Depuis octobre 2013, Camille du blog L’Oiseau Rose est partie avec son compagnon pour visiter l’Asie. Pendant 1 an, elle va découvrir ce continent qui lui tient vraiment à coeur. Vous pouvez la retrouver sur son blog http://oiseaurose.com/.

Actuellement tu te trouves où en Asie ?

J’ai traversé la frontière Laotienne il y a à peine une semaine et je suis actuellement en Thaïlande, sur l’île de Koh Tao. Un lieu paradisiaque où je compte rester une semaine ou deux avant de me diriger encore plus au sud de la Thaïlande afin de rejoindre la Malaisie.

Pourquoi avoir choisi l’Asie ?

J’ai choisi de voyager durant une longue période en Asie car, après mon stage en Thaïlande de 2008, j’avais envie de découvrir un peu plus le pays, ainsi que toute l’Asie du Sud-est. Ce côté de la planète m’attire particulièrement depuis toujours, je suis donc heureuse de pouvoir y résider quelques temps et de prendre mon temps pour voir et découvrir un maximum de choses.

Tu comptes visiter l’Asie pendant combien de temps ?

Je vais visiter l’Asie pendant environ une année. Je suis partie depuis octobre 2013 en commençant par un séjour en Inde. J’ai ensuite rejoint le Népal par voie terrestre, puis la Thaïlande, le Cambodge, le Vietnam ainsi que le Laos. Je me prépare maintenant à rejoindre la Malaisie, puis ensuite l’Indonésie. Pour la suite je n’ai pas d’itinéraire de programmé mais les Philippines et Hong Kong me tente bien…

Combien te coûte ce voyage ?

Ce voyage ne me coûte pas énormément d’argent, j’ai pas mal d’astuces pour économiser en voyage et surtout, je fais attention à ne pas dépenser inutilement. Pour vous donner une idée, on dépense pour le moment (avec Monsieur Oiseau Rose qui m’accompagne) généralement moins de 600€ par mois. Donc en mettant tout bout à bout, ce voyage va nous couter plus ou moins 10 000€ pour l’année.

As-tu un itinéraire ?

J’ai un itinéraire de base, qui consiste à minimiser les trajets d’un pays à un autre. Cependant, je n’ai pas du tout d’itinéraire précis car je ne sais pas encore où je vais me rendre exactement les prochains mois. Je n’ai pas investi dans des billets d’avion tour du monde ; je suis donc libre de me rendre où je veux et quand je veux sans aucune contrainte.

Quel est le pays qui t’a le plus marqué ?

Le pays qui m’a le plus marqué est sans aucun doute l’Inde. C’est un pays vraiment « à part » qui vaut la peine de s’y attarder plusieurs semaines. Les gens y sont particulièrement attachants et l’ambiance qui règne en Inde est singulière. J’espère y retourner un jour et avoir encore plus de temps à consacrer à ce pays unique en son genre !

Et celui qui t’a le plus déçu ?

J’ai été un peu déçue par le Vietnam. L’on y trouve des paysages magnifiques et des lieux grandioses (comme les grottes du parc de Phong Nha-Ke Bang) mais, malgré quelques rencontres agréables, je n’ai pas trouvé les Vietnamiens particulièrement charmants. Ce constat est surtout valable pour les commerçants et les professionnels du tourisme.

Tu aimerais vivre en Asie ?

Je pense qu’effectivement, j’apprécierais de vivre en Asie. J’ai un penchant pour la Thaïlande et la Corée du Sud mais j’imagine que je me plairais bien n’importe où ! Il suffit que la nourriture soit bonne, que le climat soit chaud et que les gens soient sympathiques !

Tu voyages depuis le mois d’octobre en Asie. Quels sont les bons côtés et les côtés néfastes de l’Asie ?

Difficile de répondre à cette question car l’Asie est vaste et les pays sont très différents les uns des autres. Mais je placerais le climat, la nourriture, le sourire des habitants et les prix bas dans les bons côtés. Pour les mauvais, je ne sais pas vraiment… Disons qu’il manque le formage et le bon pain frais le matin !

[Crédit Photo : L'Oiseau Rose]

Vous souhaitez partir loin de ce train-train quotidien ? Vous voulez vivre une expérience unique ? On vous conseille de partir randonner sur le Chemin de St Jacques de Compostelle. Le gîte des Gabales propose de vous accueillir dans l’établissement tout en découvrant chaque jour une nouvelle partie du chemin de St Jacques de Compostelle. Vous pourrez ainsi parcourir à votre rythme Le Puy en Velay, St Privat d’Allier mais aussi Saugues.

