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Les premiers mois de Martin à Pékin ou comment bien s’installer en Chine

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J’ai déjà eu l’occasion de vous présenter Martin sur Instinct Voyageur. Ce blogueur a suivi son amie à Pékin  en début d’année. Voici une bonne occasion d’écrire un article sur l’art, difficile, d’une installation dans l’Empire du Milieu.

 

Salut Martin, alors, racontes-nous cela un peu, dans quelles circonstances et pourquoi tu as décidé de vivre en Chine ?

Bonjour Fabrice, je te remercie de me laisser m’exprimer. Je m’appelle Martin, j’ai 25 ans et jusqu’en juin 2011, j’étais étudiant en école de commerce. Durant mes études, je bloguais régulièrement. De quoi joindre l’utile et l’agréable puisque j’adore bloguer et ça me rapportait de quoi voyager et arrondir les fins de mois.

Double diplômé – MBA dans une université américaine et dans une école de commerce en France, j’ai trouvé un job de chef de produit en septembre dernier. Pas à l’aise dans le milieu de l’entreprise, ma période d’essai n’a pas été renouvelée à la fin des 2 mois. Mon amie ayant décidé de partir en Chine pour apprendre le chinois et avoir une expérience à l’internationale, j’ai décidé de la suivre plutôt que de chercher un boulot à Paris.

 

Le 5 janvier dernier, je suis devenu blogueur nomade à 100%. Enfin presque, puisque depuis, j’ai trouvé un boulot de community manager et de prof de français. Vous pouvez suivre mes aventures sur mon blog Un français à Pékin.com

 

moi tian an men pekin Les premiers mois de Martin à Pékin, ou comment bien s’installer en Chine !

Martin sur la place Tian An Men

 

Où vis-tu et comment ?

Je vis dans une colocation près du 2nd ring (l’équivalent du périphérique à Paris) avec ma copine, un russe et sa copine.

Ce fut difficile de trouver un logement, car les agents immobiliers ne parlent pas anglais et on ne parlait pas Chinois. On a fini par trouver une colocation avec un russe et sa copine grâce au site The Beijinger.

On a eu du mal à trouver – les logements sont très chers à Pékin – mais on a fini par trouver une chambre pour 350 euros par mois.

 

Quels ont été les côtés les plus difficiles de ton installation à Pékin ?

La barrière de la langue clairement. Les Chinois (enfin 99% d’entre eux) ne parlent pas l’anglais. Donc impossible d’aller voir une agence immobilière classique. Les agences pour expat parlent l’anglais, mais leurs prix – 2000 à 5000€ par mois – pour leurs appartements immenses et haut de gamme sont inabordables.

 

Reste le système D. On a logé une semaine dans un hôtel bon marché près de la cité interdite. Puis nous avons écumé les petites annonces sur the beijinger.com (un site principalement fréquenté par les étrangers) et avons trouvé ainsi notre coloc. Un ami français a fait de même pour se loger.

De plus, internet étant contrôlé, impossible pour moi de me connecter au Wifi les premiers jours – un numéro de téléphone chinois étant obligatoire… et j’ai dû installer un VPN pour travailler correctement. Cela dit, le débit est très lent.

 

Enfin, l’aspect social. La majorité des Européens sont étudiants ou expatriés. En tant que nomade digital, difficile de trouver des gens similaires à moi. J’ai contacté une association d’expatriés, mais je me suis retrouvé le seul homme parmi 30 femmes lors d’une randonnée… Heureusement, j’ai réussi à rencontrer quelques Français ayant le même mode de vie que moi, cela fait plaisir. Mais ça prend du temps et il faut aller vers les autres.

 

mon appartement beijing Les premiers mois de Martin à Pékin, ou comment bien s’installer en Chine !

Salon de mon appart

 

Quel est ton budget mensuel ?

Le salaire moyen à Pékin est d’environ 4000 kuaïs (500 euros) par mois. Ces bas salaires se répercutent sur les produits locaux. Ainsi, j’achète mes légumes 0,50€ le kilo, le steak chez le boucher 6€ le kilo ou encore 5€ pour une séance chez le coiffeur. Je paie une heure de cours particulier 6€… Quant au resto, un sushi me coûte 2 à 3€ et un resto classique rarement plus de 5 ou 6€.

Les transports ne sont pas chers non plus. Une course en taxi me coûte rarement plus de 3€. Quant aux transports publics, ils sont largement subventionnés pour inciter les gens à délaisser leur voiture, car Beijing est la pire ville du monde (avec Mexico) pour les embouteillages… Et elle est très polluée. Du coup, le métro coûte 0,25€ et un ticket de bus coûte 0,05€.

