PORTRAIT - Paris, New York, Kyoto et maintenant Rangoun... Originaire du marais poitevin, l'artiste hanté par le ciel et l'eau expose sa "nouvelle Suite birmane" dédiée à la nature et à Bouddha."L’huile sèche très lentement ici. Le pinceau devient trop onctueux. Sur les supports laqués, c’est pire. Les repentirs sont impossibles et je vois mon reflet dans la laque!" De ses galères techniques, provoquées par cette chaleur féroce qui enveloppe la Birmanie de mars à mai (30 à 45°C), Richard ...
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