J’avais donc quitter Kampot en mini bus, seul, pour rejoindre Phnom Penh et mon cher loueur. Ou looser comme vous voulez. Je me préparais au pire, à des heures de discussion, d”engueulades. Après des heures de voyage au milieu d’un mini van archi bondé, j’arrive à Phnom Penh, le mini bus me dépose avec mon ancienne monture à un station d’essence. Là je devais attendre la fine équipe du loueur qui venait me chercher, ma moto et moi. Pourquoi n’était il pas possible de me déposer devant le loueur ? Mystère insondable. Du coup j’attends. Pas deux jours que je suis parti en moto et j’ai l’impression de ne faire que ça, attendre. Le Cambodge vous apprend beaucoup de chose, notamment à attendre. Probablement par tradition boudhiste. Rester zen. Tout le temps. Ils finissent par arriver et on se fait un petit remorquage façon bled : l’un se met sur mon ancienne moto (dont le moteur ne marche donc plus) et prend le bras du mec qui est sur la moto qui roule. Et moi je suis donc le passager de la moto qui roule avec mon énorme sac à dos. Vous voyez un peu la tronche de l’équipée sauvage [...]
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