 

A l’inverse, les logements sont chers – environ les 2/3 des prix de Paris – et les produits types vêtements de marque et ordinateurs coûtent souvent aussi cher voir plus cher qu’en France. Quant aux produits importés, leur prix atteint des sommets : 40€ le kilo de jambon cru de Parme ou 8€ le pot de Nutella… Le coût de la vie dépend donc de son mode de vie. Vivre comme un expatrié à l’occidental coûte très cher à Pékin (sans doute plus que de vivre à Paris). Mais je vis de façon assez simple : courses au marché chinois, colocation…

Mes dépenses de base ne sont que de 500 euros par mois (loyer, nourriture, électricité, gaz…), preuve qu’on peut vivre avec peu. Je dépense malgré tout beaucoup plus de 500 euros par mois.

 

Aux dépenses de base s’ajoutent les loisirs, les voyages, mon emprunt étudiant à rembourser. Ainsi que des dépenses inexistantes en France – frais de visa, assurance rapatriement… Par ailleurs, j’investis environ 200 à 300 euros par mois dans mes sites web et aide aussi financièrement ma copine.

J’ai donc un budget extrêmement variable, mais qui tourne sans doute autour de 1500 euros par mois, mais qui est assez variable d’un mois à l’autre.

 

martin chaise a glace et stade olympique de beijing Les premiers mois de Martin à Pékin, ou comment bien s’installer en Chine !

 

En effet, le budget est élevé! Ce n’est pas forcement l’image que l’on a de la Chine…Quel premier bilan depuis ton arrivée ? Cela doit faire plus de 4 mois maintenant ?

En arrivant à Pékin, je n’avais ni logement, ni amis, ni aucune connaissance en chinois. Bref, rien à part 3 jours de réservation à l’hôtel. Depuis j’ai rencontré beaucoup de monde, j’ai appris le Chinois, j’ai développé mes blogs, un peu bougé… J’ai même un ami très intéressant qui veut monter une affaire avec moi.

Après il ne faut pas se leurrer, il y a les moments de doute également. La routine du travail au quotidien, la barrière de la langue, souvent pénible, sans compter la pollution et le reste…

Au final, je pense que le bilan est néanmoins satisfaisant:-).

 

Trois choses que tu aimes à Pékin et en Chine et trois choses que tu n’aimes pas ?

J’aime :

-          Les restos et les taxis pas chers

Pouvoir manger correctement pour 2 à 5 euros et me déplacer en taxi pour moins de 2 euros, c’est vraiment très sympa.

-          Découvrir une nouvelle culture

Nouvelle cuisine, nouvelles façons de penser… Vivre à l’étranger est une expérience enrichissante.

-          Pouvoir me lever tard le matin, nomade digital oblige

Je travaille beaucoup mais indépendance horaire oblige, je me lève vers 9 heures – 9h30 le matin. De quoi faire de vraies nuits de 8h à 8h30

 

Je n’aime pas

-          La pollution, omniprésente

L’indice 10 de pollution à Paris (le plus élevé) correspond à… 125 (mg/m3). A Beijing, on dépasse les 500 couramment… Ajoutons le sable en suspension (le désert n’est pas loin) et cela donne des jours gris. Parfois on voit à moins d’un kilomètre et on peut regarder le soleil en face sans se brûler les yeux tant le ciel est embrumé…

-          Les gens qui crachent

Et qui font du bruit avant de cracher. Quand j’ouvre ma fenêtre, je peux entendre les gens qui crachent dans la rue…

-          Les vendeurs qui viennent me parler et qui, malgré mes « wo bu dong » (je ne comprends pas en Chinois) ne pensent pas à aller sur un outil de traduction sur leur iPhone ou chercher un collègue anglophone.

petite porte cite interdite Les premiers mois de Martin à Pékin, ou comment bien s’installer en Chine !

 

Et au niveau des relations avec les Chinois ? Il y a une grosse communauté étrangère à Pékin je crois ?

Il y a beaucoup d’étrangers à Beijing (même si c’est assez peu en proportion). Mais la plupart sont expatriés et ont un mode de vie très différent du mien – tant au niveau de leur travail que de leur niveau de vie également. C’est assez difficile de trouver des atomes crochus ainsi…

Cela étant, j’ai rencontré un groupe de français (et quelques étrangers aussi) notamment des VIE avec qui je sors régulièrement le week-end. Cela se passe bien. Dommage que la barrière de la langue fasse qu’il me soit difficile de me faire un réseau parmi les Chinois locaux.

 

Comment cela se passe au niveau internet : débit, cafés wifi, censure ?

Pour être honnête, la première semaine fut dure : débit minable de l’époque bénie du début de l’Internet  – 56K – et impossibilité de me connecter au Mc Do car une connexion en Wifi impose d’avoir un téléphone chinois.

