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Blog de cocogallylis - j-1

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Des hausses de taxes et d’impôts seraient bientôt annoncées en Ontario

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TORONTO – Le budget provincial de l’Ontario augmentera les impôts des salariés à revenu élevé, de même que les taxes imposées aux produits du tabac et au carburant utilisé dans l’aviation, selon un document obtenu d’une source extérieure au gouvernement libéral.

Le document présenté comme un résumé du budget 2014, préparé pour le cabinet libéral et obtenu par La Presse Canadienne sous le sceau de l’anonymat, affirme que le gouvernement augmentera l’impôt des «salariés à revenu élevé».

Le document ne définit pas précisément un barème de revenus élevés et ne dit pas quelle sera la hausse du taux d’imposition de ces contribuables. Mais un article publié mardi par le Toronto Star cite des sources qui affirment que la hausse d’impôts visera seulement la tranche de revenus dépassant les 150 000 $.

La première ministre ontarienne, Kathleen Wynne, a déjà exclu la possibilité de hausser les impôts de la classe moyenne pour payer les transports en commun et les infrastructures, et a rejeté les recommandations en faveur d’une hausse de la taxe sur l’essence ou de la taxe de vente harmonisée.

Le supposé document du cabinet affirme aussi que le gouvernement libéral imposera une hausse de taxe de quatre cents par litre sur le carburant d’aviation au cours des quatre prochaines années, en plus de restreindre les crédits d’impôt pour les grandes entreprises et de mettre un frein à l’exonération fiscale sur le carburant pour les entreprises de construction.

Andrew Chornenky, porte-parole du ministre des Finances Charles Sousa, a refusé de confirmer ou de nier l’authenticité du document. M. Souza et la porte-parole de la première ministre, Zita Astravas, ont également refusé de confirmer les hausses d’impôts et de taxes.

Le document affirme que ces hausses s’inscrivent dans les efforts visant à récolter 29 millions $ sur dix ans pour les transports publics et les projets d’infrastructures.

Mme Astravas a seulement affirmé que le ministre des Finances présenterait jeudi un «plan audacieux» qui «aidera à créer des emplois, à construire des transports en commun et des infrastructures et à fournir aux Ontariens la sécurité de retraite qu’ils méritent.»

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La femme d’un résident canadien détenu en Égypte réclame l’aide du gouvernement

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OTTAWA – Une Canadienne réclame l’aide du gouvernement fédéral pour convaincre l’Égypte de libérer son mari, détenu depuis plusieurs mois dans une prison du Caire.

Sarah Attia affirme que l’état de santé de son mari, Khaled Al-Qazzaz, se détériore.

La femme se dit de plus en plus inquiète du sort de son époux, après avoir appris cette semaine que plus de 680 personnes liées à l’ancien président Mohammed Morsi avaient été ajoutées à une liste de condamnés à mort.

M. Al-Qazzaz, qui détient le statut de résident permanent au Canada, était un proche collaborateur de M. Morsi.

Il a été arrêté avec l’ancien président et huit autres collaborateurs de la présidence au début du mois de juillet 2013, quand l’armée égyptienne a délogé M. Morsi du pouvoir.

Même si M. Al-Qazzaz n’a pas été accusé de quoi que ce soit jusqu’à maintenant, il est détenu depuis 301 jours.

Mme Attia, qui est née au Canada, devait rencontrer mardi la députée de Mississauga, Stella Ambler.

Mme Attia et M. Al-Qazzaz ont quatre enfants dont l’âge varie entre un an et demi et huit ans. Le couple s’est rencontré à l’université de Toronto et a déménagé en Égypte en 2005 pour lancer un projet lié à l’éducation.

Khaled Al-Qazzaz a fait campagne avec Mohammed Morsi après le soulèvement populaire de 2011 en Égypte, avant d’être nommé secrétaire chargé des relations extérieures.

«Nous nous inquiétons de plus en plus de la possibilité qu’à n’importe quel moment à partir de maintenant, Khaled soit confronté à des accusations fabriquées et condamné à la peine de mort lui aussi», a déclaré Mme Attia mardi lors d’une conférence de presse à Ottawa.

