Rejetant l'ensemble des griefs invoqués par la requérante et par les intervenants (M. Abitbol e.a.), le Conseil d'Etat a considéré que le décret incriminé ne méconnaissait ni les principes de non-rétroactivité des actes administratifs et de sécurité juridique, ni celui de non-discrimination.
La haute juridiction administrative reconnaît qu'en procédant à une simplification et à une uniformisation des modalités et conditions d'accès à la profession de guide-conférencier, le décret de 2011 n'a fait que poursuivre une démarche engagée en 2005 et qu'en outre les guides interprètes auxiliaires à titre définitif (GIAD) et guides interprètes locaux (GIL) ont bénéficié de mesures transitoires leur permettant de faire évoluer leur situation.
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