Aujourd’hui, je me connecte depuis chez moi et utilise régulièrement un VPN – Google marche 1 fois sur 3 sans donc je redécouvre Yahoo, mais j’ai aussi besoin du VPN pour Facebook ou Twitter – mais le débit n’est pas génial. La bande passante à l’intérieur de la Chine est très satisfaisante, mais avec le reste du monde, la bande passante est limitée. Un vrai goulot d’étranglement qui fait que les sites étrangers sont bien plus lents que les sites Chinois.

 

Tu me disais qu’il avait été facile pour toi de décrocher un boulot. Un coup de chance ou non ? Est-ce difficile pour un étranger de trouver du boulot ? Et le salaire ?

En France, il me fallait (chiffre pifométrique) 30 CV pour obtenir 1 réponse, le plus souvent négatif. Ici, 2 ou 3 CV suffisent. Il faut dire qu’être étranger et parler l’anglais (surtout l’anglais) est une réelle valeur ajoutée en Chine, où les gens sont très peu anglophone (ce qui me vaut régulièrement des crises de nerfs…).

Le français est aussi utile : de nombreuses écoles cherchent des profs de français. J’ai trouvé un poste de prof à ce propos.

 

En cherchant sur The Beijinger ou en résautant – une businesswoman m’a donné son contact aujourd’hui à Starbucks Coffee – on peut vite trouver un emploi, surtout dans l’enseignement.

Quant aux salaires, tout dépend. Le SMIC local est de 960 kuais par mois (environ 120 euros) mais personne ou presque gagne si peu à Beijing, cela ne suffira pas pour vivre. Les emplois non qualifiés touchent généralement 2000 à 3000 kuais par mois (300 à 400 euros), le salaire moyen est de 5 000 kuais par mois (600 à 700 euros). Quand aux étrangers, ils peuvent gagner 100 à 400 kuais de l’heure en étant prof (12 à 48 euros de l’heure) selon leur niveau. Et la plupart des jobs tournent autour de 8 000 à 15 000 kuais (1 000 à 1 800 euros par mois).

 

De quoi bien vivre car si les loyers sont presqu’aussi cher qu’à Paris, le reste (nourriture, transport) coûte 3 à 4 fois moins cher qu’en France.

 

embouteillage beijing 2 Les premiers mois de Martin à Pékin, ou comment bien s’installer en Chine !

 

Quels conseils donnerais-tu à celui que veut tenter l’aventure ?

N’ayez pas peur de bouger, on ne vit qu’une fois. J’ai un ami qui est parti faire un tour du monde avec 3 000 euros en poche. C’était en 2009. Il vit au Japon et continue son tour du monde pour 2 ans encore, trouvant des jobs sur place pour financer le reste de ses aventures.

Si vous  n’avez pas trop d’obligations (emprunt immo, famille) partez découvrir le monde. Découvrez de nouvelles cultures, apprenez de nouvelles langues, mettez vous en plein les mirettes et profitez. Surtout en cette période de crise où il n’y a pas d’emploi en France. En Chine où je vis, vous pourrez bien vivre en décrochant un job.

 

Tu penses rester longtemps ?

J’ai obtenu un visa de 2 fois 90 jours. Je compte donc rester jusqu’à juillet. Je suis parti à Hong Kong durant 4 jours à la fin du mois de Mars.

Si j’ai un peu d’économies, j’irai bien au Vietnam ou faire un stage de niveau 1 de plongée aux Philippines. A voir car j’aurai à payer 3 mois de loyer cash début avril…

 

martin au marche Les premiers mois de Martin à Pékin, ou comment bien s’installer en Chine !

 

Tu vis en partie des revenus de tes sites et blogs. Tu viens de lancer un nouveau blog week-end voyage. Pourrais-tu nous en dire plus ?

Voila. C’est très simple. Un jour, je m’ennuyais ferme tout seul chez moi le samedi. Je voulais bouger mais je ne savais pas où ni quoi faire. Je cherchais des idées de week-end mais je n’en avais pas. J’ai cherché sur Internet et je n’ai rien trouvé. Finalement, j’ai pris ma voiture un peu au hasard direction la campagne et par le pur hasard, je suis tombé sur Marly, un magnifique parc et ancien château royal méconnu non loin de Versailles où j’ai fait une belle promenade.

 

En revenant, je me suis dit : « c’est quand même idiot. Il y a plein de trucs sympas à faire autour de Paris et je ne le savais pas ». Et en bon businessman, je me suis dit : « Si je pense cela, sans doute des milliers de gens pensent la même chose ». Adorant bloguer et voyager, j’ai donc décidé de créer le blog www.weekend-voyages.com pour permettre aux gens de trouver des idées de week-end selon le temps dont il dispose, leur budget, leurs envies, avec qui ils sont…

 

Cela étant, je me suis vite rendu compte de l’impossibilité de découvrir tous les coins sympas à visiter en France et aux alentours le temps d’un week-end. C’est pour cela que j’ai décidé de rendre le blog collaboratif. Le but :

-          Permettre à tout le monde (blogueurs ou non) de proposer ses bons plans voyages.