Elle a indiqué avoir été informée que le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird, avait récemment soulevé le cas de son mari auprès du gouvernement égyptien, mais elle affirme n’avoir eu aucun détail des discussions.

Il y a deux semaines, Mme Attia avait déclaré qu’elle envisageait de retourner au Caire après avoir attiré l’attention des médias sur le cas de M. Al-Qazzaz.

Mais elle affirme maintenant avoir peur de retourner en Égypte de crainte d’y être arrêtée, puisque des médias du Caire ont laissé entendre qu’elle payait des journalistes au Canada pour susciter la sympathie envers le sort de son mari.

«Je suis (…) inquiète d’être persécutée injustement pour avoir parlé si je retourne voir mon mari», a déclaré Mme Attia.

«Je ne fais pas confiance à l’état actuel des choses en Égypte.»

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Canadienne violée à Paris le père affirme que sa fille aura besoin d’aide

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TORONTO – Le père de la Canadienne qui allègue avoir été violée par plusieurs agents au siège de la police judiciaire à Paris affirme que sa fille devra consulter des psychiatres pour obtenir de l’aide.

Lors d’une rencontre avec des journalistes de la radio française Europe 1, le père de la femme a déclaré avoir été blessé par l’attitude de l’ambassade du Canada en France dans cette affaire.

Le texte publié par Europe 1 ne donne pas plus de détails sur cette remarque.

Deux policiers d’une unité d’élite font l’objet d’une enquête après les allégations de la touriste canadienne, qui affirme avoir été violée au 36, quai des Orfèvres, qui abrite la police judiciaire française.

Le reportage d’Europe 1 indique que le père de la femme a refusé de discuter de l’affaire en détails, en précisant qu’il en dirait plus lors d’un éventuel procès. Les journalistes français affirment avoir rencontré l’homme à Toronto, où il travaille comme policier depuis de nombreuses années.

«Ma fille va devoir voir beaucoup de psychiatres», a-t-il dit aux reporters d’Europe 1.

Le nom de la victime alléguée n’a pas été rendu public.

Un troisième policier est considéré comme un «témoin assisté» dans cette affaire, un statut intermédiaire entre le témoin et le suspect.

Les trois policiers mis en cause ont été suspendus de leurs fonctions en attendant la conclusion de l’enquête.

Des médias français ont rapporté qu’une touriste canadienne âgée de 34 ans avait rencontré des policiers qui n’étaient pas en service dans un bar parisien la semaine dernière. Elle les aurait ensuite accompagnés sur leur lieu de travail, le célèbre «36».

L’avocat de l’un des suspects a déclaré à La Presse Canadienne qu’il s’agissait d’une relation sexuelle «consensuelle».

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Stephen Harper confirme le péage sur le pont Champlain qu’il qualifie de « local 

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OTTAWA – Malgré la prise de position du nouveau gouvernement québécois contre un péage sur le pont Champlain, le premier ministre Stephen Harper, qui qualifie désormais la future structure de «pont local», n’a pas l’intention de changer d’idée.

L’épineux dossier du futur pont montréalais a été abordé la semaine dernière lors de la première rencontre entre M. Harper et le premier ministre du Québec nouvellement élu, Philippe Couillard.

Caressant manifestement l’espoir de voir Stephen Harper reculer sur la question du péage, le ministre québécois des Transports, Robert Poëti, a récemment avancé que les négociations à ce sujet seraient vraisemblablement plus faciles entre Ottawa et son gouvernement fédéraliste que lorsque le Parti québécois était au pouvoir.

Le gouvernement québécois, la Ville de Montréal et les municipalités de la rive sud de la métropole s’opposent à ce qu’un péage soit instauré sur le pont.

Mais Ottawa tient son bout et n’a jamais démordu de son intention d’imposer un péage, malgré ceux qui protestent et craignent l’encombrement des autres ponts, une situation qui pourrait être causée par les automobilistes qui voudront éviter de débourser le prix du passage sur le pont Champlain.

