Les hôteliers se font tirer les oreilles

Dimanche, 30 Septembre 2012 11:17 vacances
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Les autorités birmanes craignent que les prix excessifs pratiqués par certains hôtels ne ternissent la réputation du pays.
Le prix des chambres pourrait être plafonné.

Cependant, le développement des infrastructures ne suit pas. Le secteur de l’hôtellerie peine, en particulier, à faire face à la demande.
A la faveur de ce déséquilibre, les prix des chambres ont tendance à flamber. Au point où les autorités s’inquiètent de voir l’image de la Birmanie, à peine redorée, se ternir à nouveau. Aussi ont-elles décidé de remonter les bretelles de ceux qui abusent et, plus précisément, des établissements tenus par des étrangers. Selon le supplément «Voyages» du [font='&quot']Telegraph[/font] du 7 septembre, le ministère des Hôtels et du Tourisme impose désormais aux hôtels ne pas facturer la nuitée plus de 150 dollars.

Au cours des sept premiers mois de l’année, 300.000 étrangers se sont rendus en Birmanie, autant qu’au cours de toute l’année 2011. A la fin 2012, ce chiffre devrait s’élever à un demi-million. Les capacités hôtelières peinent à répondre à cette demande croissante.

Dans l’ensemble du pays, 25.000 chambres seraient disponibles, dont 8.000 à Rangoon.

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