Un parfumeur français a eu l’idée de créer une vingtaine de fragrances associées à autant de villes dans le monde.
Pour y arriver, Gérald Ghislain ne s’est pas baladé pas à Doha, à Singapour ou à Paris avec des capteurs d’odeurs; il a plutôt tenté d’apposer une essence sur l’image d’une ville. “C’est un choix personnel. Chaque parfum réunit les ingrédients olfactifs que m’évoque un lieu”, d’expliquer le parfumeur au magazine Le Point.
Ainsi, dans l’univers de Gérald Ghislain, Bali sent la vanille, New York (Central Park, en fait) fleure bon le lilas et le rosier et Abu Dhabi dégage avant tout des notes de jasmin.
Puisqu’aucune ville canadienne ne figure au nombre des vingt cités retenues dans cette nouvelle ligne, baptisée The Scent of Departure, amusons-nous à imaginer quels seraient les noms apposés au parfum de certaines d’entre elles.
Quelques idées en vrac: Pot-pourri à l’anglaise (Toronto), Soufre du matin (*insérez ici le nom d’une ville papetière*), Eau de gaz (Medicine Hat) et Plein des sens (Calgary).
Quant à Montréal, on peut hésiter, par les temps qui courent, entre Vent de changement, Révolutions nocturnes, Rose matraque et Parfum de révolte. D’autres suggestions?
Consultez la source sur Lactualite.com: “Parfum de changement” une fragrance pour Montréal