Interrogé mardi aux Communes par le chef libéral Justin Trudeau, Stephen Harper a laissé savoir qu’il n’a pas l’intention de revenir sur sa position.

Il s’agit d’être juste envers tous les Canadiens, a répondu le premier ministre.

«Le gouvernement construit un nouveau pont local majeur dans la ville de Montréal. Nous ne faisons pas cela nulle part ailleurs au pays. La seule base sur laquelle nous pouvons le faire est avec la participation financière des résidants locaux», a-t-il expliqué.

«Ce qui signifie que s’il n’y a pas de péage, il n’y aura pas de pont», a tranché le premier ministre.

Le pont Champlain est le plus achalandé au Canada et est une importante voie de transport pour le commerce avec les États-Unis.

Le Nouveau Parti démocratique s’oppose à un péage sur ce pont qui n’est pas un nouveau pont, mais bien une structure de remplacement, a expliqué le chef Thomas Mulcair.

«C’était plus qu’étonnant d’entendre le premier ministre aujourd’hui opiner que le pont Champlain est un pont local», s’est-il aussi exclamé.

«Le pont Champlain est non seulement une infrastructure vitale pour Montréal, c’est extrêmement important pour le Québec, voire pour tout le Canada. (…) Et aujourd’hui Stephen Harper tente de diminuer l’importance de son obligation, parce que c’est un pont fédéral, en disant qu’il s’agit d’un pont local comme si c’était un ponceau autour d’une crique», a dénoncé le chef.

Justin Trudeau est du même avis.

«C’est une infrastructure d’intérêt national et le gouvernement devrait jouer un grand rôle là-dedans et c’est inacceptable qu’on dise qu’on doit faire un péage même avant qu’on connaisse le plan pour le pont», a dit le chef libéral après la période de questions.

Quant au Bloc québécois, il anticipe une fin de non-recevoir du gouvernement Harper aux demandes pour un pont sans péage. Et cela, peu importe le parti au pouvoir à Québec.

«Je pense que M. Poëti peut faire toutes les représentations possibles, ça va être son travail, mais je pense qu’il va retrouver exactement la même fermeture de la part du gouvernement conservateur», a commenté le député bloquiste André Bellavance.

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Vote à visage découvert le Bloc québécois présentera un amendement à C-23

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OTTAWA – Le Bloc québécois revient à la charge et présentera un amendement au projet de réforme électorale des conservateurs pour obliger le vote à visage découvert.

Le Bloc a l’intention de présenter cette modification au plus tard mercredi, lors d’une séance du comité parlementaire qui étudie le controversé projet C-23.

Ce n’est pas la première fois que le Bloc québécois met pareille proposition de l’avant: il avait présenté un projet de loi en 2007 et n’avait pas abandonné l’idée depuis.

Le vote à visage couvert est par ailleurs interdit au Québec.

Malgré une promesse contenue dans son discours du Trône de 2007 pour «l’identification visuelle des électeurs», et des projets de loi ultérieurs morts au feuilleton, le gouvernement Harper a choisi de ne pas inclure cette mesure dans C-23, préférant probablement se distancier du projet de charte des valeurs québécoises qui était mal vu par un bonne partie de la population canadienne.

Et plus récemment, le ministre de l’Emploi, Jason Kenney, n’a pas voulu se prononcer. Il croit que cette question est différente de l’obligation pour les fonctionnaires de servir la population à visage découvert, puisque les citoyens peuvent de toute façon voter par la poste, sans jamais se montrer le bout du nez.

Pour le Bloc, la raison de cet amendement est simple: «il faut absolument que les travailleurs d’élection puissent constater que tu es bel et bien l’électeur ou l’électrice qui se présente pour voter», a expliqué le député André Bellavance.

«Quand on demande un permis de conduire ou un passeport, on a le visage découvert. Alors quand on va voter, on doit avoir le visage découvert», résume le bloquiste.