-          Payer les rédacteurs : pas mal en période de crise et de quoi permettre aux rédacteurs de plus souvent partir en vacances, donc d’écrire plus d’articles, donc gagner plus et partir plus souvent en vacances. Le cercle vertueux.

-      Créer le blog le plus sympa et complet possible dans le domaine du week-end de manière à aider les voyageurs en manque d’inspiration à voyager.

 

logo week end voyages Les premiers mois de Martin à Pékin, ou comment bien s’installer en Chine !

 

Un dernier mot ?

Les voyages forment la jeunesse. Si vous n’avez pas de responsabilités – famille, emprunt immobilier – partez à l’aventure. Pour avoir beaucoup voyagé, je trouve cela sympa de rencontrer des gens du monde entier, d’apprendre des langues, découvrir des lieux inconnus…

 

Inutile d’être Crésus pour voyager. On peut voyager pour pas cher dans le monde, d’autant plus que la plupart des pays du monde sont moins chers que la France… On peut aussi gagner de l’argent sur place : avec un blog, en donnant des cours d’anglais ou de Français… J’ai ainsi un ami qui est parti il y a 3 ans faire un tour du monde avec 3 000 ou 4 000€ en poche. Aujourd’hui, il vit au Japon et compte continuer à voyager pendant encore au moins 2 ans…

Pour finir, je tiens à remercier Fabrice de m’avoir laissé m’exprimer et bon voyage à vous:-).

 

Merci Martin!

Et vous, connaissez-vous la Chine? Qu’en pensez-vous? Y avez-vous habité?

 

Consultez la source sur Instinct-voyageur.fr: Les premiers mois de Martin à Pékin ou comment bien s’installer en Chine

 

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Visiter les Calanques de Marseille c’est comme voyager au bout du monde dans un endroit à la fois mythique et captivant. Mais comment se permettre une telle fantaisie ? Justement, une sortie dans les Calanques rentre pratiquement dans l’air du temps et peut convenir à n’importe quel voyageur. Mais pour bien marquer cette journée, autant s’assurer d’avoir fait le bon choix du circuit.

Autour des itinéraires dans les Calanques

Avant de se décider de quel circuit choisir, toujours est-il d’évoquer les itinéraires possibles pour une sortie dans les Calanques avec Bleu Evasion. Du Parc national des Calanques, on peut certainement prendre le large en direction des plus belles calanques de Marseille entre Sormiou et Cassis. Le parc national des Calanques est une destination mythique pour ceux qui rêvent d’évasion sur la grande bleue. La visite promet détente absolu et dépaysement total. Du parc national également, on passe d’une ville à une autre depuis Sugition à Morgiou en passant par Port Pin et Port Miou. Un autre itinéraire reste envisageable pour une sortie dans les Calanques. Il s’agit du circuit dans l’archipel de Frioul. Les îles de Frioul proposent de multiples activités nautiques mais aussi des randonnées terrestres à part entière. Le château d’if fait partie intégrante du voyage et convie à une découverte historique sans parler de la fameuse légende de Monte Cristo.

Le circuit dans les Calanques de Marseille

Pour mieux trancher, autant passer en revue toutes les possibilités de circuit à commencer par le circuit des Calanques. Il reste propice à une simple visite qu’à la pratique des activités nautiques. Voyager au cœur du parc national de Marseille est un honneur pour ceux qui aiment la nature et à ceux qui recherchent une échappée belle. En d’autres termes, il n’y a pas meilleur endroit pour se perdre que dans le parc national. D’ailleurs, ce ne sont pas les activités qui manquent en dehors des plaisirs nautiques. Visiter le parc national c’est comprendre l’intérêt pour la préservation de ce milieu fragile doté d’une biodiversité rare au monde. Les voyageurs peuvent passer d’une Calanque à une autre et profiter des paysages immaculés qui se succèdent au rythme du bateau. A ce propos, la location d’un bateau s’impose également lorsqu’on souhaite vivre une expérience de voyage inoubliable dans les Calanques. On peut trancher entre un bateau à moteur et un Catamaran.

Le circuit dans l’archipel de Frioul

Frioul est un vrai paradis pour les plaisanciers et les férus des sports nautiques. Il s’apparente plus à une pratique d’activités nautiques qu’à une simple découverte des îles. Faire une immersion dans l’archipel de Frioul c’est comme s’évader dans un monde sorti tout droit d’un conte de fée. Au programme : la plongée sous marin, le scooter sous marin, la baignade, la bouée tractée, le farniente et la visite des îles et en particulier du Château de l’île d’If. En bref, choisir un circuit dans les Calanques n’est pas évident, raison de plus pour personnaliser son excursion en combinant les deux circuits en un seul voyage.


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