Vous dormirez dans une maison de maître des années 1930 entourée d’un parc à la Française. Les lecteurs assidus seront aux anges dans la grande bibliothèque littéraire et musicale alors que les enduristes et VTTistes pourront ranger leur vélos dans le garage fermé. Ce séjour, c’est bien sûr le pied !

	Les Gabales Avenue Lucien Gires – Route du Puy 43170 SAUGUES 04.71.77.86.92

Une jeune femme a accouché vendredi 25 avril, sur le périphérique de Nantes. Cette Bouguenais raconte l’histoire à Ouest-France : « J’avais perdu les eaux avant de partir. J’ai ressenti les premières contractions entre la porte de Saint-Sébastien et celle de Haute-Goulaine. Je me suis d’abord dit que ça allait le faire ».

Le père de famille décide donc de s’arrêter sur la la bande d’arrêt d’urgence et allume ses feux de détresse. De son côté la future mère s’installe sur le bas-côté dans l’herbe. Un couple stoppe près d’eux. Une dame apporte une couverture alors que le mari appelle les secours. Les pompiers et les médecins du Samu arrivent. Le papa raconte : « J’ai coupé le cordon ombilical dans le camion des secours ». Toute la petite famille va bien. La petite fille s’appelle Siloé.

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QUÉBEC – Le maire de Québec, Régis Labeaume, espère qu’un nouveau statut juridique permettra à la capitale québécoise de s’affranchir de la méfiance des fonctionnaires du gouvernement qui entrave les projets municipaux.

M. Labeaume a spontanément revendiqué mercredi des pouvoirs supplémentaires en matière d’aménagement du territoire de sa municipalité, mais aussi en matière environnementale. Le maire a expliqué qu’il ne veut pas percevoir de taxes supplémentaires mais récupérer les budgets des pouvoirs qui pourraient éventuellement être transférés.

Le maire a esquissé ses intentions lors d’un point de presse en compagnie du ministre des Affaires municipales, Pierre Moreau, qui a annoncé mercredi la création d’une table conjointe entre le gouvernement et la municipalité afin de doter la capitale d’un statut particulier.

Les deux élus se sont rencontrés à l’hôtel de ville de Québec mercredi matin.

M. Moreau avait d’abord annoncé mardi la mise en place d’une table semblable avec des représentants municipaux de Montréal, qui revendiquent aussi des pouvoirs accrus.

Le nouveau ministre a expliqué que cette façon de procéder séparément avec chacune des villes pour leur octroyer des pouvoirs accrus n’était pas une stratégie «machiavélique».

«L’idée de voir de façon spécifique le maire de Montréal et de façon, en tête-à-tête, le maire de Québec, c’est pas une idée de diviser les gens, a-t-il dit. C’est au contraire une idée d’aller de façon très précise au coeur du sujet. Le statut de capitale est différent du statut de métropole, ça demande une réflexion particulière et je sais que ni l’un ni l’autre des maires n’a les mêmes objectifs et visées quant à ce statut particulier.»

M. Labeaume s’est plaint de chevauchements de compétences entre les municipalités et le gouvernement québécois, qui peuvent par exemple retarder la construction d’immeubles.

«Ça veut dire qu’on perd de l’argent, a-t-il dit. Si à cause de cette inefficacité, un immeuble prend six à 12 mois additionnels à se bâtir, ça veut dire que le propriétaire a perdu six à 12 mois de revenus, la ville a perdu six à 12 mois de taxation.»

M. Labeaume croit aussi que les élus municipaux sont mieux informés des problèmes de pauvreté que les fonctionnaires québécois. Il s’est plaint aussi du fait qu’une municipalité ne peut changer les limites de vitesse dans les rues sans l’autorisation du ministère des Transports.

M. Labeaume a lancé un cri du coeur face aux lourdeurs que la bureaucratie du ministère des Affaires municipales fait peser sur les projets municipaux.

«La pire inefficacité c’est dans l’aménagement du territoire et l’urbanisme, a-t-il dit. (…) La mentalité du ministère, c’est: ‘on protège les pauvres citoyens et la démocratie municipale contre les mauvais politiciens municipaux’, c’est ça la mentalité au ministère. ‘Une chance qu’on est là comme fonctionnaires pour protéger la population contre les méchants élus municipaux.’ Ils s’arrogent des pouvoirs pour protéger le monde contre nous autres­. On appelle ça: self eating monster.»