Pour le Nouveau Parti démocratique (NPD) et le Parti libéral, le Bloc fait une tempête dans un verre d’eau.

Il n’y a pas de problème majeur, avance le chef libéral Justin Trudeau.

Quant à Thomas Mulcair, le leader du NPD, il dit vouloir évaluer l’amendement du Bloc avant de se prononcer. Celui-ci serait envisageable si les femmes à qui il est demandé de retirer leur voile peuvent le faire dans des conditions qui sont respectueuses et «qui accommodent raisonnablement cette requête», a précisé M. Mulcair.

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Un petit aller-retour

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Un petit aller-retour
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3 mois plus tard

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 On attend avec impatience, on se dit que le temps a décidé de prendre son temps et puis le temps est venu…
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DEPART pOUR LE pELERINAGE

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30 avril 2014 / 26 KmsNous disons au revoir à nos co voisins pélerins, Brigitte, Catherine, Jean-Philippe, JosefLe départ pour notre pélerinage, 07H30 sous la pluie qui nous a suivi tout la journ
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Croisière de luxe sur la baie dHalong

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Infographie] Apple a gagné 5000 pendant que vous lisiez ce titre

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FouineurAvant toute chose, regardez cette courte vidéo.

Vous venez de perdre sept précieuses secondes de votre vie, et je m’en excuse. Sept secondes pendant lesquelles vous n’avez pu travailler et économiser pour vos vieux jours. Considérant que le taux de salaire horaire moyen observé au Québec en 2012 était de 22,18 $, ces sept secondes vous ont privé d’un peu plus de quatre cennes. Durant ce laps de temps, la dette du Québec a par ailleurs augmenté de 2 058 $, selon le compteur de l’Institut économique de Montréal.

Par contre, pendant ces sept secondes, certaines des plus grandes entreprises du monde se sont considérablement enrichies. Le temps d’observer ce bel animal s’égosiller, Apple, par exemple, a engrangé 9 395 $ de bénéfices et 43 356 $ de revenus. En sept toutes petites secondes. (Ces chiffres peuvent varier en fonction du moment exact où vous choisissez d’appuyer sur le bouton « Pause ».)

L’agence de paiement en ligne WorldPay a conçu une animation pour mieux visualiser l’enrichissement, seconde après seconde, de 12 entreprises du secteur numérique : Apple, Amazon, eBay, Facebook, Google, Hewlett Packard, LinkedIn, Microsoft, Samsung, Sony, Twitter et Yahoo. Pour se faire, elle s’est appuyée sur leurs rapports d’activité de l’année 2013.

Spoiler alert : c’est Samsung qui a la « plus grosse bulle », mais Apple compense ce déficit de revenus par une meilleure performance en matière de bénéfices réalisés. Twitter est la seule de ces entreprises à perdre de l’argent ― environ 25 dollars toutes les secondes.

Cliquez sur l’image ci-dessous pour voir l’infographie complète

How Quickly Tech Giants Build Wealth _ WorldPayZinc.com

 

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Khadr cherchera à obtenir une peine pour mineur devant le tribunal en Alberta

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TORONTO – L’ancien détenu de Guantanamo Omar Khadr plaidera sa cause mercredi devant le plus haut tribunal de l’Alberta, espérant que sa peine de huit ans de prison soit reconnue comme une peine pour mineur plutôt que pour adulte.

Alors que les arguments juridiques sont de nature technique, les conséquences sont importantes pour déterminer comment le système carcéral traitera le cas de Khadr — et ses chances d’une libération plus hâtive.

La Cour d’appel de l’Alberta devra déterminer si le Service correctionnel du Canada a interprété judicieusement la peine infligée par une commission militaire américaine en 2010, à la suite d’un plaidoyer de culpabilité de Khadr à cinq crimes de guerre commis en Afghanistan alors qu’il était âgé de 15 ans.

La commission militaire américaine — qui ne fait aucune distinction entre peines pour mineur et pour adulte, ou même entre peines concurrentes ou consécutives — avait ordonné que Khadr soit emprisonné pour huit années de plus que sa détention préventive.

