Pourquoi avoir suivi cette démarche du Green Globe ?
Le Green Globe, c'est une étape supplémentaire par rapport à l'écolabel européen. Après l'obtention de ce dernier, nous voulions aller plus loin. Avec cette certification, on fait les choses et on sait qu'on les fait. Ce n'est pas seulement un aboutissement mais un axe de progression. Nous avons en effet obtenu 179 critères sur les 229 que compte le programme.
Qu'avez-vous mis en place pour ce Green Globe ?
D'abord, nous n'avons pas investi énormément car nous disposions déjà des installations, après avoir réfléchi à toute la gestion de maîtrise des énergies. Nous consommons ainsi 65 litres d'eau par nuitée, contre 150 à 200 litres pour un camping « classique », pourtant doté de l'Ecolabel européen ! Ensuite, il s'agit de choses simples, de bon sens, qu'appliquaient nos ancêtres il y a deux siècles avant que le monde s'emballe ! C'est un retour aux fondamentaux. Au-delà de la réduction des coûts énergétiques, nous avons réhabilité une caravane pour y créer un espace bien-être. Nous faisons appel à des commerçants locaux, ce qui nous permet aussi de jouer sur le volet social. En sus d'une boulangère, nous sollicitons en effet une crêpière et une masseuse qui ont toutes deux été clientes du camping et qui se sont lancées en proposant leurs services chez nous.
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