Avec la mondialisation et l’affranchissement des frontières, on a tendance à croire que tout est bien plus simple pour organiser ses voyages d’affaires, Cependant attention à ne pas tomber dans la facilité. Voici quelques conseils pour organiser efficacement votre voyage.

Evitez le stress de la dernière minute

Dès que vous connaissez vos dates de voyage d’affaires, organisez-vous. Une planification à l’avance permet non seulement d’éviter le stress, d’avoir plus de chances de mener son projet à bien mais également de bénéficier de tarifs préférentiels. Plus l’on attend, plus les billets de transports sont chers et moins il y a de places libres dans les hôtels et bureaux.

Passez par des agences expertes

Que vous soyez auto-entrepreneur ou en équipe, que vous désiriez un bureau pour une journée ou plus d’un mois, que vous ayez besoin d’une salle de réunion ou de formation, certaines entreprises expertes en location de bureaux sont aptes à répondre personnellement à tous vos besoins. Elles peuvent vous proposer des services ultra-modernes dans des centres d’affaires high-tech équipés en salles de vidéoconférence et téléprésence ou encore de Thinkpod, véritable espace de travail privé et confortable en lieu public. Des réceptionnistes multilingues vous permettent de contrer le problème de langue.

Avec la possibilité de louer des bureaux à Bruxelles, Hong-Kong, ou encore New-York, les business travelers n’ont plus de soucis à se faire pour trouver rapidement un endroit agréable pour poser son ordinateur et travailler dans de bonnes conditions. A louer pour une heure ou quelques jours, ce type de location s’adapte à tous !

Soyez malin pour votre logement

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Désormais toutes les conditions sont réunies pour passer un voyage d’affaires à un prix moindre et concluant.

Rien ne va plus au pays du Soleil Levant. Alors que la population japonaise a enfin trouvé un moyen d’échapper au stress quotidien de la vie tokyoïte, le gouvernement se prépare à adopter une loi protégeant les droits des animaux qui pourrait remettre en cause les « cafés à chats » qui font des émules depuis 5 ans.

Tout d’abord, qu’est-ce qu’un café à chats ? Ce n’est pas évident. Il s’agit d’établissements – des bars ou des cafés – proposant à leurs clients de se détendre en caressant un félin. On les appelle les « Neko Cafe ».

L’ambiance y est zen, les félins se promenant à leur guise de client en client. Tout est fait pour qu’ils – les chats – s’y sentent bien : paniers, jeux, nourriture… Les règles à suivre sont strictes pour respecter la tranquillité de ces bars : on se déchausse à l’entrée, on se lave les mains et tout ce qui pourrait perturber la tranquillité des animaux est proscrit (parler fort, faire des gestes brusques, etc.).

Le phénomène de ces Neko Cafes connait une véritable explosion depuis que les premiers ont ouverts, il y a 5 ans. Ce sont particulièrement les employés de bureau qui les fréquente à la sortie du travail, mais aussi les jeunes.

Vol Tokyo

Un phénomène de société

Il faut dire qu’on ne plaisante pas avec les chats au Japon. Ils y sont vénérés car censés porter chance à leur maître et éloigner les mauvais esprits. Nous en voulons pour preuve le temple boudhiste « Gotokuji », le temple du chat qui célèbre la légende du chat « Tama », symbole de prospérité.

On le sait, au Japon sans doute plus qu’ailleurs, le stress est un mal de société. Or, il se trouve que les animaux de compagnie, particulièrement les chats, sont un facteur de relaxation et permettent de lutter contre les effets néfastes du stress : hypertension, dépression, mal de dos, etc. Si si, c’est avéré scientifiquement.

Mais il se trouve aussi qu’il est très difficile de posséder et d’entretenir son propre animal de compagnie chez soi dans les petits appartements de la capitale japonaise, les propriétaires s’y opposant le plus souvent.

La fin des Neko Cafés ?

Les amateurs de ce type de détente ont appris la nouvelle avec consternation : le gouvernement japonais s’apprêterait à imposer la fermeture de ces établissements après 20h, pour ménager le stress subi par ces matous.

« Dans ces cafés, il y a énormément de passage. Du matin au soir, les chats se font caresser par des inconnus. Pour les animaux, c’est une source de stress énorme. »,

confirme à l’AFP une vétérinaire, membre de l’association japonaise du bien-être animal.

En grande habituée des Neko cafés, Ayako Kanzaki, une jeune femme de 22 ans, ne voit pas les choses sous le même angle :

« Pendant la journée, les chats sont souvent endormis, ou complètement amorphes. Il n’y a pas d’interaction. C’est pour ça que je viens le soir. »

Affaire à suivre…

Photos : dat ‘, melanie_ko, oladybug0 / Flickr cc.

La compagnie américaine Planetary Resources basée à Seattle vient d’annoncer avoir recueilli les investissements de James Cameron, Larry Page et Eric Schmidt pour le lancement d’un projet inédit : La recherche et l’extraction de métaux précieux dans des astéroides prochent de la Terre.

La première étape du projet va se concentrer sur l’exploration et le développement d’engins spatiaux « low cost » dix à cent fois moins chères que ceux produits actuellement. Confortés par le soutient de leurs investisseurs, les fondateurs de la société ont annoncé cette semaine que le lancement d’une missions de test est prévu d’ici deux ans.

Si dans un premier temps les clients de Planetary Resources seront principalement des organismes publics ou des instituts de recherche, la société se fixe clairement pour objectif de proposer à moyen terme ses services à l’industrie. Elle estime même pouvoir vendre ses engins spatiaux à des firmes de prospection d’ici cinq à dix ans.

Cette nouvelle ère, comparé par l’un des fondateurs à la « Route des épices » ou la « Ruée vers l’or américaine », aura deux objectifs principaux :

• l’exploitation des gisements d’eau sur les astéroïdes permettant d’alimenter de veritables stations services de l’espace
• l’extraction de minéraux précieux et de métaux de la famille du platine

Quand on apprend que Planetary Resources estime à 50 milliards de dollars le platine contenu dans un astéroïde de seulement 30 mètres de diamètre on peut se dire que le projet à de l’avenir…