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NANAIMO, C.-B. – Quatre personnes ont été atteintes par balle, mercredi matin, dans une scierie de Nanaimo, en Colombie-Britannique, a confirmé la Gendarmerie royale du Canada (GRC).

Les quatre personnes ont été hospitalisées et un suspect a été appréhendé, selon la police fédérale.

La fusillade s’est produite dans un établissement de la Western Forest Products, a confirmé un représentant syndical.

Les policiers ont été appelés vers 7 h mercredi matin après que des coups de feu eurent été entendus.

Des agents sont rapidement arrivés sur les lieux et ont procédé à l’arrestation d’un individu.

La GRC devrait tenir une conférence de presse plus tard mercredi.

La ville de Nanaimo est située sur l’île de Vancouver, au nord de la capitale, Victoria.

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MONTRÉAL – Après le service des sports, c’est à celui des nouvelles d’écoper: le Centre de l’information (CDI) de Radio-Canada sera amputé de 35 postes dès cette année et de 12 autres l’an prochain en raison des compressions de 5,7 millions $ que doit subir le centre névralgique de l’actualité francophone de la société d’État.

L’année 2014-2015 marquera la disparition de 14 postes de journalistes, trois à la direction, neuf à la réalisation et deux en région à RDI. Trois assistants à la réalisation, trois auxiliaires à l’affectation et un adjoint de bureau seront également retranchés, a précisé dans une note interne le directeur général de l’information, Michel Cormier.

Des postes vacants sont abolis, des employés quittant pour la retraite ne seront pas remplacés et certains postes sont déclarés excédentaires pour en arriver à cette réduction de personnel.

La disparition de ces postes aura un effet domino et se répercutera évidemment sur les employés ayant moins d’ancienneté. Il faudra en outre attendre «plusieurs mois» avant de déterminer qui se retrouvera sans emploi, a reconnu M. Cormier.

L’ancien journaliste a lancé un appel à ces jeunes qui se sentent «particulièrement vulnérables», les exhortant à demeurer «patients» et à garder confiance en l’avenir.

Ces jeunes employés ont récemment adressé une missive à la direction afin de faire part de leurs inquiétudes.

«Nous avons constaté une diminution drastique des journées de travail à la radio au cours des derniers mois, y compris pendant la période électorale, alors qu’il s’agit généralement d’une période faste pour nous. Avec les récentes annonces, nous sommes encore plus inquiets de ce qui nous attend», peut-on lire dans leur lettre.

Mais ils ne sont pas les seuls à s’inquiéter: des grands noms de l’information de la société d’État — dont Céline Galipeau, Patrice Roy, Pascale Nadeau et Alain Gravel — ont également ressenti l’urgence de s’adresser à la haute direction par l’entremise d’une lettre ouverte.

«Compressions après compressions, Radio-Canada meurt à petit feu. Le constat est sans appel: depuis six ans, près de 20 pour cent du budget de l’information française a été amputé», écrivent-ils.

«Au fil des ans, nous avons perfectionné et réinventé nos façons de faire pour devenir plus efficaces. Mais nous atteignons un point de rupture. Ces compressions ne se feront pas sans toucher à nos programmes et nos rendez-vous d’informations. C’est une atteinte directe à ce qui nous rend unique et nous distingue de la concurrence», déplorent les 17 signataires.

CBC/Radio-Canada doit composer avec des compressions budgétaires de l’ordre de 130 millions $, ce qui se traduira par l’abolition de l’équivalent de 657 emplois d’ici l’an prochain à l’échelle du pays.

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SEPT-ÎLES, Qc – On craint pour la vie d’une personne impliquée dans un grave accident survenu peu après 11 h, mercredi, à Sept-Îles, sur la Côte-Nord.

La collision entre deux véhicules a eu lieu sur la route 138 dans le secteur de la rivière Moisie et selon les premières informations de la Sûreté du Québec, au moins deux personnes sont impliquées.

La route 138 a été complètement fermée à la circulation afin de permettre aux policiers d’enquêter. Peu avant midi, les autorités ne prévoyaient pas ouvrir avant plusieurs heures le seul lien routier entre Sept-Îles et les communautés situées à l’est de la ville.

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