléologie sous-marine, de la vidéo sous-marine etc.

Et j’oublie aussi la plongée au Nitrox, utiliser un scooter sous-marin, faire de la pêche sous-marine…

La plongée, c’est génial je vous dis !

5. Des rencontres et une ambiance sympa

Franchement, la grande majorité des plongeurs sont des personnes agréables, intéressantes et passionnées. La plongée, ce n’est pas un sport pour frimeurs, c’est vraiment bonne ambiance.

Beaucoup sont sensibles en outre à l’écologie.

De plus, la plongée se pratique au minimum à deux. Ainsi, vous plongez toujours avec un partenaire, un  « budy ». De quoi faire des rencontres sympas !

Ai-je besoin d’avoir une grosse condition physique et de savoir nager?

Rassurez-vous, la plongée n’est pas un sport, c’est une activité. Elle peut être certes un peu physique, cela dit, c’est n’est pas une activité intense. Nul besoin de faire du sport souvent.

De même, nul besoin d’être un bon nageur pour faire de la plongée. En plongée, vous ne nagez pas en fait. A la surface, vous flottez tout seul et vous palmez pour avancer.

Il vaut mieux certes savoir nager. Du moins, d’un point de vue psychologique. Forcément, si vous savez nager, vous serez bien plus en confiance pour apprendre !

Je me souviens d’une Coréenne au Honduras qui voulait passer son Open Water sans savoir nager. Elle a tout de même dû apprendre vite fait avant avec son instructeur, qui s’en serait bien passé J

Je rajouterai encore, un peu pessimiste, qu’il vaut mieux profiter des fonds marins qui se désagrègent d’année en année avec la pollution et le réchauffement…

Mon Open Water en vidéo :

Voilà une vidéo que mon instructeur avait faite lorsque j’ai passé mon Open Water en 2009 à Ko Chang en Thaïlande (vous marrez pas trop hein) :