Néanmoins, en traduisant cette peine en des termes canadiens à la suite de son transfert au pays à partir de la base américaine de Guantanamo en septembre 2012, les autorités canadiennes l’ont placé en détention pour adulte.

Essentiellement, l’avocat de Khadr soutient que son client purge une peine «globale» de huit ans pour les cinq crimes pour lesquels il a plaidé coupable. Le gouvernement canadien estime plutôt qu’il purge cinq peines concurrentes de huit ans pour chaque condamnation.

Bien que le gouvernement reconnaisse que sa peine pour meurtre en violation des règles de guerre puisse uniquement être interprétée comme une peine pour mineur en vertu de la loi canadienne, il soutient que les quatre autres — dont tentative de meurtre — sont des peines pour adulte.

Le gouvernement estime ainsi que le juge en chef adjoint de la Cour du banc de la reine John Rooke avait eu raison de se rallier à la position des autorités carcérales, selon laquelle le Torontois de 27 ans devrait purger une peine pour adulte.

Khadr avait été capturé par les forces américaines en Afghanistan, blessé gravement à la suite d’un échange de tirs en juillet 2002. L’adolescent avait été accusé d’avoir lancé une grenade ayant tué un soldat américain, mais soutient qu’il a plaidé coupable par la suite devant la commission militaire uniquement pour sortir de la prison américaine de Guantanamo, dont la légitimité a été contestée un peu partout dans le monde.

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Querétaro rivale ou alliée mexicaine du Québec

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Operations At A Corp. Inmobiliaria Vesta SAB Industrial Park

L’État du Querétaro n’est pas reconnu pour ses plages — il est situé au beau milieu du Mexique. Sa capitale, Santiago de Querétaro (connue simplement sous le nom de Querétaro), n’est pas non plus sur le trajet des touristes qui veulent visiter Mexico, à 220 km au sud.

Mais on entend ce nom de plus en plus souvent quand on parle d’emplois perdus à Valcourt ou dans la région de Montréal.

Blogue EconomieC’est en effet à Querétaro que sont produites, depuis la fin de 2013, les nouvelles motomarines de Bombardier Produits Récréatifs (BRP), ainsi que les carrosseries et coques en plastique de tous les appareils de marque Sea-Doo. Plus de 700 personnes y travaillent, et on prévoit qu’elles seront au-delà de 1 000 en septembre 2015.

BRP suit les pas d’une autre société québécoise, Bombardier Aéronautique, qui s’y était établie en 2005. Les deux sociétés sont distinctes et indépendantes depuis la vente de la division des produits récréatifs de Bombardier en 2003, mais la famille Bombardier-Beaudoin reste le principal actionnaire des deux entités.

Bombardier Aéronautique fabrique une partie du fuselage et des ailes du nouveau Learjet 85 à son usine de Quetéraro, et on y fabriquera aussi des composantes de la nouvelle CSeries.

Alors que Bombardier Aéronautique coupe dans ses effectifs canadiens et américains à cause des délais relatifs à la mise en production de la nouvelle gamme d’appareils, l’usine mexicaine a le vent dans les voiles, comme le rapporte le journaliste Paul Gallant dans une récente édition du magazine Canadian Business.

Pourquoi cet engouement pour Querétaro ? Parce que la région est sécuritaire et qu’on y trouve une main-d’œuvre à la fois qualifiée et peu chère, selon les standards nord-américains. Un technicien en aéronautique gagne environ 25 dollars par jour, et les repas (de même que le transport) sont payés par l’employeur. Un ingénieur peut gagner 60 dollars par jour au lieu de 35 dollars de l’heure au Québec.

La venue de Bombardier Aéronautique a conduit à la création de l’Universidad Aeronautica en Querétaro, qui forme des employés de haut niveau pour le secteur. Il y a huit ans, rapporte Paul Gallant, il n’y avait que deux entreprises aéronautiques établies dans la région, qui comptaient ensemble 700 employés. On en compte aujourd’hui 33, avec 5 000 employés au total. En tout, 1 300 entreprises étrangères sont maintenant établies dans l’État, dont 24 sociétés canadiennes.

