Ce qui frappe sur le chemin qui mène Katmandu c’est l’état de délabrement de la ville, la saleté omniprésente. La conduite de mon chauffeur, qui signale sa présence en klaxonnant en permanence qui roule à peu près à gauche en slalomant entre les piétons les motos et une vache, est pour le moins épique. Puis je remarque les habitants, différents, les poules aussi, les chiens dont on m’avait dit qu’ils étaient les plus fainéants du monde, ce que je confirme.
Et là je me dis : ok ça y est pas de doute j’y suis, l’impression d’y être est excitante et celle de ne pas...
Consultez la source sur Enroutes.com: Blog de DavyEnBalade - Arrivée à Katmandu