Si on s’établit au Mexique, c’est évidemment pour produire à moindre coûts. On pourrait s’en offusquer, parce que ces transactions se font aux dépens des travailleurs canadiens et québécois.

Il y a une autre façon de voir la situation.

Sans les économies réalisées au Mexique, les entreprises canadiennes auraient encore plus de difficulté à rester compétitives face à leurs concurrents chinois, brésiliens ou russes, et leur rentabilité serait beaucoup moindre — si rentabilité il y avait.

Ce sont des dizaines de milliers d’emplois industriels au Québec qui, du coup, seraient menacés, en plus de tous les postes en amont et en aval de la chaîne de production. Je parle ici des postes de concepteurs, d’ingénieurs, de comptables, de gestionnaires, de financiers et de marqueteurs, ou des représentants qui assurent la vente des appareils.

Il y a une autre grande vérité : ces chaînes d’approvisionnement mondiales sont incontournables et font en sorte qu’un pays ne saurait être un grand exportateur s’il n’est pas lui-même un grand importateur.

Pascal Lamy, l’ancien directeur-général de l’Organisation mondiale du Commerce, estime que les exportations incorporent aujourd’hui 40 % d’importations. En clair, pour exporter un produit à 10 dollars, vous devrez importer l’équivalent de 4 dollars de matériel. Si vous ne le faites pas, vous risquez de vous retrouver avec un produit trop cher qui ne trouve pas preneur. Vous voilà bien avancé !

Ce phénomène n’est pas prêt de s’arrêter, et Pascal Lamy prévoit que les produits et services intermédiaires — les intrants — compteront pour 60 % de la valeur du produit dans 20 ans.

On peut évidemment s’en plaindre, mais la tendance est lourde.

Le chemin le plus avantageux pour tirer profit de la situation, c’est d’innover et de lancer des produits. Ils seront fabriqués en tout ou en partie à l’étranger, mais tous les bénéfices de la conception, du design, de l’ingénierie, du marketing, de la finance et de la vente seront perçus par la société à l’origine du produit.

C’est là qu’on crée la plus grande partie de la richesse, de même que les meilleurs emplois.

Oui, Querétaro est notre alliée. C’est en quelque sorte notre Guangzhou nord-américain.

* * *

À propos de Pierre Duhamel

Journaliste depuis plus de 30 ans, Pierre Duhamel observe de près et commente l’actualité économique depuis 1986. Il a été rédacteur en chef et/ou éditeur de plusieurs publications, dont des magazines (Commerce, Affaires Plus, Montréal Centre-Ville) et des journaux spécialisés (Finance & Investissement, Investment Executive). Conférencier recherché, Pierre Duhamel a aussi commenté l’actualité économique sur les ondes du canal Argent, de LCN et de TVA. On peut le trouver sur Facebook et Twitter : @duhamelp.

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Un stagiaire Costa Rica Découverte à Tortuguero

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Un stage chez Costa Rica Découverte et mon excursion à Tortuguero. Un petit paradis de nature et de faune tropicale. Souvenir enchanteur…
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Stephen Harper encourage les provinces à réformer le Sénat ou à l’abolir

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OTTAWA – Si les provinces veulent une réforme du Sénat, il leur revient de la mettre de l’avant immédiatement, a déclaré le premier ministre Stephen Harper, mardi.

Et si elles ne croient pas en une réforme — comme lui-même préfère — elles n’ont qu’à présenter un amendement pour abolir, purement et simplement, la chambre haute, a-t-il ajouté aux Communes.

Le premier ministre répondait ainsi au chef néo-démocrate Thomas Mulcair, qui l’accusait d’avoir levé le drapeau blanc de la défaite dans ce dossier.

Le Nouveau Parti démocratique (NPD), qui prône depuis fort longtemps l’abolition du Sénat, reprochait ainsi à Stephen Harper d’avoir baissé les bras, après l’opinion de la Cour suprême rendue vendredi dernier.

Celle-ci a tranché que le gouvernement fédéral ne pouvait agir seul pour modifier le Sénat, et devait plutôt obtenir l’accord d’une majorité des provinces. Quant à l’abolition de la chambre haute, le feu vert de la Chambre des communes, du Sénat et de tous les gouvernements provinciaux est requis, a jugé la Cour suprême.

Mais Stephen Harper ne voit pas les choses de cette façon. Il répète depuis vendredi que la Cour suprême a conclu que le fédéral ne pouvait pas réformer le Sénat et que seules les provinces peuvent le faire.

«La Cour suprême, dans sa sagesse, a décidé que le gouvernement fédéral ne peut ni abolir le Sénat, ni actuellement apporter des réformes significatives au Sénat. Cela est totalement, selon la Cour suprême, dans les compétences des provinces», s’est-il justifié.

«Ma position n’a donc pas changé», a-t-il ajouté.

«Et si les provinces croient, comme moi, qu’il devrait y avoir une réforme, elles devraient la mettre de l’avant immédiatement. Si elles ne sont pas de cet avis, elles devraient présenter des amendements pour abolir le Sénat.»

Mardi, M. Harper disait donc les «encourager» à présenter de tels changements. «Elles peuvent proposer des amendements à leur législateur», a-t-il expliqué.

Car la voie d’un amendement constitutionnel n’est pas ouverte, a dit le premier ministre, qui martèle que les provinces ne sont pas intéressées à avoir un débat constitutionnel pour modifier le Sénat.

M. Mulcair a relevé que le premier ministre ne rapporte pas de façon exacte les conclusions de l’opinion du plus haut tribunal canadien.

«Il faudrait vraiment qu’il commence à lire les jugements de la Cour suprême», a-t-il raillé.

«Mais le fait est que la Cour suprême dit que le fédéral doit travailler avec les provinces. Ça ne veut pas dire que les provinces peuvent s’unir et lui annoncer qu’elles ont éliminé le Sénat», a corrigé le chef néo-démocrate.

Selon lui, le premier ministre cherche des prétextes pour justifier son inaction.

«Lui, qui avait juré que s’il ne pouvait pas réformer le Sénat, il allait l’abolir», a rappelé M. Mulcair, qui s’est amusé à qualifier Stephen Harper de «champion du statu quo» aux Communes.

M. Mulcair croit que le premier ministre adopte cette attitude parce qu’il «trouve trop difficile de parler aux provinces».

Mais pas lui. Le chef du NPD s’est déjà engagé à discuter avec les gouvernements provinciaux pour abolir le Sénat, si jamais il prend le pouvoir.

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Une stagiaire Costa Rica Découverte à Tortuguero

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Les cols bleus d’ADM menacent de faire la grève à l’aéroport de Mirabel

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MONTRÉAL – Les cols bleus d’Aéroports de Montréal (ADM) menacent de déclencher la grève à l’aéroport de Mirabel à défaut d’un dénouement de l’impasse dans les négociations sur le renouvellement de leur convention collective, échue depuis le 31 mars 2013.

Le syndicat est convoqué devant le Conseil canadien des relations industrielles (CCRI) le 5 mai prochain pour tenter d’obtenir le droit de déclencher la grève à l’aéroport de Mirabel et de déterminer les services essentiels à maintenir le cas échéant.

Le syndicat estime que la sécurité du public ne serait nullement mise en cause par une grève à l’aéroport de Mirabel, qui ne reçoit que du cargo, ce qui lui permettrait d’exercer un rapport de force purement économique sur l’employeur.

Les quelque 260 cols bleus ont rejeté dans une proportion de 99,5 pour cent la dernière offre patronale, principalement en raison d’un différend sur les pauses à prendre sur les heures de travail, bien que d’autres points demeurent en litige.

Mardi, une rencontre entre le président d’ADM, James Cherry, et les employés n’a pas permis de dénouer l’impasse mais celui-ci s’est tout de même dit prêt à discuter avec le syndicat. Une rencontre avec le conciliateur est d’ailleurs prévue le 20 mai prochain.

Jusqu’ici, près d’une trentaine de rencontres de négociation en un an — dont certaines en présence du conciliateur — n’ont pas permis de résoudre le litige, mais le syndicat se dit prêt à poursuivre le dialogue dans l’espoir d’en arriver à une entente.

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ITHQ de la belle et bonne relève

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ITHQ Bourses FK 2014, dessert

Photo : Pierre Beauchemin, ITHQ

Quatre filles, un gars. Marina De Figueiredo, Pascaline Gouin, Florence Morrissette, Jessica Noël. Et Rafaël Combet. Ils étaient cinq, lundi soir, à recevoir l’une des Bourses Françoise-Kayler (du nom de la réputée critique gastronomique de La Presse, aujourd’hui disparue). Cinq parmi les 14 finissants du cours Formation supérieure en cuisine, de l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ). Qui, toutes et tous, s’envoleront bientôt pour leur stage final, dans de grands restaurants étoilés français.

Art_de_vivreJ’aime toujours l’événement. Bien sûr, parce qu’on y déguste un délicieux repas préparé par les élèves en question — et l’édition 2014 n’a pas fait exception à la règle, des amuse-bouche aux desserts. Comment choisir, s’il le fallait (mais il ne le fallait heureusement pas), entre l’œuf de caille mimosa à la truffe, le maquereau mariné avec ricotta maison, le pétoncle juste saisi accompagné de boudin noir grillé (étonnant contraste, plat réussi), le pavé de veau de Charlevoix et sa déclinaison de betteraves, les fromages (corne de bique et tomme du Maréchal) et leurs accompagnements d’abricot, d’argousier, de poire et de noisettes, ou encore le très beau dessert (notre photo) de pommes en compote, pain d’épices moelleux et crémeux à l’érable ?

Mais si j’aime toujours ce grand dîner des Bourses Françoise-Kayler, c’est surtout parce qu’on y voit la relève à l’œuvre. Minutieuse, décidée, talentueuse, tout sourire au moment de la présentation de la brigade en salle, accompagnée de l’équipe de service et de sommellerie. Bref, de la belle et bonne relève, et c’est de bon augure pour tous les amateurs de belle et bonne cuisine.

* * *

À propos de Yanick Villedieu

Yanick Villedieu a effectué sa première incursion dans le monde du journalisme gastronomique en publiant, en 1999, un reportage sur les fromages du Québec dans le magazine L’actualité. Il anime le magazine scientifique radio Les Années lumière sur les ondes d’ICI Radio-Canada Première et publie régulièrement des articles sur la médecine et la science dans L’actualité, en plus d’y signer la chronique «Plaisirs gourmands». On peut le suivre sur Twitter : @yanickvilledieu.

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Un dirigeable de Labatt qui avait disparu est retrouvé dans les arbres

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SAINT-JEAN, N.-B. – Un dirigeable promotionnel de 21 mètres qui avait rompu ses amarres samedi dernier a été retrouvé dans le boisé d’une propriété privée au nord-est de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick.

Les Brasseries Labatt ont indiqué, mardi, avoir retrouvé le dirigeable haut de deux étages qui s’était détaché de ses amarres samedi après-midi, alors qu’on tentait de le descendre en raison des forts vents.

Le porte-parole de la compagnie, Wade Keller, a indiqué que l’information fournie par un résidant avait permis de guider un petit avion privé vers le site de l’écrasement, où le dirigeable a été aperçu, partiellement dégonflé.

L’outil promotionnel rempli d’hélium ne transporte rien d’autre que des lumières.

Les contrôleurs à Moncton et Saint-Jean avaient été prévenus de la présence du dirigeable dans l’espace aérien de la région, et le ministère des Transports avait émis des avertissements aux pilotes dans le sud du Nouveau-Brunswick.

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Récits - Info vacances / voyage

Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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